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Un Samedi automnal où il fait beau, normal que le stade se remplisse, surtout en fin d'AM... Ca lance la soirée en coujouland...
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Effectivement, étant en Europe j'ai pris le temps de mater en face.
J'ai vu quelques places vides dans les zones abonnés mais sans plus, donc conforme au chiffre annoncé.
Et, oui, ça semble pas mal au niveau de la fidélité des spectateurs et supporters...donc c'est vraiment bien au vu des matchs récents, les infortunés supporters que nous sommes ne sont pas découragés
Il faut dire que malgré les fautes les gars s'envoient et ça, c'est essentiel pour la fidélité.Pour la fréquentation, un critère joue certainement, c'est la densité des matchs dans le mois. Là c' était le premier après la reprise et le seul. Donc pas d' effet de cumul financier.
Par contre, certainement à cause du déroulement du match, c' était calme, très calme....on attend, on espère, on craint, on s' énerve...
en même tps tu étais en Europe ^^
Place I 1552
"C’était quand la dernière fois qu’on s’est retrouvés tous d’accord sur un truc !?" Arthur - Kaamelott
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En H il y avait de l'ambiance
brive-cosnac
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Je me suis fait la réflexion pour l' Europe (Quand j'ai réservé y avait plus de place en H basse sauf au premier rang). Calme Très relatif d' ailleurs car ma voisine hurlait à pleins poumon après l' arbitre. Mais quand même, j'ai entendu de grands moments de calme "planer" sur le zébrium lorsqu'on était en vrac face au CO, et ça été souvent en début de 2ième.
Oui c'est subjectif, j'ai pas fait le tour pour vérifier
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C etait une date plus adaptée pour remplir le stade, et puis la fameuse embellie.
Milite pour le retour de D.Penaud
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C'est vraiment pas drôle de voir cette liste !
Liste des blessés du CA Brive
Longue durée
•Olivier Caisso (en phase de reprise)
•François Da Ros (poursuite rééducation, vient de reprendre la course, retour courant novembre ?)
•Romain Sola (fracture à la main, retour en décembre)
•Guillaume Ribes (épaule, blessé contre Toulon, absent 6 mois)
•Arnaud Mignardi (ligaments croisés, blessé contre Castres, absent 6 mois)
•Thomas Laranjeira (déchirure mollet, blessé contre Castres, absence 6/8 semaines)
Courte indisponibilité
•Pat Barnard (genou)
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C'est moi où j'ai cru lire et entendre que la finale du top 14 de 2016 aurait lieu à Barcelone?
Je suis Charlie ! ! !
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Tu débarques de la planète Mars, Brigadier ?
Ça fait un certain temps que c'était dans les tuyaux, bicôze Euro de foot en France, grands stades réservés, et pas question que ces bourrins de rugbymen abiment les pelouses footreballesques !
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Courte indisponibilité
Russlan Boukerou (genou)
Anton Peikrishvili (reprise)
source allezbrive
Sisa Koyambole
source La Montagne
Longue durée
Olivier Caisso (en phase de reprise)
François Da Ros (poursuite rééducation, vient de reprendre la course, retour courant novembre ?)
Romain Sola (fracture à la main, retour en décembre)
Guillaume Ribes (épaule, blessé contre Toulon, absent 6 mois)
Arnaud Mignardi (ligaments croisés, blessé contre Castres, absent 6 mois)
Thomas Laranjeira (déchirure mollet, blessé contre Castres, absence 6/8 semaines)
souce allez brive
Dernière modification par Cherge (2014-11-05 18:37:51)
Milite pour le retour de D.Penaud
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Ca évolue rapidement
Milite pour le retour de D.Penaud
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Boaf la finale à Barcelone pour tout le sud-ouest c'est pas vraiment plus loin que Paris nord...
Et le pauvre Blanco qui se tord de douleur et se voit contraint de lancer l' idée d' un grand stade rien que pour le rugby...
C'est d'un triste
Bah, le Qatar va bien nous payer ça, ils sont pas chiens pour la construction...:D
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"Bah, le Qatar va bien nous payer ça, ils sont pas chiens pour la construction...:D"
Oui, et puis ce sont des gens tellement sympathiques, qui savent créer "des liens" : ils t'accueillent chez eux et ne veulent plus te laisser repartir
Il y a 2 grandes espèces de bandits dans le monde : celle qui bafoue les lois, et celle qui les invente ; et comme dirait ma grand-mère, quand on veut laver l'escalier, on commence par en haut.
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Très bel article consacré à Olivier Caisso dans L'Equipe aujourd'hui ! Il doit reprendre la prépa physique dans 11 jours et les matchs début janvier. Depuis qu'on attendait cette bonne nouvelle !!
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Tu débarques de la planète Mars, Brigadier ?
Ça fait un certain temps que c'était dans les tuyaux, bicôze Euro de foot en France, grands stades réservés, et pas question que ces bourrins de rugbymen abiment les pelouses footreballesques !
J'en avais entendu parler, mais je pensais que c'était une possibilité et non une certitude...
Pour l'équipe qui va s'imposer en finale en Espagne, ça va faire bizarre tout de même d'être champion sur un sol étranger....
Je suis Charlie ! ! !
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quelle différence puisque nous avons le meilleur championnat du MONDE !!!
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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J'espère qu'il sera indiqué qu'ils seront également champion d'Espagne ! ! !
Je suis Charlie ! ! !
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Ce qui est anormal c'est que ça ne se déroule pas au Stade de France.
mais ça ne justifie en rien le projet de construction d' un grand stade qui serait consacré uniquement au rugby et en particulier à la finale du championnat.
Faut arrêter avec la folie des grandeurs des notables à la Blanco et autres. les envolées lyriques aux frais des contribuables, on a donné !
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J'espère qu'il sera indiqué qu'ils seront également champion d'Espagne ! ! !
D'ici là ce sera peut-être seulement de la catalogne.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Très bel article consacré à Olivier Caisso dans L'Equipe aujourd'hui ! Il doit reprendre la prépa physique dans 11 jours et les matchs début janvier. Depuis qu'on attendait cette bonne nouvelle !!
De quel article parles-tu ? Je ne l'ai pas vu sur leur site. D'ailleurs ce matin il y a un autre article sur Waqa mais uniquement pour les abonnés. Avis aux fans du copier coller
http://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Je- … mais/32374
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Ce qui n'est pas logique dans la construction de ce stade pour le rugby, c'est qu'il n'y aura aucun club résident, ça fera comme le stade de France...
Je suis Charlie ! ! !
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Brive19 a écrit :Très bel article consacré à Olivier Caisso dans L'Equipe aujourd'hui ! Il doit reprendre la prépa physique dans 11 jours et les matchs début janvier. Depuis qu'on attendait cette bonne nouvelle !!
De quel article parles-tu ? Je ne l'ai pas vu sur leur site. D'ailleurs ce matin il y a un autre article sur Waqa mais uniquement pour les abonnés. Avis aux fans du copier coller
http://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Je- … mais/32374
C'est dans la version papier que je l'ai lu. Apparemment sur leur site l'article est réservé aux abonnés: http://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le- … ment/32378
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Bernard Frédéric a écrit :Brive19 a écrit :Très bel article consacré à Olivier Caisso dans L'Equipe aujourd'hui ! Il doit reprendre la prépa physique dans 11 jours et les matchs début janvier. Depuis qu'on attendait cette bonne nouvelle !!
De quel article parles-tu ? Je ne l'ai pas vu sur leur site. D'ailleurs ce matin il y a un autre article sur Waqa mais uniquement pour les abonnés. Avis aux fans du copier coller
http://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Je- … mais/32374C'est dans la version papier que je l'ai lu. Apparemment sur leur site l'article est réservé aux abonnés: http://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le- … ment/32378
Tu ne peux pas nous le scanner?
Je suis Charlie ! ! !
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Je ne suis pas doué en informatique, je ne sais comment insérer le scan ici donc voici un copié/collé du texte:
Le combat, autrement
CÉCILE GRÈS
BRIVE - (corrèze)
« IL Y A QUELQUE CHOSE qui ne va pas. » Ce lundi 3 octobre 2013, à l'hôpital de Brive, un médecin est sur le point d'annoncer à Olivier Caisso que sa vie va basculer. Venu pour une IRM de routine après s'être fait mal aux cervicales contre Grenoble trois jours plus tôt, le deuxième-ligne du CA Brive écoute un tout autre diagnostic, désorienté : « Il y a un amas de ganglions au niveau de la clavicule droite, il vous faut aller à Limoges rapidement pour des examens supplémentaires. » Il s'y rend l'après-midi pour une ponction et prend rendez-vous pour une biopsie dès le lendemain, 8 heures. Il est à l'heure. Prêt. À 11 heures, il n'est toujours pas descendu au bloc. Le chirurgien finit par se montrer : « On ne vous opère pas aujourd'hui, revenez demain. On vous placera un boîtier pour la chimiothérapie. On a les résultats de la ponction, c'est la maladie de Hodgkin. » Caisso, alors âgé de vingt-sept ans, est au stade deux sur les quatre possibles d'un cancer du système lymphatique, son organisme n'est plus à même de se défendre contre les virus et les bactéries. « Vous allez vous remettre en six mois, c'est un cancer dont on guérit vite » , lui assurent les médecins.
Jeudi dernier, Olivier Caisso est assis dans une petite salle du club-house briviste. Il est guéri, à deux semaines de la fin de son arrêt de travail. Ses mains balayent la table. Il raconte calmement la tempête de quatorze mois (au lieu des six annoncés) qu'il vient de traverser. Le premier traitement de huit séances de chimiothérapie qui ne fonctionne pas. Tout comme le deuxième, plus fort, plus lourd, de quatre séances de trois jours à Toulouse où il perd du poids, ses cheveux et ses certitudes : « Plus ça allait, plus mon cas devenait particulier. J'ai commencé à douter » , raconte le Corrézien, tout en retenue. Sa femme, Delphine, fait front : « On a essayé de vivre ça comme une parenthèse du début à la fin. Notre petite fille avait à peine six mois, il fallait se protéger au maximum » , se souvient-elle, la voie claire et assurée. Elle raconte l'hôpital, les quelques déceptions amicales, les doutes, la solitude, la fatigue. Elle se souvient de ce troisième traitement, plus expérimental, qui leur apportera finalement de bonnes nouvelles. Grâce à l'injection d'anticorps naturels qui viennent se fixer sur les ganglions, ces derniers disparaissent enfin. Mais ce n'est pas terminé. Le plus dur les attend.
« LE CANCER, CE N'EST PAS UNE BLESSURE... »
« Début août, je suis parti à Toulouse pour la dernière étape avant la rémission, une autogreffe de vingt-trois jours, isolé en chambre stérile. Pour faire simple, ils ont détruit ma moelle osseuse pour que j'en crée une nouvelle » , explique Caisso. Les trois semaines sont lourdes, physiquement et psychologiquement. Le joueur perd ses repères, oublie l'odeur de l'air libre, tourne comme un lion en cage dans cette pièce de 15 m2. Delphine, seule personne autorisée à lui rendre visite, le trouve souvent sur son vélo d'appartement à faire ses 25 kilomètres quotidiens : « Pendant toute ma maladie, j'ai continué de m'entraîner. Après mes séances de chimio, j'allais au stade courir et faire de la musculation. J'avais besoin de ça, même si je ne touchais pas un ballon, même si je ne jouais pas un match. J'étais seul. Mais j'en avais besoin. » Le CAB lui confie l'étude de la touche adverse pour qu'il reste un peu au contact du groupe. Le club va bien, assure son maintien match après match : « Je n'ai jamais été aigri de les voir gagner sans moi. Parce que je me disais qu'ils étaient en train de me faire un beau cadeau. » Le Top 14 plutôt que la Pro D 2 pour sa reprise l'année d'après.
Depuis plusieurs semaines, Olivier Caisso est guéri. Il lui a fallu à peine quelques jours pour se remettre de ses vingt-trois jours en chambre stérile : « C'est un sacré caractère. Il a géré son combat contre la maladie comme il gère un match de rugby, à ne jamais rien lâcher, à toujours y croire. Je sais qu'il a eu des moments difficiles, mais il ne les a jamais montrés » , raconte son meilleur ami, Hugo Rongieras, qu'il a rencontré quand ils jouaient à Auch en 2007. Ses doutes, Caisso ne les a partagés qu'avec Delphine. Analyser ces quatorze mois « compliqués » est encore prématuré, mais elle assure n'avoir jamais trouvé la vie aussi belle qu'aujourd'hui. Son mari, lui, est plus loquace : « Quand on t'annonce que tu as un cancer, tu ne te rends pas compte. Sur le coup, je me suis même dit que six mois, c'était la même période d'indisponibilité que les ligaments croisés. Et que je préférais avoir cette maladie parce qu'elle ne m'empêchait pas de courir. Mais quand tu commences à réaliser, c'est très dur. Le cancer, ce n'est pas une blessure... » Chaque jour qui passe les éloigne de cette fameuse parenthèse imprévue. Le 13 novembre, il fera sa dernière radiothérapie, le 17, il reprendra la préparation physique sous contrôle médical. Le staff briviste l'attend pour début janvier : « Quand je vais rejouer mon premier match de Top 14, je ne veux pas qu'on me voit comme le joueur qui a eu un cancer. Quand j'entrerai sur la pelouse, je me dirai : "Voilà ta récompense, ces gens qui t'applaudissent et le match qui commence." »
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Merci. J'aime beaucoup le morceau qui explique qu'il est imposible que la maladie soit due au dopaje comme l'avait insinué Benezech.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Merci.
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