Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

Carbonneau est catastrophique ! Des qu’il touche le ballon, ça nous met en danger.
Sur la derniere action, il aurait fait la passe à son coequipier, l’essai n’aurait pas ete refusé !

Itw de PH Broncan : https://www.youtube.com/watch?v=rXHFR4vPv2E

Itw Sud Ouest interessante de l’entraineur montois :

Après 10 victoires d’affilée sur le synthétique, vous vous êtes fait contrer par Brive à la maison. Quel est votre sentiment ?
Contrer ? On s’est surtout fait corriger dans le combat. Dans le jeu au sol, on a été pris, notamment en première mi-temps. On a été contré en touche, perturbé en mêlée… À partir de là, c’est compliqué. Tu as la possession, l’occupation, mais tu n’es pas efficace, pas pragmatique. Perdre ce match dans le « money time », c’est une grosse déception. On savait très bien qu’il y aurait un bras de fer et, ce manque d’efficacité, on le paye. Les Brivistes nous ont mis une guerre pas possible dans le jeu au sol en première mi-temps.

https://www.entreprendre.fr/thierry-bla … et-du-vin/

Interessante video sur les 5 dernieres minutes !

Des qu’on accelere, on leur fait mal. Il faut continuer comme les 10 dernieres minutes de la premiere mi temps et ça devrait passer. Mais c’est compliqué !

L’ideal serait que la victoire soit acquise à la 50ème minute pour sortir nos cadres et les remettre mercredi prochain pour une victoire à l’exterieure imperative !

Conference d’avant match de Beziers :

https://www.youtube.com/watch?v=WNtvcF6W5Ao

Je pense que l’annee prochaine, on aura la prod2 la plus faible depuis tres longtemps ! Aucun gros club.
On aura donc toutes nos chances pour remonter !

Moins de 300 places en tribunes à 24h du match, ce sera surement plein !

12 000 personnes pour un vendredi 23/12 à 18h45, en etant derniers du classement, je trouve que c’est une belle performance !

Le cm du club a confirmé en reponse à un supporter sur facebook qu’il n’y a aucune clause en cas de descente pour tous ces joueurs.

Article Les Echos :

On peut être très discret et pourtant connaître la terre entière. Inconnu du grand public mais connu de tous les grands de ce monde, Ian Osborne va néanmoins devoir accepter de sortir quelque peu de l'ombre. En devenant le premier actionnaire du club de rugby de Brive, cet Anglais qui a grandi aux abords de Twickenham va en effet à son tour monter en première ligne.
Jusque-là, ce Londonien a pourtant réussi à faire fortune dans une incroyable discrétion. Pour réussir il faut incontestablement du talent mais aussi un coup de pouce du destin. La chance de ce jeune diplômé de la London School of Economics fut sans doute qu'après une courte année en tant que journaliste, on lui proposa en 2005 de devenir l'assistant international de Michael Bloomberg, le créateur de la célèbre agence d'information financière et maire de New York .
Davos fiesta
A ses côtés et jusqu'en 2009, il fera le tour du monde et montera des rendez-vous et des dîners avec ceux qui comptent pour un des hommes les plus puissants de la terre. Une bonne manière de se constituer un sacré réseau. La petite histoire raconte ainsi qu'il organisa une année à Davos une soirée privée pour le fondateur de Napster et celui de Salesforce réunissant à la fois tant de PDG, de stars et de têtes couronnées jusqu'à l'aube que les organisateurs du World Economic Forum décidèrent de l'exclure l'année suivante car trop de participants se firent porter pâles aux débats du lendemain dans la célèbre station de ski suisse…
C'est ainsi en tous les cas qu'il fit la connaissance de Yuri Milner, le milliardaire russo-israélien et qu'en 2009 il prit un premier virage vers le monde des affaires en gérant, au lendemain de l'éclatement de la bulle financière, une partie des investissements du patron du fonds de capital-risque DST Global. Jusqu'en 2012, il fut ainsi de ceux qui entrèrent au capital de groupes devenus depuis des géants de la tech d'Alibaba à Twitter en passant par Airbnb, Facebook ou d'autres.
Licornes à gogo
Et ce n'est qu'en 2012, après avoir passé des années au service des autres que Ian Osborne se décida à se mettre à son compte en créant Hedosophia, son propre fonds. Aujourd'hui, dans la discrétion qui continue de le caractériser, il a investi plusieurs milliards de dollars en misant en particulier sur la fintech et un temps dans les SPAC. Au-delà de prises de participations dans Spotify, Uber, Xiaomi ou d'autres colosses de la tech internationale, il est aussi devenu incontournable dans la French Tech en ayant accompagné bon nombre des Licornes tricolores de Sorare à Swile en passant par Lydia, Qonto ou Pennylane.
Joueur de rugby depuis ses années au collège de Saint Paul, l'Anglais cherche maintenant à attirer davantage d'investisseurs européens et à investir plus dans la tech du Vieux Continent. On le dit d'ailleurs sur le point de s'installer à Paris et c'est dans ce cadre qu'il a demandé il y a un an à Yannick Bolloré, le président du conseil de surveillance de Vivendi , s'il pouvait le conseiller car il souhaitait s'offrir un club du Top 14. Le hasard faisant bien les choses, Vivendi, premier actionnaire du CA Brive présidé par Simon Gillham (l'ex-directeur de la communication du groupe, toujours en charge du rugby), était prêt à ouvrir le capital du plus petit budget du plus prestigieux des championnats de rugby à un nouvel investisseur.
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Ian Osborne va ainsi participer à une augmentation de capital de plusieurs millions pour devenir le premier actionnaire (tout en restant minoritaire) aux côtés des partenaires historiques du club (Vivendi, Derichebourg, Andros…). « Même s'il cultive une immense discrétion, c'est une des personnes les plus empathiques que je connaisse. Il a d'ailleurs un carnet d'adresses très impressionnant aussi bien en Chine, qu'aux Etats-Unis ou en Europe. C'est aussi et surtout un grand amoureux de la France où il passe de plus en plus de temps. C'est une chance pour la France d'avoir des investisseurs de ce calibre qui choisissent d'investir dans notre pays », apprécie Yannick Bolloré.
De la comédie musicale au rugby
Ian Osborne qui jusque-là n'avait investi par passion que dans une comédie musicale londonienne se fait un nouveau cadeau . Selon le club, son intention avec Brive est de financer une nouvelle tribune dans le stade, d'investir dans la formation, de faire croître progressivement la masse salariale pour faire grandir sur plusieurs années une équipe dans une ville de taille moyenne dans laquelle le rugby est une religion… et le propriétaire du club, une star que tout le monde reconnaît dans la rue. A presque 40 ans, Ian Osborne va ainsi sortir de l'anonymat.

Message de Matu’u sur twitter.

« C'est une chose d'être absent du camp par cette chaleur et une autre que les jeunes garçons essaient d'impressionner trop les entraîneurs avec un contact à 100% alors que c'est censé être tactile ok les garçons vous allez apprendre aujourd'hui ? »

et si le fait d’intégrer les jeunes au groupe pro amenait une concurrence ?