#1 2011-03-07 14:13:31

rems
Soviet Supreme
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Le paradoxe briviste

Brive un club à faire trembler tout entraîneur signant un contrat. Brive un club qui en a sacrifié un bon paquet sur l'autel de mauvais résultats.
Beaucoup de têtes ont été coupées ces 6 dernières années, dont des mecs valables au bilan honorable.
Crespy, Soubira, Rodriguez, Tim Lane, Bakewell, et le plus gros gachis selon moi, Olivier Magne.

Et à côté de ça, on a le mec probablement le plus incapable de nous faire gagner un match. Pas par un manque d'implication, car reconnaissons à Mola le fait de mouiller la chemise, et d'être en plus sympathique à nos yeux. Et ce mec est en place depuis trois ans et je ne me fais plus d'illusions, pour la saison prochaine.

3 voire 4 ans!!!!!!!!!

Un record absolu dans l'histoire récente du club.

Posez vous des questions, messieurs les présidents, vous qui avez géré la crise de Décembre de manière désastreuse. Vous avez économisé des sous en gardant deux entraineurs désavoués en masse par les joueurs, mais vous avez envoyé notre club à l'abbatoir exactement au même moment. Ce n'est pas sur les bancs d'une grande école en finance qu'on apprend la psychologie d'un vestiaire. Vous avez fait cocus les joueurs en Décembre et vous nous faites tous cocus maintenant.

Car la différence entre Guilham, Bertrand et nous, ce n'est sûrement pas nos connaissances sur le monde de la finance, mais bel et bien que dans 10 ans nous trainerons toujours nos carcasses  au stadium un dimanche sur deux, alors que ces deux beaux parleurs seront à mille lieux d'en avoir quelque chose à branler.


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#2 2011-03-07 16:07:38

stranglov
Garde Rouge
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Re : Le paradoxe briviste

"ce n'est sûrement pas nos connaissances sur le monde de la finance"

Quand on voit comment la boutique est gérée, je me permets d'émettre des doutes sur leur propre connaissance de la finance. L'économie de Mola est la perte dramatique de demain.

Quelqu'un évoquait la pleine culpabilité de "l'Anglais". Point de xénophobie je vous prie, au début du crime, il n'était pas le seul, on avait de vrais et purs produits locaux, l'un de Brive, l'autre de Tulle... Débarquant, effectivement, le plus gros gachis, Olivier Magne.
Ah... Quelle belle histoire.

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#3 2011-03-07 17:20:07

letarmo
Герой Советского Союза
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Re : Le paradoxe briviste

C'est clair et je te suis complètement stranglov, l' ayant d' ailleurs écrit il y a quelques temps: Perdre une place en top14 et plein de bons joueurs alors qu'on avait les moyens de garder l'une et les autres est la plus incroyable gabegie de gagne-petit qu'on puisse imaginer, avec un désinvestissemnt dont la portée reste à mesurer.
Bertrand du Déclin n'est qu'un employé aux écritures, rien de plus et même moins parce que les vrais employés en question ont la conscience de ne pas devoir outrepasser leurs fonctions...tandis que l'autre satrape se croit au moins employé aux écritures saintes, tellement il est droit dans ses bottes...qui ne sont hélas secrètes en rien.
Finalement parfois je me dis qu'il m' énerve...:)

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