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De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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Pour qui ?
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Bin DAX
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Pour recruter c'est pas super.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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une fusion bého USD? Pas besoin de changer la couleur des maillots
"backrow ce n'est pas 8 ??? franz help !!"
Backrow c'est la troisième ligne (par opposition à "front row" et "second row")
"Ouais, j'ai lu de travers. "
C'est toujours mieux que lire de Labit
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Lille officiellement interdit de jouer en D2 pour 800000 euros de deficit...
Pendant ce temps don corleon fait ce qu'il veut avec 2 millions de dettes...
Ah les valeurs de l'ovalie ca laisse reveur....ou pas...
oui mais qui c'est qui finance les barbarians? grenoble? biarritz ??
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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Lille va surement faire appel.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Je crois que nous venons de perdre Christian pour un moment
"Enfin ce soir on a vu les 2 equipes qui joueront en prod2 la saison prochaine"
Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
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Mais on a perdu le poussah en tant que président de club...J'ai juste peur de le retrouver Président d'autre chose...Un ambitieux mafieux de sa trempe ne s'arrêtera pas là....
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Non non je suis la j'attends je savoure .....
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Tu as raison, ça se déguste......et j'attends avec gourmandise les commentaires demain dans les baveux.......
"La forme de l'eau, on la sait quand il gèle"
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sud ouest abonnés
Manuel Mérin, le président de l’Aviron Bayonnais, était confronté aux supporters du club mardi soir, dans un climat pesant. Avant d’apprendre que le projet était brisé.
Tout ça pour rien. Pendant près d'une heure et quart, Manuel Mérin, le président de l'Aviron Bayonnais rugby pro, a fait face, hier au stade Jean-Dauger, à près de 900 spectateurs, dans une atmosphère très tendue. La plupart ne voulant pas entendre parler de cette union avec le Biarritz Olympique. À peine avait-il eu le temps de souffler, qu'il apprenait dans les minutes suivantes que le BO omnisports avait voté contre le projet d'union entre les deux clubs. Ce dernier n'aboutira pas cette année. Son intervention du jour ne pouvait finalement rien changer.
C'était pourtant la première fois que Manuel Mérin se présentait devant les supporters depuis sa révélation de discussions pour la création d'une équipe professionnelle commune avec le BO, le 12 mai dernier. Une partie des supporters opposée à cette union avait déjà manifesté à trois reprises en un mois pour crier sa haine contre le projet. Les « Mérin démission » faisaient souvent écho à ces mouvements de contestation.
875 présents pour 500 places
Mardi soir, l'Aviron Bayonnais et les représentants des supporters ont enfin pu se réunir, à trois jours du vote de la section amateur de l'Aviron Bayonnais, qui devait s'avérer décisif dans le projet. On se doutait que cette confrontation serait tendue, elle l'a été. Manuel Mérin commençait par traverser la foule aux côtés d'un garde du corps pour se rendre à l'espace club affaires du stade Jean-Dauger.
Les supporters étaient déjà nombreux, à 18 heures, et leurs rangs n'ont cessé de grossir. 875 personnes s'étaient amassées dans la salle, alors que seulement 500 chaises avaient été prévues. L'engouement grandissait. Si bien que le début de la réunion prenait du retard. L'attente était forte et la tension ressurgissait dès les premières minutes. Manuel Mérin regagnait l'estrade sous les sifflets. Le président bayonnais commençait par rappeler le projet et les raisons qui l'ont poussé à discuter avec le BO « pour unir les forces ». De quoi raviver les sifflets de la majorité de la salle. L'intensité des débats montait encore d'un cran lorsque Peio Dospital, ancien pilier de l'Aviron, évoquait qu'à son époque, « beaucoup de supporters, comme aujourd'hui, étaient contre le professionnalisme avant de continuer de venir au match ». Il n'en fallait pas plus, une nouvelle fois, pour enflammer la salle qui reprenait en chœur, « non, l'Aviron n'est pas mort ».
Le cas du BO pose question
À plusieurs reprises, Manex Meyzenc, le président des Socios, devait intervenir pour que la réunion puisse se poursuivre. C'était au tour des questions de s'enchaîner, des représentants, puis des supporters eux-mêmes. Essentiellement sur le Biarritz Olympique, ses finances et l'avenir des jeunes Bayonnais. « Comment parler d'additionner des forces avec une équipe qui a autant de déficit ? Qu'avez-vous fait dans le traité de “fusion” de nos couleurs, notre hymne ou de Pottoka ? Que vont devenir nos jeunes s'il n'y a plus de centre de formation à l'Aviron Bayonnais ? »
Manuel Mérin tentait de garder son calme et encaissait les coups, défendant son projet corps et âme. « Jamais je ne ferai de mal à mon club. » Sa sortie fut pourtant plus que mitigée. Les supporters terminaient la réunion en faisant résonner la « Pena Baiona ». Ils pourront encore le faire l'an prochain pour soutenir uniquement « leur » Aviron Bayonnais, qui visera le maintien en Pro D2.
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Même source :
Serge Blanco démissionne
Les membres du Biarritz Olympique Omnisports ont voté contre la fusion. Le président a jeté l’éponge
Une gifle en pleine figure. C'est, à n'en pas douter, l'impression qu'ont eue les dirigeants du Biarritz Olympique hier soir, à l'issue du vote négatif sur l'union basque. Le président, Serge Blanco, n'a pas supporté l'affront. Il a annoncé aussitôt sa démission, dénonçant un hold-up des supporteurs d'Aupa BO dans une brève allocution, avant de tourner les talons, plus que dépité.
« Il faut se dire les choses en face. On a réussi à accumuler 7 millions d'euros depuis 2011. Parmi ceux qui ont voté ici, beaucoup n'ont jamais mis la main à la poche… Vous avez fait un boulot désastreux. Ceux qui étaient là ce soir ont changé l'histoire. »
L'histoire a commencé en janvier, lorsque les présidents de l'Aviron Bayonnais et du Biarritz Olympique ont amorcé des discussions secrètes. La révélation de ces tractations, début mai, a déclenché un premier cataclysme chez les supporteurs, en particulier bayonnais, dénonçant l'opacité d'une opération qui ferait disparaître leur fanion.
Pendant ce temps, Biarritz et ses supporteurs sont restés au-dessus de la mêlée. Pas de réaction collective et des prises de position majoritairement en faveur de la « fusion ». Serge Blanco a réussi à convaincre la Ville de Biarritz de lui accorder le coup de pouce financier indispensable à la « fusion », avec un versement anticipé de 1,5 million d'euros. Capgemini, le partenaire historique du BO, est aussi dans les starting-blocks. Enfin, le président de la société sportive du BO a lancé une levée de fonds début juin, afin de remettre son club à flot.
« On a fini cette levée de capitaux et on a remis les finances du club à zéro. On a un club sain. À cause de l'orgueil mal placé de certains supporteurs d'Aupa BO, cela donne un boulot désastreux », a conclu Serge Blanco hier soir, avant de rapidement remercier ceux qui l'ont soutenu et de filer hors de la salle. Le hasard a voulu que la réunion publique organisée par l'Aviron Bayonnais tombe à l'heure de l'assemblée générale biarrote.
Alors qu'à Bayonne, dans une salle chauffée à blanc, les supporteurs étaient en train de siffler le président Manu Mérin, l'assemblée générale avait commencé à Aguilera dans une atmosphère quasi ronronnante. Il y a deux semaines, le comité directeur de l'association s'était prononcé largement en faveur de l'union basque : 20 des 21 présidents de section souhaitaient la création d'une association conjointe avec l'association du rugby amateur de l'Aviron Bayonnais qui doit permettre l'octroi d'une licence fédérale au futur club professionnel. Hier, trois isoloirs avaient toutefois été installés pour assurer un vote à bulletins secrets. Durant une heure, près de 200 membres du BO Omnisports se sont succédé. Le couperet est tombé à l'issue du dépouillement : 246 votants, 242 votes exprimés, 136 oui et 105 non.
Les anti-fusion ne sont pas majoritaires mais les statuts du BO Omnisports exigent une majorité des deux tiers… Il aurait fallu 161 voix pour atteindre 66,6 %.
Dernière modification par th (2015-06-24 09:28:05)
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Projet de fusion basque : Blanco met sa démission dans la balance
La soirée promettait d'être agitée à Bayonne mais c'est à Biarritz que l'événement le plus inattendu s'est produit. Serge Blanco, l'omnipotent président du SASP du Biarritz Olympique a vu ses projets de fusion s'écrouler, pour cause d'opposition de l'association des amateurs, le Biarritz Olympique Omnisports. Ne digérant pas un tel échec, il a alors annoncé aux deux cents personnes présentes qu'il démissionnait.
L'ancien arrière a estimé qu'il s'agissait d'un « piratage en règle » de la part des supporters à qui il a reproché « un orgueil mal placé de la part de gens qui n'ont jamais mis la main à la poche ». En parallèle, il a rappelé ses efforts pour renflouer le club après ses déboires sportifs. « On a accumulé 7 millions d'euros depuis 2011. On vient de finir une levée de capitaux. La ville a donné 1,5 million. Aujourd'hui le club est à zéro. Il est sain et là, Aupa BO vient de faire un boulot désastreux ».
Serge Blanco montre du doigt le club qui réunit 500 supporters et qui avait murmuré son opposition à la fusion jusqu'à il y a une quinzaine de jours. Une opposition sourde qui s'est faite plus voyante ce week-end : un tifo avait été déployé sur la grande plage de Biarritz au pied de l'hôtel du Palais durant toute la journée de samedi. Symbolique, avaient estimé les dirigeants du BO Omnisports, au premier rang desquels son président, Jean-Philippe Tourgis. Ce proche de Serge Blanco avait réuni les présidents de section lors d'un comité directeur qui s'était prononcé par vingt voix contre une en faveur de la fusion. Les statuts du club exigeant le vote à la majorité des deux tiers de l'ensemble des membres, une assemblée générale a été convoquée et se présentait sous des auspices relativement favorables. La consultation a pris la forme d'un vote à bulletin secret et c'est dans le secret de l'isoloir que le séisme s'est construit : le non n'aurait pas dû dépasser 80 voix pour donner une chance à la fusion, il en a recueilli 105.
Menace de relégation
Les premiers mots des perdants sont « erreur » et « échec ». Ils concernent aussi l'image renvoyée à l'extérieur, autrement dit, sur les bords de Nive où nul ne s'attendait à voir la base déborder les dirigeants.
L'avenir du club, plombé par les risques d'une relégation en Fédérale dues à des finances insuffisantes, s'était un peu éclairci grâce à l'espoir de fusion. Le sponsor historique, Cap Gemini, avait promis d'être de l'aventure. Tout comme la ville de Biarritz dont les élus ont voté la semaine dernière une rallonge de 1, 5 million.
La promesse de démission de l'homme fort du BO risque d'hypothéquer plus encore la place du rugby dans la cité balnéaire.
La Direction Nationale de l'Aide au Contrôle de Gestion (DNACG) doit rendre sa décision à la fin du mois de juin sur les comptes du BO. L'enterrement de la fusion va changer la donne : les apports financiers ne seront plus les mêmes que ceux promis dans le cadre de la fusion. La relégation en fédérale pourrait bien être alors la seule issue laissée au rugby biarrot.
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Ambiance pendant la réunion à Bayonne :
Prince d'Euphor, planète détruite par les forces de Véga.
"Métamorphoseeeee !!"
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Il y a peut être la place pour une équipe pro basque, mais certainement pas en essayant d'amalgamer bého et Aviron. Une "franchise" régionale aurait certainement meilleure presse auprès des supporters des 2 camps, le poussah s'est chié dessus en estimant que son poids (fort conséquent) ferait pencher la balance. C'était sans compter sur ces gueux de supporters qui votent si mal Un des inconvénients majeurs de la démocratie: le résultat des urnes n'est pas forcément conforme aux attentes (sauf en Corse).
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Le Merin lache l'affaire aussi cool
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Que doit-on e n pense r? Victoire de s supporters, bien sur, mais après? Leur poids ne va pas s'en trouver augmenté, bien au contraire. Les dirigeants des clubs vont encore davantage s'en méfier. Cela ne facilitera pas le dialogue.
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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Ceci n'est pas une blague : un bon coup de Blanco et hop ...
Source SO
Suite à des irrégularités constatées dans le cadre des votes de mardi, les sociétaires sont reconvoqués en assemblée générale
Le vote des membres du BO Omnisports est "entaché d'irrégularités", précise le club amateur dans un communiqué diffusé ce mercredi soir.
Le comité directeur entend reconvoquer les sociétaires en assemblée générale réunie de manière extraordinaire le mardi 30 juin 2015 à 19 heures (début des émargements à 18 heures), salle Serge Kampf, au parc Aguilera de Biarritz. L'ordre du jour sera le même que celui du 23 juin.
Sont conviés à y participer tous les sociétaire du Biarritz Olympique Omnisports à jour de cotisation.
Dernière modification par th (2015-06-24 21:14:22)
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ça ne s'arretera jamais ....... il lache pas l'affaire le bougre
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Vendredi que les socios de bayonne vote contre et l'affaire est réglée
"Si je n'avais pas eu mon nez, je l'aurais pris en pleine gueule" Walter Spanghero .
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ça ne s'arretera jamais ....... il lache pas l'affaire le bougre
Pas sur que ca fasse changer d avis les sociétaires au contraire. ...
Qu on fasse vite signer ugalde apres ma foi qu'ils se demerdent entre eux
Mais c'est de l'acharnement complètement fou... C'est là où on mesure ce que sont ces gens-là...Je crois que je vais presque en arriver à les plaindre ces basques....
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De toutes façons, c'est cuit: personne n'y croit plus. Pourquoi s'entêter? Cela devient ridicule!
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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