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La ça pue du cul HA HA HA HA HA HA HA HA
Moumouneeeeeeeee !!!!!!!!!!!! viens la
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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" Bien sûr, la somme peut heurter, mais je n'ai pas d'état d'âme"
Je trouve toujours édifiant voire exaltant d'entendre comment certains élus sont généreux avec le pognon des autres (surtout celui des con-tribuables)... Comme disait l'autre excrément, "ça ne coute rien, c'est l'état qui paye".
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Amusant au premier abord, et si c'est une gaffe car réellement acté et caché au bas peuple, édifiant et éœurant : http://www.rugbyrama.fr/rugby/matches-a … tory.shtml
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Extraordinaire coïncidence de mots pour une entité qui s' appellerait une "franchise" et qui est un monument de duplicité !
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Nous on voit quand même ça de loin, même si on vomit le Bouffi et qu'on lui souhaite le plus de mal possible, à lui et sa clique.
Mais les gonzes du coin, ils doivent en chier ces jours-ci et avoir le sommeil rare et/ou agité avec tout ce mic-mac.
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"même si on vomit le Bouffi "
C'est toujours mieux que bouffer le vomi...
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Ne pas oublier que BO=constante avec B comme bruit et O comme odeur.
plus ça fait de bruit moins c'est odorant.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Ah ah ah ce Tweet d'une marque de préservatifs :
@LoopsCondoms: Fusionnez en toute sécurité avec Loops! La Fusion #rugby #Biarritz #Bayonne
Dernière modification par th (2015-06-16 10:27:08)
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Ah ah ah ce Tweet d'une marque de préservatifs :
@LoopsCondoms: Fusionnez en toute sécurité avec Loops! La Fusion #rugby #Biarritz #Bayonne
Et aromatisés au "shit" pour fumer Blancoleone?
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
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L'aviron ...sur le bon coin
http://www.leboncoin.fr/vi/819587719.htm
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Les Rochelais recrutent en mode Pro D2 (hormis les 2 sudistes):
http://www.rugbyrama.fr/rugby/transfert … tory.shtml
Dernière modification par corto (2015-06-16 13:56:15)
"Nous devons avoir une obsession, c’est d’être champions de France de Pro D2 et inscrire Brive sur le bouclier de Pro D2."
Thierry Blandinières, 19 août 2024
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Très drôle, mais je suis vachement étonné que LeBoncoin, qui est pinailleur ait laissé passer.
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Oyo qui va jouer sur un terrain synthétique, ils sont serieux?
Je suis Charlie ! ! !
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La spécialité d'Oyo, c'est le plastoc, nan? Alors un gazon synthétique pourquoi pas.
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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La spécialité d'Oyo, c'est le plastoc, nan? Alors un gazon synthétique pourquoi pas.
Comme celui aux bouriottes?
Je suis Charlie ! ! !
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Oyo qui va jouer sur un terrain synthétique, ils sont serieux?
Urios part décidément au bon moment...fini les bains dans la boue glacée en plein janvier. Le Oyo nouveau va envoyer du jeu de partout avec Lespi aux commandes.
"Nous devons avoir une obsession, c’est d’être champions de France de Pro D2 et inscrire Brive sur le bouclier de Pro D2."
Thierry Blandinières, 19 août 2024
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ptdr
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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Mercredi c'est conseil municipal à Biarritz
Une conseillère UDI (le maire est Modem) exerçant la profession de Conseil en management et organisation des entreprises dans le secteur privé, mais également public en France et en Europe. qui ne peut y assister a publié ceci sur le net.
POURQUOI JE VOTERAI NON A LA SUBVENTION DE 1,5 MILLIONS D'EUROS :
Voici mon intervention de mercredi soir 17 juin au Conseil Municipal de la Ville de Biarritz
Monsieur le Maire,
Mes Chers Collègues
Mesdames, Messieurs,
Je remercie tout d’abord, Madame Pierrette ETCHEVERRIA, qui a accepté de lire mon intervention, alors que je me trouve à l’extérieur de Biarritz pour mon activité professionnelle.
La délibération qui vient de nous être présentée concernant le financement du BIARRITZ OLYMPIQUE appelle de ma part interrogations, questionnements et interpellations.
Ma famille est Biarrote depuis 1875, c’est dire Monsieur le Maire que je suis attachée à cette ville, à son histoire, à ses traditions, à ses valeurs, bref à ce qui constitue son A.D.N.
Parmi ces valeurs, dans ce qui constitue l’histoire et l’image de BIARRITZ, il y a le BIARRITZ OLYMPIQUE, né déjà d’une fusion entre le BIARRITZ STADE et le BIARRITZ SPORTING CLUB. Nous étions en 1913…
Ce club fait la joie, le bonheur et l’honneur de celles et ceux qui aiment l’ovalie, de celles et ceux qui reconnaissent dans ce sport les valeurs qu’il incarne : celle du travail, du courage, du don de soi et du partage…
Le rugby, comme nombre d’autres sports a changé : pas tant dans sa pratique que dans le professionnalisme que le monde médiatique impose. On peut s’en offusquer, on peut le regretter, c’est ainsi.
Cela impose des sources de financement plus nombreuses, plus diversifiées et des apports de fonds de plus en plus importants.
Dans ce contexte, les collectivités sont appelées à participer au financement du sport spectacle.
Pourquoi pas ? Mais il y a plusieurs conditions.
La première est le retour sur investissements que nous pouvons en attendre au vu de l’importance des fonds publics consacrés à une structure professionnelle privée…
La seconde est le contrôle que la collectivité publique se doit d’avoir sur les fonds octroyés car il s’agit de l’argent du contribuable.
Monsieur le Maire,
Il y a un an, vous demandiez à notre conseil municipal d’attribuer, déjà, une subvention supplémentaire exceptionnelle (exceptionnelle ce sont là vos propos Monsieur le Maire) de 400 000€ au BIARRITZ OLYMPIQUE.
Vous nous promettiez aussi, mais les promesses n’engagent que ceux qui y croient, dit-on, que vous seriez très sourcilleux sur l’emploi de cette subvention et que la mairie serait en droit de contrôler l’usage de ces subsides.
Hélas, hélas, hélas…
Vous nous demandez ce soir d’abonder une nouvelle aide cette fois d’un million et demi d’euros pour ce même club professionnel alors même que celui-ci doit fusionner, donc quelque part se transformer et disparaitre au profit d’une autre entité juridique.
Nous n’avons pas eu de débat préalable sur le dispositif que vous présentez ce soir, nous n’avons aucune justification sur le montant de l’aide accordée, à peine savons nous par la presse qu’il manque 1,2 millions d’euros dans les caisses du club…
Nous sommes dans l’obligation de comprendre et d’avoir des explications, et cette fois ci non alambiquées.
Deux questions doivent être posées :
Vous promettiez il y a un an le contrôle et l’usage de la subvention dite exceptionnelle.
Nous vous avons cru, et ce malgré la fureur de nombreux biarrots qui nous ont reproché ce énième chèque de renflouement. Viscéralement attachés à ce club, une majorité d’entre nous a voté en faveur de cette subvention, en prévenant que ce serait la dernière si nous n’avions pas accès aux comptes.
Le fait que vous demandiez 1,5 millions d’euros pour renflouer les caisses du BO aujourd’hui nous démontre que cela n’a pas été fait ou mal. Que répondez-vous ?
Ou alors étiez-vous au courant de ce dérapage financier, espérant gagner encore du temps ?
Dans les deux cas, votre Conseil, votre majorité est fautive.
Et aujourd’hui, vous nous mettez le couteau sous la gorge : si nous ne votions pas, nous serions coupables de la rétrogradation du club et de sa mort certaine.
Mais au fait, Monsieur le Maire, 1,5 millions d’Euros pour quoi faire ? Vous n’avez à nous proposer ce soir, ni projet sportif, ni projet de développement, ni projet d’entreprise.
1,5 millions d’euros pour éponger de la dette.
1,5 millions d’euros demandés au contribuable biarrot alors que partout vous annoncez vouloir faire des économies,
1,5 millions d’euros alors que beaucoup de nos clubs amateurs cherchent des financements,
1,5 millions d’euros alors que la ville se dégrade, tant en ce qui concerne sa voirie, sa propreté que l’entretien courant de ses équipements.
1,5 millions d’euros alors que notre ville comme beaucoup d’autres collectivités est confrontée à la raréfaction de ses ressources budgétaires.
Vous avez beau jeu d’annoncer que cette somme est la somme que nous aurions dû payer en 5 ans.
Vous payez sûrement des impôts locaux Monsieur le Maire.
Je vous propose de payer en une traite ce que vous devriez payer en 5 ans, et ce sans aucun contrôle et sans aucun projet proposé et vous comprendrez la colère de nombreux biarrots.
Vous comprenez aussi que je ne m’associe en rien à cette disposition.
Monsieur le Maire, c’est l’enfant d’une vieille famille biarrote qui aime profondément le rugby et son club, mais aussi et surtout sa ville qui vote ce soir contre cette délibération qui ne prépare en rien l’avenir et obère le présent.
Maider AROSTEGUY
Dernière modification par th (2015-06-16 23:31:21)
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Ça donne !
Bonne ambiance en Euskadi !
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En plus elle pose les bonnes questions: Y aura t' il seulement une réponse ?
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5875e épisode
Dans un entretien accordé à "Sud Ouest", Jean-René Etchegaray, maire de Bayonne, sort de son silence :
Les supporteurs vous reprochent un silence assourdissant, ces derniers jours. Êtes-vous favorable, oui ou non, à la création d'une entité professionnelle de rugby regroupant Bayonne et Biarritz ?
Jean-René Etchegaray. J'ai pris la décision de m'exprimer après avoir consulté, écouté, rencontré beaucoup de personnes, ces derniers jours. Nous vivons une période des plus tourmentées. L'avenir de ce club, tellement ancré dans notre histoire, ne peut être traité à la légère. L'Aviron Bayonnais est partie intégrante de l'ADN de cette ville. C'est « plus qu'un club », à l'image de ce que représente le Barça pour Barcelone. J'ai fait le choix de prendre un temps que j'estimais nécessaire pour étudier au mieux la situation dans l'intérêt de la ville. À ce jour, les conditions ne sont pas réunies pour cette union. Ce choix, je l'assume, le rôle du maire de Bayonne n'est pas celui d'être un cri parmi d'autres, ni un ressenti personnel.
Pourquoi vous démarquez-vous de la position des deux présidents de clubs et du maire de Biarritz ?
Les présidents de l'Aviron et du BO portent un projet d'union qui intervient dans le cadre d'une situation financière et sportive difficile pour les deux clubs. Un temps, ce projet a été nié pour devenir réalité. Je n'ai cessé de demander que l'on me donne des éléments sur le montage financier, le projet sportif, les acteurs concernés pour que je prenne une position conforme aux intérêts de la ville de Bayonne.
Et cela n'a pas été le cas ?
À ce jour, un certain nombre d'informations me sont parvenues, ce matin encore (hier, NDLR). Mais elles sont largement insuffisantes, et il demeure d'importantes zones d'ombre.
Quelles sont vos conditions ?
Je fais part d'exigences que je considère incontournables, notamment que le nouveau club soit adossé à la seule association Aviron Bayonnais rugby amateur, que son siège soit fixé à Bayonne, et que la présidence soit confiée à un Bayonnais.
Pensez-vous que les Biarrots seront d'accord ?
L'union nécessite la concertation et la recherche d'un minimum de consensus. L'avenir du rugby professionnel exige maintenant des budgets conséquents, voire impressionnants. Cela passe sans doute par des rapprochements d'entités existantes. Et pour cette raison, il n'est pas interdit de s'interroger sur les perspectives d'union, avec Biarritz, et ensuite à l'échelle de l'ensemble du Pays basque. Mais dans le même temps, je ne peux que m'interroger sur le cadre dans lequel cette union se construit. Si l'on veut lui donner toutes les chances d'une vraie réussite, ne faut-il pas associer à sa réalisation tous les acteurs concernés : cela va des actionnaires aux partenaires, aux joueurs, à l'Aviron Bayonnais rugby amateur et à l'omnisports, sans oublier les structures de supporteurs. Or, à ce jour, le compte n'y est pas.
Que préconisez-vous ?
Il ne suffit pas d'évoquer le Pays basque pour que se résolvent, comme par enchantement, nombre de questions qui, aujourd'hui, sont douloureusement posées à tous. Elles sont d'abord financières et liées au coût social qu'aurait une union, mais aussi à certains investissements qui pèseront, de fait, très lourd sur la nouvelle entité. Il faut prendre également en compte l'utilisation des stades, la moitié du temps, avec la question de la fidélisation des publics sur les deux sites et le coût de fonctionnement que cela entraînera. Le rugby ne se résume pas à une force de frappe financière, il doit entraîner autour de lui une véritable adhésion populaire. Nul ne peut contester que l'Aviron Bayonnais fait partie de notre patrimoine immatériel. Il apporte beaucoup, dont l'essentiel du potentiel sportif, un atout qui, dans la négociation, doit être pris en compte et dont j'ai l'impression qu'il a été sous-estimé.
Ces réflexions semblent difficilement compatibles avec le calendrier resserré pour mettre en place cette union…
Le conseil de surveillance de la SASP Aviron Bayonnais a décidé de soumettre à son assemblée générale l'union des deux clubs. Mais cela doit être conforté par un certain nombre de votes, dont celui, décisif, de l'Aviron rugby amateur, ignoré jusque-là. Pour ma part, je n'ai pas à m'immiscer dans ce qui est leur décision souveraine.
Quelle sera votre influence ?
Pour ma part, je resterai à ma place, le garant des intérêts de la Ville, dont je veux rappeler l'importance de l'engagement au travers de la mise à disposition des équipements et des aides publiques, notamment les subventions. La Ville ne peut s'engager dans un nouveau projet sans connaître les éléments essentiels qui concernent le montage de la future entité, les projections financières, et le projet sportif qui fonde l'union. D'autre part, la nécessité de modifier rapidement les statuts de la FFR rend encore plus aléatoire la réalisation du projet, car son assemblée générale ne s'est pas encore prononcée. Je respecterai ces décisions, mais le soutien de la Ville ne sera au rendez-vous que si les conditions essentielles sont satisfaites.
Sportivement, votre décision aura aussi des conséquences…
J'ai surtout une pensée pour les joueurs qui ignorent encore de quoi sera fait leur très proche avenir professionnel. Je les remercie de ce qu'ils ont apporté au club, et j'apprécie particulièrement les choix de ceux qui ont décidé de poursuivre leur carrière ici.
Dernière modification par th (2015-06-17 08:30:39)
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Ils vont nous mettre un bordel les basques.... Ils doivent bien se marrer à Pau n'empêche ^^
Qu'on me mette tout ça en fédérale 1, ils auront même un derby avec Hendaye comme ça!
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Le passage en force du bouffi ne va pas aller de soi, dirait-on
Pour un peu, on soutiendrait les bayonnais, comme quoi...
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Dommage pas de coupe Vaquerin inscrite, c'était notre dernier trophée.
Le programme 2015/2016:
- 1er août: Albi - Castres (18h30) à Albi.
- 6 août: Castres - Montauban (18h00) à Lacaune.
- 14 août : Castres - Connacht (20h00) à Sainte Affrique.
Le CAB a inscrit quatre essais mais a perdu deux joueurs majeurs
Sous les yeux de Laranjeira et Radikedike, Mignardi, très en jambes, hier soir, sonne la charge briviste.
En s’imposant face à Castres au terme d’une rencontre qui n’avait d’amicale que le nom, le CAB peut appréhender le début de saison avec confiance. Même s’il devra se passer de Sisa Koyamaibole, expulsé.
Face à Castres, vice-champion de France et ogre des matches de préparation, avec notamment douze essais inscrits en deux rencontres, le CAB ne pouvait espérer meilleure répétition générale à une semaine de la reprise du championnat.Intensité, agressivité, combat, les Brivistes, en quête de certitudes et de rachat après leur prestation en demi-teinte face à Oyonnax, ont été servis.
Pour l'occasion, le staff briviste avait décidé de composer un XV de départ qui pourrait, peu ou prou, ressembler à celui qui sera aligné contre La Rochelle.
Laissé au repos après avoir disputé les matches internationaux avec la sélection fidjienne, Dominiko Waqaniburotu effectuait sa rentrée.
Koyamaibole suspendu
pour La Rochelle
Cueillis d'entrée par une superbe combinaison offensive conclue par Palis (3 e), les Cabistes courbaient un temps l'échine avant de démontrer que le stage d'une semaine à Lacaune avait permis à la ligne de trois-quarts de peaufiner ses automatismes. Tranchants, alliant puissance et vitesse dans le sillage de Radikedike, les Brivistes ont, par instants, brillé.Le premier essai de l'ailier fidjien, après un remarquable jeu debout de Laranjeira puis de Mafi, donnait un avant-goût des belles velléités du CAB (15 e). Mafi et Namy, s'occupaient de faire enfler le score. Les avants allaient à leur tour s'illustrer avec un essai de pénalité logiquement accordé.
En défense, les Brivistes ont aussi répondu présent dans le défi physique imposé, Mignardi et Germain sauvant d'ailleurs les leurs sur la ligne d'en-but.
Une agressivité débordante qui va toutefois coûter cher au CAB puisque Sisa Koyamaibole, exclut sévèrement pour un coup sur Kockott après une belle « générale », manquera au moins la première journée de Top 14, samedi contre La Rochelle.
Coup dur. Touché au bras droit, Guillaume Ribes passera des examens complémentaires, mais le staff briviste ne cachait pas son inquiétude.
brive 26 - castres 10
Dernière modification par Cherge (2015-06-17 11:38:22)
Milite pour le retour de D.Penaud
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Sinon en debut d apres midi y a le tirage au sort des 2 coupe d europe.
Pour savoir ou on pourra aller se promener cette saison.