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dsl pour le double post j'avais pas vue ... mais trés bon film quand même !!!
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"C’était quand la dernière fois qu’on s’est retrouvés tous d’accord sur un truc !?" Arthur - Kaamelott
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Moscato excellentisime
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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J'ai pas vu le film mais n'importe comment il peinera pas à être meilleur au cinoche qu'à la radio.
"Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent". Jean Yanne.
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Les avis sont partagés sur ce film:
Voici un des commentaires les plus négatif (Le Monde, pas pu coller celui de Métro, très méchant):
"Sur ce canevas, Philippe Guillard, auteur du scénario et réalisateur du Fils à Jo a préféré tourner une comédie régionale et populaire.
En fait, on devine que dans l'esprit de l'auteur, Jo Canavaro (Gérard Lanvin), ancien rugbyman de haut niveau, veuf et pauvre, est un bon garçon qui ne veut que du bien à son fils - entre autres, le voir devenir à son tour rugbyman de haut niveau.
La maladresse de l'écriture, la lourdeur des effets de comédiens peu soucieux de vraisemblance psychologique et un montage en dépit du bon sens, vont à l'encontre des intentions sentimentales de Philippe Guillard.
On sent qu'il voudrait faire chaud au cœur, faisant triompher l'amour paternel sur l'aveuglement patriarcal, réunissant deux amis d'enfance (Gérard Lanvin trouve en Olivier Marchal un partenaire infernal, ces deux-là se font beaucoup de mal ensemble), arrangeant l'irruption d'une businesswoman irlandaise qui rallumera la flamme depuis longtemps éteinte dans le cœur de Jo.
Et un des plus positif (revue Excessif):
"Si l'on peut reprocher à Philippe Guillard un scénario convenu, dénué de toute surprise (la fin se devine aisément, aucun suspense en perspective), la recette fonctionne à plein régime. Diverses raisons à cela. Tout d'abord, l'œuvre présente une construction parfaite, multipliant les rebondissements avec panache. Ainsi, les personnages évoluent rapidement sous nos yeux, tour à tour drôles ou incroyablement émouvants, de par leur caractère et leurs innombrables secrets. Ensuite, le casting proposé frôle la perfection. Si le talent de Gérard Lanvin n'est plus à démontrer, l'acteur continue de surprendre et de nous délecter à chacune de ses répliques voire simples apparitions. Une force rare. A ses côtés, Olivier Marchal dévoile une aptitude comique insoupçonnée, jouisseur et véritable boute-en-train. Enfin, Vincent Moscato se montre particulièrement attendrissant en incarnant cet étrange personnage qu'est Pompom, adulte et enfant à la fois. Un trio de choc auquel s'ajoute le jeune Jérémie Duvall, leur tenant tête avec une réelle aisance. Prometteur quant à son avenir...
Selon Gérard Lanvin, « Le fils à Jo est un film où l'on rigole, mais ce n'est pas une comédie, un film où l'on pleure, mais ce n'est pas un drame... ». En d'autres termes, sincère et humain. On ne lui donnera pas tort. A découvrir sans tarder".
A vous de vous faire votre idée....
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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Philippe Guillard, auteur du scénario et réalisateur du Fils à Jo a préféré tourner une comédie régionale et populaire
ben voui et ça plait pas trop aux Parigos...
tant mieux moi qui suis un bouzeu j'ai adoré
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Confond pas les parigots et les critiques de film !
Les ch'tis aussi c'est régional et populaire et ça a eu autant de succès à Paris qu'ailleurs.
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je voulais dire les critiques de film sont en general à Paname Tarmo (désolé si j'ai véxé ex un Parigo) )O
Dernière modification par christian (2011-01-12 23:57:30)
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Le parigot étant une espèce en voie d' extinction, il convient de la protéger
En revanche le bourge bobo proliférant sur les trottoirs jadis réservés au susdit, on doit le traquer sans pitié.
A noter que cette espèce invasive pond ses oeufs en zone rurale et tend à reproduire son habitat d' origine dans le confort ouaté des appart des beaux quartiers.
On le différencie du vrai parigot (audiardus minimus) par le cri aigu de la femelle au moment de l' accouplement et les roucoulements amoureux du mâle devant les patés de sable de paris-plage.
La disparition de l' audiardus minimus est liée à la destruction progressive de son environnement, notamment les "bougnati couinii" où il se désaltérait.
C'est très triste !
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Le bourge bobo que tu décris là se reconnait facilement:
- il se déplace en vélib sur les trottoirs et dans les sens uniques et pourrit la vie des piétons et des zotomobilistes
- il commence à remplir les tribunes de Jean Bouin en s'excitant sur les pectos de Szarzewski (impossible depuis maintenant 3 ans d'y trouver une place sans s'y prendre 1 semaine à l'avance) et en s'extasiant sur les "valeurs" du rujebi
- Sa vision du monde se limite à la lecture du Courrier International
Quant aux critiques émises par certains journaux, si des torcheballes comme le monde ou metro disent que le film est mauvais, alors je vais aller le voir
Et puis j'aime bien Philippe Guillard qui est un mec très sympa, possédant un talent de plume non négligeable (tout le monde connait son fameux bouquin "petits bruits de couloir", mais la vraie classe, c'est d'avoir lu son premier bouquin "Pourquoi c'est comment l'amour" qui est un petit bijou)
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Hé oui, Paris a changé de couleur et de mentalité. Et c'est que maintenant que ca commence à se voir et à agacer? Parait que les rêveurs devraient faire l'avenir du pays... seule chose qui manque; les payeurs c'est tout!
Enfin, le populaire ce n'est pas people à Paris, mais comme "une époque formidable" avec Juniaud ou le "bonheur est dans le pré" avec le "Schmaul" (j'sais plus l'écrire) je souhaite Guillard que du bonheur! Son film, que je compte aller voir, devrait faire un tabac!
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
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le "bonheur est dans le pré"
Un de mes films cultes
Lapin, tu peux compter sur moi!
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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ça, faut dire )
Entre Sabine et schmoll, le courant passe...
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le "bonheur est dans le pré"
Un de mes films cultes
Lapin, tu peux compter sur moi!
puisque tu parles de ça François il à ete tourné à côté d'Eauze et de Vic-Fezensac l'equipe et resté un grand moment dans le coin et les gens d'ici en parle encore un merveilleux souvenir avec des acteurs qui fesaient la fête avec les gens du coin le soir
le film et un vrai bonheur et le tournage l'etait aussi....
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Je croyais que les scènes qui se passaient à Condom avaient été tournées à Mirande?
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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ça, faut dire )
Entre Sabine et schmoll, le courant passe...
Même que la Sabine, ça lui a bien débouché les écoutilles.....;o)
"La forme de l'eau, on la sait quand il gèle"
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Je croyais que les scènes se passaient à Condom
C'est un film avec en toile de fond le rugby et donc avec des mecs qui ont couilles mais de là à en faire un film de boules...
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Je croyais que les scènes qui se passaient à Condom avaient été tournées à Mirande?
Les prises de Condom n'étaient pas bonnes ?
"Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent". Jean Yanne.
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Je croyais que les scènes qui se passaient à Condom avaient été tournées à Mirande?
je te confirme à Eauze et Vic-Fezensac ils parlent effectivement de Condom dans le film
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