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...et les boules sont toutes petites, mauvais signe
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"St Claude (là au moins y'a une spécialité locale interessante...)"
Te moque pas, mon père a joué à St Claude, avant d'aller au CAB lorsqu'il était lieutenant au 126.
Et la vraie spécialité locale (pas celle en bois de Boulogne...), c'est la taille......du diamant!
avec la mondialisation, tu peux tailler des diamants,a peu pres partout ,mais surtout en israel,Anvers,pour les pipes,la taille est universelle,meme à Brive!
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Putain, Besançon, Oloron, St Claude (là au moins y'a une spécialité locale interessante...), Châlon, Lanemezan, ST Girons, Lavelanet........c'était le bon temps !!
certes,mais qqs unes avaient des spécialités communes! marrons poires boites à gifles.....ah,les rendez vous de 15 heures en Du Manoir vers Oloron,Lanemezan,Lavelanet et qqs autres Lourdes ,Tarbes.... Tout à la main
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Et après les poules, les matchs éliminatoires avec des Graulhet/Brive à Villeneuve sur Lot haut-lieu du jeu à 13, contre Montchanin à Vichy, Narbonne à Toulouse.................................etc................................. que des supers moments, ou les matchs commençaient directement en générale dès le coup d'envoi et de renvoi, puis après respect.
Nostalgie, nostalgie!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! quand tu nous tient.
L'échec est le fondement de la réussite
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Même saoul je préfère encore le rugby d'aujourd'hui je pense.
Le niveau de jeu de l'époque est comparable à un petit niveau de Fédérale2 actuel....
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C'est une autre époque, c'est certain, mais tu avais des équipes qui envoyaient du jeu ,malgré ce que tu en penses.
Les Narbonne, Béziers, Lourdes, Brive(et oui),Toulouse(déjà), liste non exhaustive.......................................................etc....................
L'échec est le fondement de la réussite
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A l'époque les joueurs possédaient les gestes techniques de base comme la passe, le plaquage et le bourre pif sans moulinet.
De nos jours, les zathlètes actuels de 120 kgs courant le 100m en 10 secondes sont infoutus de faire une passe et ne peuvent même pas poser une tartine en toute discrétion sans faire l'hélicoptère.
Toufoulcan
Cétémieuhavan
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Et pourtant... En juniors au CAB la passe de 25m des deux côtés fait partie des figures imposées
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Heu, Franz, le placage, c'était moins bien avant (pour les trois-quarts, notamment), alors que, pourtant, avec le gabarit de l'époque, c'était pas des bulldozers qu'il y avait à descendre!
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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Pas d'accord. Avant on apprenait à se baisser pour plaquer, au lieu de se livrer à ces ridicules gesticulations de treiziste consistant à essayer de plaquer tout en bloquant la balle. Le but était bien de stopper la progression du ballon, pas de mettre le plaqué en position difficile pour la phase de contest au sol. La dite phase n'avait d'ailleurs pas vraiment lieu dans le temps car se faire plaquer avec le ballon (c'est à dire être tenu avec genou en terre) était un péché grave non seulement dans l'esprit, mais également dans la règle car tout joueur "plaqué" est censé libérer le ballon "immédiatement" (pas après 1, 2 ou 3 secondes). Cette règle n'a pas changé d'ailleurs (règle 15.5), simplement elle est de moins en moins appliquée correctement.
Aujourd'hui le XV est devenu un jeu à XIII au rabais avec la non application de la règle de libération de ballon qui conduit à des absurdités arbitrales.
Dans mes jeunes années, la blessures la plus courante sur un terrain était la fracture de la clavicule; et l'origine était systématiquement un impact de genou au plaquage.
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Dans mes jeunes années, la blessures la plus courante sur un terrain était la fracture de la clavicule; et l'origine était systématiquement un impact de genou au plaquage.
Le genou de l'attaquant dans la clavicule du défenseur?
C'est pas un peu dangereux comme placage pour les genoux notamment? A chaque que je vois un mec plonger dans les genoux j'ai peur pour le genou pété. Les ligaments, faut quand même faire gaffe
"Enfin ce soir on a vu les 2 equipes qui joueront en prod2 la saison prochaine"
Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
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Je confirme un genou est beaucoup plus solide qu'une clavicule! Mais tu te trompes de façon de plaquer cece19. Là, pas question de plongeon dans les genoux ou les chevilles, mais d'un plaquage à la taille ou aux cuisses. Si tu prends le joueur lancé, de face, quand son genoux remonte... Ca peut faire du dégât!
Dernière modification par ORTHO (2013-08-30 17:18:06)
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Pour un plaquage de face, le porteur du ballon avait tendance à monter les genoux... C'était quand même plus dangereux pour le plaqueur que pour le plaqué, c'est même à cela que l'on jugeait le courage et l'engagement d'un joueur: sa détermination à y mettre le nez pour plaquer.
Un genou, c'est en général plus solide qu'un pif...
Pour les non pratiquants, j'invite tout un chacun à descendre sur le terrain, même pour un match gigot haricot, et à plaquer de face, histoire de gouter à ce que le rugby a de plus noble
C'est une expérience salutaire qui facilite grandement la compréhension du jeu
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je confirme pour des gabaris comme moi valait mieux jouer y a 30 ans et on ete pas mal quand même
quand à Lespaulpaul de mes 2 le Beziers ou le Cab d'y a 30 ans c'etait autre chose que du niveau de FED 1 ou 2 des conneries pareil faut quand même les sortir !!!
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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Pour un plaquage de face, le porteur du ballon avait tendance à monter les genoux... C'était quand même plus dangereux pour le plaqueur que pour le plaqué, c'est même à cela que l'on jugeait le courage et l'engagement d'un joueur: sa détermination à y mettre le nez pour plaquer.
Un genou, c'est en général plus solide qu'un pif...
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M'en parle pas a une époque (pas si lointaine en comparaison de vous les vieux du forum^^) je jouais arrière, et ses con de centre qui loupé les plaquages avec un deuxième rideau inexistant (il ou le demi ... au bar Gérard !) le un contre un, que je n'aimais pas trop d'ailleurs (je prefere nettement les bonnes relance aprés un jeu au pied foiré du 10 d'en face), il en faut bien qui s'y colle au plaquage en face à face !
Place I 1552
"C’était quand la dernière fois qu’on s’est retrouvés tous d’accord sur un truc !?" Arthur - Kaamelott
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D’ailleurs, les gros ne nous faisaient pas vraiment peur! Pour l'exemple, combien le Marcel (Puget) 1 m70/68 Kg, en a plié? Pour les+ jeunes, c'était le cap'taine à brive et en EdeF!
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
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Je confirme un genou est beaucoup plus solide qu'une clavicule! Mais tu te trompe de façon de plaquer cece19. Là, pas question de plongeon dans les genoux ou les chevilles, mais d'un plaquage à la taille ou aux cuisses. Si tu prends le joueur lancé, de face, quand son genoux remonte... Ca peut faire du dégât!
Ok je pige mieux. Maintenant quand les mecs plongent dans les genoux, c'est plutôt l'épaule en avant et en arrivant un peu sur le côté. Les croisés peuvent prendre très chers facilement je pense.. Idieder avait pété COllins d'ailleurs comme ça. Mais pas volontairement je crois en glissant sur le terrain gelé.
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Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
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A l'époque les joueurs possédaient les gestes techniques de base comme la passe, le plaquage et le bourre pif sans moulinet.
De nos jours, les zathlètes actuels de 120 kgs courant le 100m en 10 secondes sont infoutus de faire une passe et ne peuvent même pas poser une tartine en toute discrétion sans faire l'hélicoptère.Toufoulcan
Cétémieuhavan
Aujourd'hui un plaquage haut, c'est un arbitre droit dans ses godasses le sifflet dans bec! Avant c'était une partie d'hélicoptère dans tout le stade, avec des corps étendus partout! Sans oublier les menaces pour le match retour...
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Pour un plaquage de face, le porteur du ballon avait tendance à monter les genoux... C'était quand même plus dangereux pour le plaqueur que pour le plaqué, c'est même à cela que l'on jugeait le courage et l'engagement d'un joueur: sa détermination à y mettre le nez pour plaquer.
Un genou, c'est en général plus solide qu'un pif...
Pour les non pratiquants, j'invite tout un chacun à descendre sur le terrain, même pour un match gigot haricot, et à plaquer de face, histoire de gouter à ce que le rugby a de plus noble
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on avait un spécialiste en 2eme ligne qu'il valait mieux éviter de plaquer tellement les genoux volaient haut(les poing aussi ) :joel Merlaud !
"Si je n'avais pas eu mon nez, je l'aurais pris en pleine gueule" Walter Spanghero .
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D’ailleurs, les gros ne nous faisaient pas vraiment peur! Pour l'exemple, combien le Marcel (Puget) 1 m70/68 Kg, en a plié? Pour les+ jeunes, c'était le cap'taine à brive et en EdeF!
et oui et regarde aussi le Wilko pas trés costaud pourtant il defend trés bien et remu de la barbaque aussi
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Pour un plaquage de face, le porteur du ballon avait tendance à monter les genoux... C'était quand même plus dangereux pour le plaqueur que pour le plaqué, c'est même à cela que l'on jugeait le courage et l'engagement d'un joueur: sa détermination à y mettre le nez pour plaquer.
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J'ai une oreille qui est resté collée sur la pub d'un short en plaquant de face!
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franz a écrit :Pour un plaquage de face, le porteur du ballon avait tendance à monter les genoux... C'était quand même plus dangereux pour le plaqueur que pour le plaqué, c'est même à cela que l'on jugeait le courage et l'engagement d'un joueur: sa détermination à y mettre le nez pour plaquer.
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Pour les non pratiquants, j'invite tout un chacun à descendre sur le terrain, même pour un match gigot haricot, et à plaquer de face, histoire de gouter à ce que le rugby a de plus noble
C'est une expérience salutaire qui facilite grandement la compréhension du jeuJ'ai une oreille qui est resté collée sur la pub d'un short en plaquant de face!
ouf j'ai eu trés peur sur ce coup la
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Mdr!! Moi aussi. Saloperies de pub plastifiées!!
Dernière modification par ORTHO (2013-08-30 17:43:46)
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Franz a dit:
"Pour les non pratiquants, j'invite tout un chacun à descendre sur le terrain, même pour un match gigot haricot, et à plaquer de face, histoire de gouter à ce que le rugby a de plus noble"
Effectivement, il y a ce qu'on voit, et la pratique. Mais la pratique n'est pas toujours aussi difficile qu'il y parait. Au début de mon expérience, je comprenais pas comment on pouvait sécher un gros en le plaquant aux jambes, de manière à ce qu'il fasse pas un mètre de plus (je fais 1 m 72). Puis, au final, on se rend compte que ce n'est pas si difficile. Si, une fois l'adversaire plaqué, on se retrouve à terre avec les bras entourant ses mollets, il ne faut pas croire qu'on s'est jeté dans les jambes 'stricto sensu'. C'est en visant à ceinturer le bassin de l'adversaire, qu'avec son élan, on se retrouve à terre avec les bras nettement plus bas, mais ça n'indique pas qu'on ait visé, avec ses bras de lui ceinturer les mollets en pleine course. Sauf cas particulier où on se jette vraiment dans les jambes, mais, dans ce cas, c'est que le joueur adverse n'était pas vraiment lancé (ou bien c'est un acte désespéré!). Tout ceci à condition d'avoir évité le raffut, of course.
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"Tout ceci à condition d'avoir évité le raffut, of course."
Toutafé. D'où l'intérêt de baisser le museau.
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