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C'est vrai qu'on peut craindre que Mola ait pas mal de taf pour faire fonctionner un groupe avec de nouveaux éléments, mais bon il y a un acquis quand même...
Ce qui m' embête plutôt c'est que la source de cette amélioration du niveau de jeu: Elle semble bien dans la cohésion et l'envie qui sont nées au sein du groupe, et ça franchement même si Ugolin a pu aider par sa façon d' être, c'est d' abord aux joueurs actuels et au groupe qui s'est forgé qu'on le doit.
Et si le groupe se détricote trop, rien ne dit que ça reviendra lors de la prochaine saison. Rien ne dit même qu'elle va pouvoir perdurer lors des prochains matchs tellement les gars ont semblé à fond.
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Après chaque journée de championnat, Rugby-Transferts vous dévoile quels ont été les 15 meilleurs joueurs de la journée. Voici le XV de la rédac de la 22ème journée de Top 14.
Larges vainqueurs de Bayonne, les Perpignanais ont été emmenés par une charnière très dynamique composée de Florian Cazenave et James Hook, le Gallois livrant sans doute son meilleur match depuis son arrivée en France.
Face à un RC Toulon à l'image de Bakkies Botha, les Brivistes se sont appuyés sur la puissance d'Antonie Claassen et les nombreux plaquages d'Arnaud Mignardi pour l'emporter.
Enfin, le virevoltant ailier Juan Imhoff et le solide arrière François Steyn ont joué un grand rôle dans la victoire bonifiée du Racing-Métro contre Castres, un concurrent direct pour les barrages.
1. Yvan Watremez (Biarritz)
2. Agustin Creevy (Montpellier)
3. Nicolas Mas (Perpignan)
4. Bakkies Botha (Toulon)
5. Lionel Nallet (Racing-Métro)
6. Jean Bouilhou (Toulouse)
7. Nicolas Bontinck (Lyon)
8. Antonie Claassen (Brive)
9. Florian Cazenave (Perpignan)
10. James Hook (Perpignan)
11. Martin Bustos Moyano (Montpellier)
12. Florian Fritz (Toulouse)
13. Arnaud Mignardi (Brive)
14. Juan Imhoff (Racing-Métro)
15. François Steyn (Racing-Métro)
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Letarmo a dit:
"cette amélioration du niveau de jeu: Elle semble bien dans la cohésion et l'envie qui sont nées au sein du groupe, et ça franchement même si Ugolin a pu aider par sa façon d' être, c'est d' abord aux joueurs actuels et au groupe qui s'est forgé qu'on le doit."
Doit-on, désormais, réviser notre jugement sur UM? Personellement, après avoir autant dénoncé les manques de notre équipe et leur responsable, qui me paraissait bien être Mola, je dois admettre que cette fin de saison vient contredire nos craintes. Il faut bien admettre que le groupe fonctionne nettement mieux, et que, derrière, ça finit par tourner, et même un peu plus qu'à minima. Alors, l'action de Mola, dans ce constat? Malgré lui? grâce à lui?
Je reprends ce qu'a dit Letarmo: il y a de ces chefs qui ne donnent pas l'impression de diriger, mais qui, par leur action moins tranchante que des chefs charismatiques (et quelquefois despotiques) laissent un groupe se révéler, se souder par lui-même. Ou bien Mola doit-il ce succès actuel dans l'action constante de ses adjoints? Godignon et Casa (auquel on ne rend pas assez hommage) semblent effectivement avoir jeté les bases de cette réussite actuelle. Encore une fois, me^me question: rôle de Mola dans l'action de ses adjoints? Là, je serai plutôt pour lui accorder un bon bout de crédit: choix judicieux de Godignon, permanence des résultats des gros malgré de départ de Laussusq. Bref, Mola est-il entrain d'y arriver? la direction a-t-elle eu finalement raison dans son obstination à garder U.M.? Tout à fait honnêtement, voici tout un lot de questions sur lesquelles je n'ai pas de réponses à donner. Ceux qui vont assister aux entrainements pourraient-ils nous donner leur avis sur ce qu'ils perçoivent du rôle de chacun?
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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Pour moi l'amélioration dans le jeu des trois quarts a pour origine la prise de responsabilité de Mignardi. La sortie verbale qu'il a fait après le match contre Bayonne (une equipe en perdition) a été suivie d'effet.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Dans La Montagne du Jour Dubarry et Mignardi utilisent d'autres arguments pour expliquer la victoire, là ou Mola est "estomaqué" par le long fleuve briviste du top14. .
Milite pour le retour de D.Penaud
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Lu dans Sud Ouest d'aujourd'hui
Il y a deux ans, Bayonne, 13e, avait profité de la rétrogradation administrative de Montauban pour sauver sa place dans le Top 14.
Les difficultés financières récurrentes de Brive qui peine à boucler un budget de 13,8 millions d'euros, ont réveillé les rumeurs et les interrogations : la situation du CAB est-elle comparable à celle du club du Tarn-et-Garonne au printemps 2010 ?
« Non, répond Patrick Wolff, le vice-président de la ligue. Montauban c'était un désastre. Brive aujourd'hui se trouve dans une procédure normale comme quatre autres clubs de Top 14 convoqués par la DNACG (Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion, le « gendarme financier » du rugby français, NDLR), parce qu'il existe un différentiel entre leur budget prévisionnel et leur situation comptable du moment. Nous voulons voir comment ils prévoient leur atterrissage. Nous avons considérablement renforcé le calendrier de cette procédure. Pour l'instant, il ne faut pas créer de faux espoirs ou de fausses illusions. »
Reste que le déficit du CAB s'élèverait à près d'un million et demi d'euros. À quelle hauteur se situera la tolérance de la DNACG ?
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Sud-Ouest essaie juste de protéger "son" club en ressortant un chiffre qui était sorti dans le midol y a un mois de ça, rien à en tirer !
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Ben si puisque c'est Patrick Wolff qui explique que Brive fait partie d'un club des 5.
Milite pour le retour de D.Penaud
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J'ai une autre explication à l' évolution positive du groupe, si, si...
Et si Ugolin nous lisait ?
Après tout, ce qu'il commence progressivement à adapter dans sa conduite du groupe, son choix de confier les clefs à Godignon derrière, des petites choses qu'il n' aurait pas fait avant où son ego lui dictait de se fermer un peu dans sa tour d'ivoire...apprendre à partager, à prendre du recul, à se remettre en question, il a peut-être su prendre ce virage-là, mettre de la stabilité et se trouver récompensé par une meilleure cohésion du groupe ?
En fait il me semble bien avoir pris un virage et avoir corrigé ses entêtements...si on l'a aidé, on pourrait peut-être demander une remise sur les places...
Non ?
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"Montauban c'était un désastre. Brive aujourd'hui se trouve dans une procédure normale comme quatre autres clubs de Top 14."
Voilà ce qui est à relever.
Et même si un de ces clubs était un peu plus limite que les 4 autres (lesquels, au fait ?), pourquoi ce serait Brive ?
Dernière modification par Tic et Tac (2012-04-02 20:55:38)
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Je ne pense honnêtement pas qu'il ait changé! Tout simplement qu'il a muri et progressé!
Il s'est retrouvé balancé manager au départ de Seigne! Il a accepté, a fait des erreurs, mais comme tout un chacun l'expérience venant, il progresse et rectifie le tir! Un mec intelligent quoi!
Coujou avant tout!!!
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..;On a intérêt que ce soit le cas !
Vu qu'il n'y pas de succession en vue.
maintenant, on ne peut pas non plus minimiser l' ampleur de la descente du CAB sous son contrôle.
Si effectivement il est mieux, je continue de penser que pour l' essentiel ce sont les joueurs et l'osmose créée, largement dûe à Godignon qui ont changé la donne. Il se tient plus en retrait, si ça va comme ça tant mieux. Etre intelligent c'est une chose, avoir la technique, le sens du management et les connaissances pour rendre un groupe efficace c'en est une autre.
Reste à espérer si le CAB se sauve qu'il saura en plus rendre efficace et préparer dans les temps un groupe qui devrait être encore largement remodelé.
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On ne sait pas où on sera l'année prochaine mais sur le midol un petit article nous explique que nous aurons une subvention de100 000 € à laquelle s'ajoute l'accord de 1M venant des sponsors + les indemnités kako et bélie 300 000 €. En gros nous aurons un budget à l'équilibre.
Ca s'annonce compliqué pour le futur nos affaires... Quel gâchis qu'Andros et Derichebourg n'arrivent pas à tomber d'accord pour nous batir un budget solide... Pourtant quand on voit les joueurs se viander comme ils le font... Le CAB mérite d'être en top14!!
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On pourrait p'être demander à l' affreux roux...non j' déconne.
Ce qui pourrait aider, c'est que DD la thune passe la main sans se contenter de se désengager doucement, car côté local je crois bien que ça ne bougera pas.
Et puis, quand même, cette espérance tardive d'un maintien ça n'a pas dû aider à titiller les sponsors.
Il faudra de la chance côté budget, pour décider tel ou tel hésitant.
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La réussite du groupe en fin de saison pour moi est due à pas mal de facteurs.
Le premier, ce sont les hommes, les entraineurs d'un côté: personne ne peut nier que Mola est un passionné et il a sans doute muri, appris de ces erreurs, Godignon fait de l'excellent travail et Casa a assuré une continuité devant à tel point que j'ai entendu Delmas dire de la mêlée du CAB que c'était une référence...; les joueurs bien entendu ont pour la plupart de très grosses qualités rugbystiques qu'ils arrivent enfin à exprimer (je rappelle que le mot le plus employé à l'intersaison dernière était "potentiel"), mais surtout c'est l'amalgame d'un groupe de potes qui dans la difficulté s'est resserré et garde le cap depuis (perso, je pense que l'aspect générationel -beaucoup ont entre 24 et 27 ans- joue énormément + qques papas pour "encadrer").
Le second point, c'est le travail: les dires de certains présents aux entrainements et les echos de LM semblent aller dans le même sens, il y a eu plus d'engagement et de concentration à l'entrainement dernièrement. On peut y ajouter le retour de Geraghty, la stabilité de la ligne de 3/4 tout au long de l'année à cause (et grâce) au manque de profondeur de l'effectif...
Un dernier point aussi qui peut sembler fumeux...c'est la météo...j'ai été le premier à trouver que Mola nous vendait du vent en parlant de conditions météo défavorables durant l'hiver mais force est de constater que le beau temps n'a pas non plus déclenché la pluie d'essais adverse à laquelle on aurait pu s'attendre en début de saison...et qu'il a peut-être permis de s'exprimer un peu plus offensivement.
"Nous devons avoir une obsession, c’est d’être champions de France de Pro D2 et inscrire Brive sur le bouclier de Pro D2."
Thierry Blandinières, 19 août 2024
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La fin de la saison commence aujourd'hui, il faut attendre pour écrire la conclusion. Le club a évité le rouge contre Toulon, il reste encore 4 étapes à franchir pour ne pas être l'avant dernier. Pour une équipe qui avait du potentiel il y a eu pas mal de ratés y en aura-t-il encore?
Milite pour le retour de D.Penaud
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Un dernier point aussi qui peut sembler fumeux...c'est la météo...j'ai été le premier à trouver que Mola nous vendait du vent en parlant de conditions météo défavorables durant l'hiver mais force est de constater que le beau temps n'a pas non plus déclenché la pluie d'essais adverse à laquelle on aurait pu s'attendre en début de saison...et qu'il a peut-être permis de s'exprimer un peu plus offensivement.
Sans vouloir m'envoyer de fleurs, je vous ai chanté ce refrain pendant tout l'hiver : contrairement à ce qu'on entendait autrefois, le temps pourri nivelle le niveau des avants, secteur où on est forts, et le temps sec ne défavorise pas une bonne défense, secteur où on est forts aussi, tout en permettant d'exploiter plus aisément les ballons récupérés par celle-ci.
Or c'est dans cette période hivernale qu'on a le plus patiné.
Les derniers matchs me donnent raison : la mêlée redevient conquérante (si Delmas le dit...), au sol on récupère des ballons sans en perdre beaucoup, et des essais comme celui de Biarritz ou celui de samedi, on les marquerait pas sous la pluie.
Bon, j'arrête de m'auto-congratuler. ;o)
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En fait la mêlée est surtout efficace en fonction des gars qui la composent, à mon avis, et même dans un seul match on la voit parfois prendre l' ascendant, parfois se faire enrhumer, et l' arbitre y fait aussi...mais bon le temps...oui peut-être.
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En fait la mêlée est surtout efficace en fonction des gars qui la composent, à mon avis, et même dans un seul match on la voit parfois prendre l' ascendant, parfois se faire enrhumer, et l' arbitre y fait aussi...mais bon le temps...oui peut-être.
Je te suis dans le sens ou la mêlée aujourd'hui est plus technique que ce que nous avons vécu, et on s'est rendu compte que ça commence avec l'interprétation de l'entrée au commandement de l'Homme en " noir ", car ils n'ont pas la même temporisation, et ce sera un bras cassé ou plus grave quand elle se relève parce que l'impact d'un coté est trop fort pour certains c'est pénalité pour d'autres c'est à refaire.
Donc il y aura toujours à redire sur ce geste technique collectif et à mon avis c'est pas fini.
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Oui sur la mêlée, mais j'ai été agréablement surpris de voir que l'entrée de Lacombe avait amélioré la situation en seconde mi-tps contre le rct. A part Barnard qui individuellement sur les phases de mêlées me semble un peu en dedans par rapport aux autres (je ne suis vraiment pas un spécialiste), globalement les mecs sont tous performants. Cela dit, le retour de Cardinali (c'est pour quand) fera le plus grand bien pour cette fin de championnat.
D'ailleurs, on n'en a pas trop parlé, mais le Pablo doit approcher la fin de carrière...quid de l'an prochain ?
"Nous devons avoir une obsession, c’est d’être champions de France de Pro D2 et inscrire Brive sur le bouclier de Pro D2."
Thierry Blandinières, 19 août 2024
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Il y a, de manière déterminante, l'impact des deux premières lignes suite au commandement de l'arbitre: c'est souvent à ce moment là que l'ascendant se fait. C'est pourquoi aussi ils ont tendance à anticiper le commandement, ce qui génère le bras cassé. De l'ascendant pris à cet impact découle parfois l'écroulement de l'adversaire, ce qui se transforme en pénalité. Je pense qu'il y a davantage de pénalité extraite de ces phases de jeu qu'avant ces règles. Nous en avons souvent bénéficié.
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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D'ailleurs, on n'en a pas trop parlé, mais le Pablo doit approcher la fin de carrière...quid de l'an prochain ?
J'avais cru lire ou entendre dire qu'il prenait sa retraite, je serais content de me tromper.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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