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Par contre, il est bel et bien annoncé partant de chez nous…
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Tapuai….silence radio…
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Matthieu Voisin signe a Provence rugby
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Bonne chance à Mathieu pour la suite . C’est un joueur attachant, que je regretterai.
On aura l’occasion de le revoir mais avec un autre maillot…
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Ils en auront un paquet des recrues Provence ...
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On aura l’occasion de le revoir mais avec un autre maillot…
Ou pas.
"Le public sera moins présent la saison prochaine
d'où les interrogations ce matin sur la presse
Il y a pas mal de déçus et c'est bien normal"
Yvanov le 6 juin 2025
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Bonne chance à Mathieu pour la suite . C’est un joueur attachant, que je regretterai.
On aura l’occasion de le revoir mais avec un autre maillot…
très bonne nouvelle pour lui !
il part dans une belle région, avec un club ayant des ambitions de monter en top 14
" ils sont bons quand ils ne sont plus chez nous "
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Ou pas
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Rugby : Comment fonctionne le marché des transferts en France ?
RUGBY. Souvent moins médiatisé que celui du football, le marché des transferts dans le rugby professionnel suit pourtant une logique bien rodée, avec ses règles strictes, ses coups en douce et des pratiques en pleine évolution comme les rachats de contrat.
Plongée dans les rouages d’un marché de plus en plus stratégique.
Une règle de base : le respect du contrat
Dans le rugby professionnel français, un joueur ne peut, en théorie, être approché librement que s’il est dans la dernière année de son contrat.
Avant cela, tout contact est considéré comme une entorse aux règlements, sauf si le président de son club donne son accord explicite pour autoriser des discussions.
Cette règle, posée par la LNR et encadrée dans les conventions collectives du secteur, vise à limiter les débauchages et garantir la stabilité contractuelle.
Pourtant, dans la réalité, les discussions commencent bien avant les fenêtres officielles.
Agents, présidents et directeurs sportifs s’activent dès l’automne, parfois même plus tôt, pour anticiper les besoins du club et les velléités de départs.
Un calendrier bien défini
Le marché des transferts dans le rugby français est officiellement ouvert du 1er avril au 30 juin.
C’est dans cette période que les clubs peuvent enregistrer les mutations des joueurs sous contrat, selon les règles fixées par la LNR.
Les transferts annoncés avant cette date concernent généralement des joueurs en fin de contrat ou des signatures anticipées, souvent déjà négociées dès l’automne.
Les nouveaux contrats prennent ensuite effet au 1er juillet, date à laquelle commence officiellement la nouvelle saison.
Les rachats de contrat, une pratique en pleine expansion
Longtemps marginale, la pratique du rachat de contrat gagne du terrain.
Lorsqu’un joueur est encore engagé pour une ou plusieurs saisons, un club peut proposer une indemnité financière à son employeur actuel pour le libérer plus tôt.
Ce type d’opération, encore peu fréquent il y a quelques années, tend à se développer, notamment autour des profils stratégiques ou très convoités.
Ces deals nécessitent un triple accord : le joueur, le club vendeur et le club acheteur. Ils sont parfois facilités par des volontés partagées — par exemple lorsqu’un joueur ne souhaite plus rester, ou lorsqu’un club veut alléger sa masse salariale.
Un Salary Cap strict à 10,7 M€
Autre contrainte majeure dans la gestion des transferts : le Salary Cap, fixé à 10,7 millions d’euros par club et par saison en Top 14.
Il encadre la masse salariale globale, et comprend désormais les jokers médicaux et Coupe du monde, qui étaient auparavant hors plafond.
Des crédits salariaux existent pour encourager la formation (joueurs JIFF) ou récompenser les clubs ayant des internationaux.
Chaque joueur sélectionné en équipe de France rapporte 160 000 € de crédit salarial à son club, ce qui permet d’aller chercher un renfort sans faire exploser la masse globale.
L’indemnité de formation
L’indemnité de formation, une protection pour les clubs formateurs
Quand un joueur formé dans un club signe son premier contrat professionnel ailleurs, une indemnité de formation est due.
Elle est versée par le club recruteur au club formateur, afin de compenser le travail de développement réalisé durant les années de formation.
Cette indemnité s’applique uniquement si : Le joueur est considéré comme JIFF (joueur issu de la formation française).
S’il n’a jamais signé de contrat professionnel auparavant et s’il quitte son club formateur pour un autre.
Le montant, forfaitaire, varie selon l’âge du joueur et la division du club recruteur. En Top 14, il peut atteindre plusieurs dizaines de milliers d’euros pour un joueur de moins de 23 ans.
Passé cet âge, l’indemnité devient dégressive, voire inexistante.
Dernière modification par Yvanov (Aujourd'hui 13:44:10)
" ils sont bons quand ils ne sont plus chez nous "
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Et si on faisait semblant d'être intéressé par Tapuai pour recruter Liam Williams qui pourrait débarquer en pro d2
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