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alors avec la permission d'alaincab le duc se promene
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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le duc entraineur celle la ja sait pas de qu'elle année 58 ou 59
http://cjoint.com/?BAcwSQOEebV
Dernière modification par christian (2012-01-02 22:46:50)
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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alors avec la permission d'alaincab le duc se promene
Peut-être quand ils ont été obligés de jouer au stade de l'ASPO.
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le duc entraineur celle la ja sait pas de qu'elle année 58 ou 59
Il n' y a pas Pierre Besson, donc c'est avant 63, mais il me semble que son frère est là donc au moins 1960.
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pierre besson accroupi à gauche en costard )
"Si je n'avais pas eu mon nez, je l'aurais pris en pleine gueule" Walter Spanghero .
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Oui, mais j'étais pas sûr. Beau maillot.
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pour revenir à 1972
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et le pauvre malheureux d'Auboiroux qui ne fait pas la finale
brive-cosnac
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comme tu dit....
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Quand les arriéres ne font pas la finale Brive chûte (Auboiroux, Viars ans Viars)
Milite pour le retour de D.Penaud
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et le pauvre malheureux d'Auboiroux qui ne fait pas la finale
Abarousse, Jean-clauuude Rooooques prononçaient les Bitterois en partageant leurs cubiténaires de pinard avec nous.
Viars ans Viars, moi pas comprendre.
Dernière modification par Traps (2012-01-03 11:53:14)
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t'es pas le seul pourtant on parle le Cherge depuis trés longtemps
comme quoi .....
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le duc entraineur celle la ja sait pas de qu'elle année 58 ou 59
D'après mon père qui faisait un passage à la maison (en 57 il était en Algérie).
Pebeyre-Saran-Normand-Erabide-Simon-Lefevre-Lacombe-Burguet-Farfart-Chapsal-Domenech
Besson-Bastie-?-?-Castiglioni-Roques-Besson-Escalante
Dernière modification par Traps (2012-01-09 09:47:24)
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16ème de finale
Dernière modification par Traps (2012-01-18 15:56:35)
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Le tour suivant:
"Il ne s'agit que de la phase préparatoire: Jean-Claude Roques dont les tirs tactiques ont perturbé la système dacquois a souvent dégagé la voie pour Yachvili et Lewin, artisans d'un premier essai (refusé) bien propre à modifié le cours du jeu, si une faute imaginaire n'avait privé le CAB du bénéfice de quatre points qui auraient pesé lourd dans la balance"
Dernière modification par Traps (2012-01-18 22:46:49)
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putain qu'il était beau le maillot...
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Ce n'était pas un Kappa d'Italie.
Milite pour le retour de D.Penaud
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concours du jeune joueur !Jean Farfart , fils de André Farfart et pére de Mathieu qui porte les couleur du SCT et de Julien celle d'Objat.
brive-cosnac
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Commentaires demi-Finale recopiés par mes soins, l'original pas pratique à scanner et publier: ça c'est presque du Victor Hugo ou du CK.
LE GRAND RENDEZ-VOUS
Le débat n’avait jamais, Dieu sait, ressemblé en quoi que ce fût à une farce. Et pourtant, « oreilles en coins et yeux en coulisse », on entendait à son issue, dans les vestiaires narbonnais, des diatribes qui ressemblaient à autant de dépits amoureux ».
Il est vrai que la victoire avait longtemps caressé de ses ailes les hommes de Walter Spanghero, qui s’étaient battus en dignes descendants d’une trilogie impériale. Ils avaient ainsi quelque peu dérouté les Brivistes, pourtant bien placés pour savoir que la meilleure défense est encore l’attaque. Mais qui, de l’aveu même de Jean-Claude Roques, ne s’attendaient pas à autant de différence, eu égard à la tactique inaugurée quinze jours avant à Brive.
De quoi décidément reparler de farce, ou plutôt de « fourberie de Scapin ». Seulement, Roques n’est pas Géronte et le C.A.B. encore moins heureusement en état de gérontologie.
D’où, l’amertume bue et légitimement alambiquée, un fiel sans motivation apparente déversé sur le directeur de jeu et sur ses assesseurs à la touche.
Car enfin, et pour ne prendre que ce « pressum doloris », la mise hors de combat, « godasse à l’appui », de Marcel Puget n’aurait-elle pas justifiée, sous une férule plus rigide, un coup de caveçon destiné à museler une fois pour toutes l’auteur d’un forfait que certains subodorent bel et bien prémédité.
Alors, messieurs les censeurs, un peu de pudeur à un moment où, précisément, les avants brivistes et dacquois viennent de se voir morigéner pour ce qui s’apparente, en comparaison, à roupie de sansonnets !
En tout cas, et à défaut d’un transport en lit de justice, c’est sur un lit de douleur que nous avons retrouvé, sans peur et sans reproche, plus qu’un preux chevalier, un roi courageux. Quel réarmement moral sa présence a dû représenter jusqu’au bout pour ses coéquipiers !
Quatre-vingts minutes jouées à quatorze ? Non, un quinze se ressoudant corps à corps autour d’un superbe combattant, trois apophyses facturées ! Cela tient du miracle, mais même sous le vocable du bon Saint Antoine les hagiographes reconnaitraient sans doute la part triple du talent, du métier et de l’habileté. Sacré Marcel ! âme forte qui trouvait encore le moyen d’arguer de ses facultés de récupération pour défier la Faculté et prétendre à la finale cent fois méritée.
A l’impossible nul n’est tenu, mais Puget ne nous a-t-il pas habitués à aller jusqu’aux limites du possible ?
Toujours est-il que si Puget le « parfait » doit revêtir la 21 mai, et à son corps défendant, le consolamentum, peut-être verra-t-il malgré sa mauvaise fortune, mais avec son bon cœur, Michel Yachvili pallier l’absence si « lourde à porter ».
Un Yachvili sans cesse aux charbons ardents, en première ligne de feu roulant d’une mêlée ou « ça rougnait » que diable ! Mais le diable en bénitier c’était notre « évincé » d’Australie renvoyant d’un seul coup ses critiques à leur seule place. Celle que Jean-Claude Roques avait déjà assignée dans son intégrité et qui se situe aux antipodes de la justice. Et encore heureux que le bras séculier ait reconnu persona grata et Jean-Claude Rossignol et Alain Marot. Il est vrai qu’il est bien difficile d’ignorer ou tout simplement de feindre, en politiciens style –autruche, les vertus confondantes d’un club deux fois finaliste en un septennat au relent présidentiel.
Des capacités manœuvrières de Jean-Claude Roques à la balistique meurtrière de Lucien Boulpiquante, en passant par le registre d’un brillant Auboiroux imperturbable, voilà à n’en pas douter, ce qu’il est convenu d’appeler des « signes de temps ». Signes qui ne trompent pas si on en juge par la maîtresse façon dont le C.A.B. a su renverser la vapeur. On a beau avoir la « tripe cabiste » et la foi accrochée jusqu’à la moelle des os, avouez que voir ses favoris habitués à porter les premiers l’estocade (y compris aux toros dacquois !) se laisser envelopper à leur tour par la muletta de toréadors narbonnais disposés à jouer les matadors a de quoi faire passer fluide glaciale et sueurs froides. Et pourtant, Puget physiquement diminué mais moralement intact, le ressort psychologique ne s’est en rien brisé.
En revanche c’est Bull (terme anglais pour taureau !) piquante, comme un picador,qui en deux premiers temps et trois banderilles, a planté avec les premières illusions audoises.
Coup de théâtre bien dans la lignée des plus grands acteurs, surtout lorsque les réparties d’en face sont tout autres que de simple composition. C’est ce qu’en distingué connaisseur le premier ministre M. Jacques Chaban-Delmas a dû sussurer à l’oreille de son voisin M. Jean Charbonnel, député-maire de Brive, venu féliciter le tout premier ces ambassadeurs exceptionnels qui se verront sans doute élevés le 21 mai au rang de plénipotentiaires.
Titre certes tout honorifique, mais qu’à en croire le président Elie Pebeyre, la charmante épouse de M. le Premier Ministre leur a conféré avec beaucoup d’enthousiasme en scandant à la cantonnade notre cri de ralliement qui était encore plus, dimanche, notre raison d’être : « Allez Brive ! »
Sans doute les stigmates douloureuses de Marcel Puget, l’essai narbonnais qui ressemblait à un coup du sort, et surtout la valeur intrinsèque du rugby briviste ne sont-ils point facteurs étrangers à cette réaction qui nous honore.
Pouvait-on, au demeurant, rêver plus belle et célèbre marraine à la veille de ce que notre confrère « l’Equipe » baptisait dans son édition de lundi « Finale de géants ».
Expression d’autant plus judicieuse que le gigantisme ne se traduira pas uniquement dans certaines mensurations individuelles
Il s’agira ni plus ni moins que des deux supers grands du rugby français, tellement même que leur réputation a dépassé les frontières de l’hexagone.
Cette finale de titans a d’ailleurs été précédée entre autres d’un quart de siècle meublé et émaillé de souvenirs tous plus pathétiques et aussi croustillants les uns que les autres.
Que ce soit à Sauclières, au Stadium ou en terrain neutre, les promesses ont toujours été payées argent comptant pour le plus grand…contentement des témoins privilégiés.
Invaincus depuis deux saisons, mais obligés au partage des points (« courbe-toi Estève, fier Sicambre »), les francs « héraults » biterrois vont jouer leur titre devant un C. A. B. qui, cette saison, ne compte que des victoires.
Heureux présage qui tendrait à démontrer que le champion officiel pourrait bien passer la main au champion officieux. Surtout si ce dernier ajoute à ses atouts un Puget de supplément d’âme et, en tout état de cause, un sujet d’espoir plus que jamais fondé à exorciser Gerland 1965 !
« ALLEZ BRIVE »
Dernière modification par Traps (2012-01-19 10:56:51)
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Merci pour l'huile de coude Traps!
Cette littérature nous change de la médiocrité épistolaire actuelle du midrole, de l'épique ou autres torche-balles à vocation prétendument sportive.
J'aime particulièrement le refrain sur le godassage qui avait valu la blessure de Puget. Il serait peut être bon pour l'édification des jeunes générations de rappeler les faits...
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Ce n'était pas un Kappa d'Italie.
Non, Le Coq Sportif, facile à deviner, faut regarder le short.
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GLOIRE SANS BOUCLIER
La puissance sans la gloire et la gloire sans bouclier de Brennus ! Le C. A. B. s’il n’est pas sorti de la légende de souverain sans couronne, a trouvé au-delà de l’amertume le baume de la consécration.
Témoin oculaire de la vaillance des cœurs et de la générosité d’esprit de ses « ambassadeurs », le député-maire de Brive s’est fait l’interprète de l’opinion unanime de ses compatriotes. Il a résumé en un raccourci saisissant le cheminement de toute pensée objective en déclarant « qu’il y a des échecs qui ne sont pas des défaites ».
Petite phrase pertinente et qui dépasse de beaucoup le contexte au demeurant grandiose de la réception officielle du lundi soir. Car sa véritable dimension et son sens profond procèdent du fond de jeu cabiste.
A cet égard, le C. A. B. cru 72 est demeuré fidèlement dans la lignée séduisante du finaliste de 1965. Il n’a en rien dérogé et, de surcroît, s’est hissé au diapason de son vainqueur en conquérant la dignité –hélas purement honorifique- d’un champion de France qui aurait été aux antipodes d’une quelconque « doublure ».
Mais puisque les dés ont roulés dans le camp biterrois, la sportivité nous conduit à accepter tout naturellement le verdict.
Tout au plus peut-on, sans chercher à ratiociner ni marchander, constater que le succès du champion en titre s’est abrité derrière l’opportunisme.
Comportement sans nul doute nécessaire et suffisant puisqu’il a permis la reconduction du bail.Mais, n’est-ce pas déjà douter secrètement de sa supériorité hiérarchique que de s’en remettre à son « féal »du soin de « faire le jeu »
Question sans réponse, mais qui ne fait qu’ajouter à notre sentiment rétrospectif d’un revers uniquement dû à un enchaînement fatidique. Gerland a été ni plus ni moins le carrefour des occasions perdues. Seulement, l’enceinte lyonnaise tenait son talisman du fait solennel qu’elle était l’ultime lieu de rendez-vous.
Sans céder à la superstition, on est en droit de s’inquiéter de savoir pour quel sortilège le C. A. B. s’est trouvé subitement en proie à la « pibane ». Au point même d’être ébranlé dans sa force tranquille, comme si la « sorcière aux dents longues » avait malignement frappé nos Cabistes d’ataxie.
Et dire que toutes les qualités de maîtrise révélées face aux adversaires des précédentes batailles manquaient sans crier gare à l’heure du « jugement dernier » !
Un peu de réussite et c’était l’assurance d’une marge suffisamment substantielle pour mettre le C.A.B. hors de portée. Mais, en ce dimanche de Pentecôte, « l’esprit sain » avait déserté le camp du C. A. B. au point d’en faire un de ces mal-aimés qui n’a pas l’heureuse fortune d’être avec la chance en… odeur de sainteté ! Présage qui avéré malheureusement trop souvent vérifié au fil des minutes et dont l’illustration la plus accablante, l’abomination de la désolation, ont été scellées aux pieds par l’insigne malchance des botteurs cabistes.
Pareille malédiction ne s’était pas abattue sur le C. A. B. depuis ce triste jour mil neuf cent quarante-six qui avait vu « différer » d’une saison le retour en Division Nationale. Et ce non par la vertu d’un adversaire outrageusement courbé quatre-vingt minutes durant, mais faute d’avoir réussi un seul coup de pied sur la demi-douzaine tentée, alors que le vis-à-vis, bien que d’une pointure au-dessous s’était élevée plus haut que la chaussure grâce à une pénalité convertie après cinquante mètre de trajectoire !
Mais hier ne saurait toujours expliquer aujourd’hui et, victime d’un sort injuste, le C. A. B. a su l’accepter avec un esprit chevaleresque qui contraste singulièrement avec tout ce qui a pu être subodoré ou exprimé à son encontre ces temps derniers.
Dignes dans l’adversité, les hommes de Jean-Claude Roques se sont battus jusqu’à forcer l’admiration de leur heureux vainqueurs. Et si le franc-jeu n’est pour eux qu’un sceptre symbolique, ils ont quelques raisons de se dire à tout le moins vice-rois d’une saison qui ne souffre pourtant la royauté qu’un seul jour.
Ne refaisons donc pas l’histoire avec des si, mais si l’emploi du conditionnel ne sied guère en la matière, puisons l’enseignement au futur antérieur. A une époque où le C. A. B. n’avait pas encore conquis ses lettres de noblesse mais où, à défaut d’être son allié indéfectible, la chance ne prenait pas avec lui des allures de grande dame capricieuse. Eh bien, pour ne parler que des confrontations avec Béziers, force est de considérer qu’elles tournaient alors avec très peu de variantes à l’avantage des brivistes.
A chance égale, ils battaient même en brèche l’hostilité parfois ouverte de certains directeurs de jeu. Comme quoi l’infortune persistante de dimanche semble bien avoir été le seul obstacle à la consécration d’une équipe dont la conception et la technique de jeu peuvent dès maintenant justifier l’ambition suprême.
Espérance trahie, mais sans préjudice porté à la valeur intrinsèque du rugby briviste. C’est ainsi qu’avec une philosophie de supporters stoïques sous l’orage, les milliers de fidèles ont compris et témoigné lundi soir de leur attachement aux vertus conquérantes d’un glorieux vaincu. Avec chevillée à la moelle des os, en communion avec le président Elie Pebeyre, la foi vivante des catéchumènes.
Pour eux tous, s’il n’est pas encore le premier au faîte de la hiérarchie, le C. A. B. est certainement depuis dimanche le « dernier des justes » !
« ALLEZ BRIVE »
Dernière modification par Traps (2012-01-20 17:38:43)
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mdr trop bien
j'aime bien la photo de Merlaud et cette Pu...... d'esteve il doit y avoir au moins 2 de QI sur cette tof
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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Je dirais 3 de QI avec le gus deriere ;-)
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Ouaih, mais je crois (je suis pas sûr, c'est loin)) que Merlaud a été viré, parce qu'il avait tenté un drop, s'était fait contrer et Béziers avait marqué un essai plus que casquette. C'est peut-être pour ça qu'ils sont sortis copains Il y en a qui lui en ont voulu une sacrée pelée.
Il semblerait que la devise de l'époque, était: CONFIANCE, AMITIÉ, COURAGE.
Dernière modification par Traps (2012-01-20 19:15:20)
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