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Ah bon, il faut avoir des circonstances favorables?????? Le Mimolette va faire brûler des cierges dans toutes les églises puisque ces fameuses circonstances, on est pas foutu de se les créer. Toujours aucun schéma directeur, on joue toujours "à la va que je te pousse". Consternant! Aucun interview où un joueur ne concède "on joue comme des merdes".
Merci Boris.
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Merci Boris
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Merci Boris.
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Au moins on est d'accord. Faut 6 victoires, soit le nombre de matchs à domicile..
Je suis bien daccord avec Lacombe..
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Et merci Boris, pour tous ces articles durant 2011 et ta loyauté dans les moments difficiles. Bonne année à toi et a tous
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Au moins on est d'accord. Faut 6 victoires, soit le nombre de matchs à domicile..
Je suis bien daccord avec Lacombe..
C'est sur, mais avec 5 plus quelques bonus ça le fera aussi, ça nous laisse encore un (énième) joker........enfin j’espère !
4, c'est évident que ça dépendra de nos petits camardes, mais eux ont l'air d'être dans une dynamique largement supérieure à la notre, à part peut être le LOU et Bayonne, en tout cas les 2 prochains matchs seront - une fois de plus - (même s'il y en a marre de répéter ça à chaque journée !) cruciaux.
Si seulement leur issue pouvait être aussi favorable que la réception des 2 clubs basques............
Bin quoi, Noël n'est pas très loin et nous en sommes encore dans la période des voeux, non ?
D'ailleurs bonnes années à tous et à toutes !
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On ne battra pas Montpellier si Spedding ne relance pas.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Le soir à la veillée le père Nicolas nous raconte les récentes épopées basques.
Milite pour le retour de D.Penaud
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"On ne battra pas Montpellier si Spedding ne relance pas."
Ben s'il n'y a que ça.....je veux bien descendre pour le match, et lui botter le cul à chaque fois qu'il receptionne un ballon !
"La forme de l'eau, on la sait quand il gèle"
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Alors là aucune chance. Et ce n'est pas le problème de Spedding.
Il fait parfois de belles relances, jouant comme un 10 mais il n'y a JAMAIS personne pour suivre ce genre de mouvement, ce n'est pas un truc qu' Ugolin leur fait travailler. Les autres savent faire, nous pas.
Jamais on enclenche la marche avant collectivement.
Du coup plus personne derrière, à part Scott parfois voire Jamie Noon, ne s'y essaye.
La seule chose qu'on maitrise parfaitement c'est l' essuie glace !
Le CAB doit être l' équipe qui fait le plus de chemin en travers dans tout le top14. On devrait le surnommer le CRAB
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Alors là aucune chance. Et ce n'est pas le problème de Spedding.
Il fait parfois de belles relances, jouant comme un 10 mais il n'y a JAMAIS personne pour suivre ce genre de mouvement, ce n'est pas un truc qu' Ugolin leur fait travailler. Les autres savent faire, nous pas.
Jamais on enclenche la marche avant collectivement.
Du coup plus personne derrière, à part Scott parfois voire Jamie Noon, ne s'y essaye.
La seule chose qu'on maitrise parfaitement c'est l' essuie glace !
Le CAB doit être l' équipe qui fait le plus de chemin en travers dans tout le top14. On devrait le surnommer le CRAB
Exact
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C'est vrai, que c'est super prévisible. Essuie glace et sans mec pénétrant c'est compliqué....
Allez on y crois pour samedi, il pleuvra pas j'espere.. on aura pas d'excuses comme ça
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Allez on y crois pour samedi, il pleuvra pas j'espere.. on aura pas d'excuses comme ça
Mais si, ils auront oublié de changer les crampons. Trop longs, ils étaient enracinés dans la pelouse: pouvaient plus démarrer.
Dernière modification par Traps (2012-01-02 11:32:08)
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lol mais biensur ^^
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http://www.lequipe.fr/Rugby/breves2012/ … -noon.html
Remplacé à la 64e minute de jeu face à Agen (défaite 15-9), Jamie Noon souffre d'une blessure au genou. Le cas du trois-quarts anglais pourrait être sérieux. La durée de son indisponibilité devrait être connue dans les prochaines heures
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Retour de Claassen j'espere... et j'espere Forgues aussi pour ses qualités plus offensives
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http://www.rugby365.fr/infos-clubs/briv … 1169.shtml
Battu à Agen (15-9) samedi, Brive a encaissé sa dixième défaite de la saison. Les Corréziens, qui n'ont plus gagné depuis plus de deux mois, sont onzièmes. L'entraîneur Ugo Mola évoque les difficultés actuelles de son équipe.
Ugo Mola, sur quoi bascule le match à Agen (15-9), samedi ?
Un peu sur la conquête en deuxième mi-temps. Nous n’avons pas eu les mêmes munitions qu’en première mi-temps. On prend une pénalité à cinq mètres de notre ligne alors que nous ne sommes pas en danger. Cela permet à Agen de passer devant à ce moment-là. Je n’ai pas trouvé que l’équipe adverse, cinquième du championnat, ait mieux maîtrisé son sujet que nous, onzièmes. Je ne suis pas sûr qu’il y ait six ou sept places d’écart entre nous. Mais sur l’ensemble des deux rencontres, Agen a pris huit points, nous deux. Soit les six points qui nous manquent pour ne pas avoir les fessiers serrés jusqu’à la fin.
N’avez-vous pas fait preuve de fébrilité dans les moments clés ?
Ce qui est dommage, c’est un fait de match hallucinant. Il y a normalement une possession du ballon pour Brive à quinze contre quatorze. Mais cela n’a pas été le cas. C’est comme ça. Les conditions n’ont pas été évidentes pour les deux équipes. La veille, j’avais entendu l’entraîneur le plus titré du rugby français (Guy Novès) dire qu’il ne pouvait pas jouer avec les meilleurs joueurs du monde dans ces conditions. Ce n’est pas avec Brive et Agen qu’on allait jouer.
Vous avez pourtant tenté…
(Il rit) Oui, on essayé mais on n’a pas été payé. On a fait des choses intéressantes en première mi-temps. Le score méritait d’être un poil plus lourd car je crois que nous aurions pu tourner à 9-3. Je suis déçu de notre conquête sur la fin du match. J’ai le sentiment que c’est plus de la précipitation qu’un manque d’organisation. C’est ce qui nous manque pour être plus en mesure de gagner des matchs à l’extérieur contre une équipe qui, je vous le rappelle, est cinquième du championnat (ndlr : quatrième après cette victoire).
Vous aviez regretté la mauvaise occupation du terrain et la gestion de la charnière sur les derniers matchs. Avez-vous été rassuré sur ces points ?
Oui mais ce qui amène la mêlée est un ballon que nous voulons jouer, on le rend sur un en-avant. Il faut aller au bout de ses choix. Nous sommes toujours un peu entre deux. Nos joueurs ont la capacité de faire mieux, c’est ça qui est dommage. On manque aussi parfois un peu de lucidité.
« Le groupe vit bien »
Comment expliquez-vous la différence de parcours avec Agen ?
Les Agenais sont dans une bonne dynamique que nous n’avons jamais réussi à avoir. Dès la première journée, nous avons cravaché. Nous avons pris dix bonus, c’est assez hallucinant. Est-ce que cela suffira ? On verra bien.
Comment vit le groupe ?
C’est compliqué d’un point de vue comptable mais pas le climat de tous les jours. J’ai connu des climats bien plus compliqués. Le groupe vit bien. Les mecs passent du bon temps ensemble. Sur le caractère et l’état d’esprit, il n’y a rien à redire sur l’équipe de Brive. On manque parfois de talent, de flamboyance ou de maîtrise. Tout ça vient avec le temps. Mais le temps nous manque. Il ne reste plus que douze journées de championnat. D’ores et déjà, je peux vous dire qu’on va jouer le maintien contre Montpellier et Perpignan.
Les autres résultats de ce week-end ne vous aident pas…
Oui, notamment la victoire de Bordeaux-Bègles contre le Stade Français (39-6). Tout le monde avait annoncé que Bordeaux était petit et on voit que ce n’est pas le cas. Les Biarrots ont aussi gagné (25-6 contre Toulon). Les résultats ne nous aident pas mais nous avons les cartes en main avec encore six matchs à domicile. Avec moins de quatre victoires, il faudra des circonstances favorables, ce qui n’a pas été le cas depuis le début de saison. Mous sommes certains d’être dans le vrai dans l’état d’esprit et le caractère mais aussi dans les intentions de jeu dans des conditions climatiques très compliquées en première mi-temps. Il faudra valider ce travail contre Montpellier et Perpignan.
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La seule chose qu'on maitrise parfaitement c'est l' essuie glace !
Le CAB doit être l' équipe qui fait le plus de chemin en travers dans tout le top14. On devrait le surnommer le CRAB
Excellent !!!!
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Encore une interview délirante de Mola, je ne supporte plus de lire de telles conneries.
Après la défaite à Agen, l'entraîneur de Brive Ugo Mola veut s'accrocher
Battu à Agen (15-9) samedi, Brive a encaissé sa dixième défaite de la saison. Les Corréziens, qui n'ont plus gagné depuis plus de deux mois, sont onzièmes. L'entraîneur Ugo Mola évoque les difficultés actuelles de son équipe.
Ugo Mola, sur quoi bascule le match à Agen (15-9), samedi ?
Un peu sur la conquête en deuxième mi-temps. Nous n’avons pas eu les mêmes munitions qu’en première mi-temps. On prend une pénalité à cinq mètres de notre ligne alors que nous ne sommes pas en danger. Cela permet à Agen de passer devant à ce moment-là. Je n’ai pas trouvé que l’équipe adverse, cinquième du championnat, ait mieux maîtrisé son sujet que nous, onzièmes. Je ne suis pas sûr qu’il y ait six ou sept places d’écart entre nous. Mais sur l’ensemble des deux rencontres, Agen a pris huit points, nous deux. Soit les six points qui nous manquent pour ne pas avoir les fessiers serrés jusqu’à la fin.
N’avez-vous pas fait preuve de fébrilité dans les moments clés ?
Ce qui est dommage, c’est un fait de match hallucinant. Il y a normalement une possession du ballon pour Brive à quinze contre quatorze. Mais cela n’a pas été le cas. C’est comme ça. Les conditions n’ont pas été évidentes pour les deux équipes. La veille, j’avais entendu l’entraîneur le plus titré du rugby français (Guy Novès) dire qu’il ne pouvait pas jouer avec les meilleurs joueurs du monde dans ces conditions. Ce n’est pas avec Brive et Agen qu’on allait jouer.
Vous avez pourtant tenté…
(Il rit) Oui, on essayé mais on n’a pas été payé. On a fait des choses intéressantes en première mi-temps. Le score méritait d’être un poil plus lourd car je crois que nous aurions pu tourner à 9-3. Je suis déçu de notre conquête sur la fin du match. J’ai le sentiment que c’est plus de la précipitation qu’un manque d’organisation. C’est ce qui nous manque pour être plus en mesure de gagner des matchs à l’extérieur contre une équipe qui, je vous le rappelle, est cinquième du championnat (ndlr : quatrième après cette victoire).
Vous aviez regretté la mauvaise occupation du terrain et la gestion de la charnière sur les derniers matchs. Avez-vous été rassuré sur ces points ?
Oui mais ce qui amène la mêlée est un ballon que nous voulons jouer, on le rend sur un en-avant. Il faut aller au bout de ses choix. Nous sommes toujours un peu entre deux. Nos joueurs ont la capacité de faire mieux, c’est ça qui est dommage. On manque aussi parfois un peu de lucidité.
« Le groupe vit bien »
Comment expliquez-vous la différence de parcours avec Agen ?
Les Agenais sont dans une bonne dynamique que nous n’avons jamais réussi à avoir. Dès la première journée, nous avons cravaché. Nous avons pris dix bonus, c’est assez hallucinant. Est-ce que cela suffira ? On verra bien.
Comment vit le groupe ?
C’est compliqué d’un point de vue comptable mais pas le climat de tous les jours. J’ai connu des climats bien plus compliqués. Le groupe vit bien. Les mecs passent du bon temps ensemble. Sur le caractère et l’état d’esprit, il n’y a rien à redire sur l’équipe de Brive. On manque parfois de talent, de flamboyance ou de maîtrise. Tout ça vient avec le temps. Mais le temps nous manque. Il ne reste plus que douze journées de championnat. D’ores et déjà, je peux vous dire qu’on va jouer le maintien contre Montpellier et Perpignan.
Les autres résultats de ce week-end ne vous aident pas…
Oui, notamment la victoire de Bordeaux-Bègles contre le Stade Français (39-6). Tout le monde avait annoncé que Bordeaux était petit et on voit que ce n’est pas le cas. Les Biarrots ont aussi gagné (25-6 contre Toulon). Les résultats ne nous aident pas mais nous avons les cartes en main avec encore six matchs à domicile. Avec moins de quatre victoires, il faudra des circonstances favorables, ce qui n’a pas été le cas depuis le début de saison. Mous sommes certains d’être dans le vrai dans l’état d’esprit et le caractère mais aussi dans les intentions de jeu dans des conditions climatiques très compliquées en première mi-temps. Il faudra valider ce travail contre Montpellier et Perpignan.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Lol t'a copié mon post plus haut... ^^ Vaux mieux deux fois qu'une :=
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Je ne lis même plus..... Putain, dans n'importe quelle boite, un Directeur Commercial qui expliquerait à son boss que le chiffre du mois, comme celui du mois dernier, et celui du mois d'avant, n'a pas été atteint parce que c'est la crise, y'a les impôts à payer, c'est la rentrée, c'est bientôt Noël......serait prié de passer chercher son compte à la compta dans les meilleurs délais !
"La forme de l'eau, on la sait quand il gèle"
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Bah il faut juste lui expliquer que SI il y a sept places d' écart entre nous !!!
Que surtout une contre-interview le fasse rentrer dans son trou, si c'est possible.
Il n'est pas NORMAL qu'il soit le seul à pouvoir l'ouvrir, et à ouvrir en même temps son gigantesque parapluie.
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Tu veux qu'il comprenne comment? en Inuinnaqtun ou en khalkha?
Il parle déjà le martien.
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Merci Boris !
"la cigale se trouva dépourvue quand le pare brise fut venu"
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