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Et c'est reparti pour un tour ! http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/20 … tory.shtml
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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C'est clair que c'est pas clair...
Afficher ces gosses dans un calendrier nu est-il un acte de maltraitance?
Boudjellal a au moins le mérite d'ouvrir le débat!
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Les footballeurs peuvent aller se rhabiller, le rugby les a incontestablement rattrapés. (
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Il est amusant de lire MB critiquer la provenance des fonds du SF. Mais les siens d'où viennent ils ???? Pour mémoire le patron d'un de ses sponsors est en prison pour fraudes sur des marchés publics. Amis vertueux.....
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bah sur ce coup, c'est quand même amusant de voir le Mourad retoquer Bernie the door.
Que les affaires de Mourad soient parfois un peu glauques, sûr, mais il met pas mal de son flouze dans l' affaire. Celles de bernie sont à mon avis nettement plus zarbi, et surtout dénoncer l'omerta imposée par Laporte me plait bien.
Ce type a quand même très probablement privé les rochelais d'une requalification après avoir effectué un montage financier de toute évidence BIDON, à moins que mère Thérésa se soit mise au rugby...Elle est morte ?
Ha pardon ;(
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Le SF va aider les enfants. http://www.lequipe.fr/Rugby/breves2011/ … lique.html
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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D'où va sortir le prochain reboucheur de trou (financier,entendons-nous bien) du top 14 ?
Parce que là, il a quand même fait fort, le Bernie !
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C'est extravagant ! Ce sont les institutions bancaires qui savent quelle est l'origine des fonds !!!
bah qu'elles le disent...sûr que le SF va rapporter gros, dans les 10 ans quand les petits nenfants auront grandi, sûr que les donateurs ne pensent qu'au bonheur des petits ;(((
Alors ça j' avoue qu'il fallait oser...C'est une réponse ?
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A l'OM, Kaskckar, il n'a pas pu racheter le club car les fonds étaient douteux. En rugby, on s'en tape d'où vient le pognon.
"Enfin ce soir on a vu les 2 equipes qui joueront en prod2 la saison prochaine"
Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
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Un autre son de cloche, "landais" celui-là...ou les dérives d'une LNR et d'une DNACG à deux vitesses !!! Article paru dans Sud-Ouest.
Philippe Cazaubon, 52 ans, patron des transports du même nom, préside aux destinées du rugby professionnel montois depuis quatre ans. En 2007, il avait été adoubé par Benoît Dauga, aujourd'hui il démissionne. Pour tirer un bilan de sa présidence, jeudi matin dernier, il arrive à notre agence montoise décontracté, en chemise à fleurs et légèrement en retard. Un café et un verre d'eau accompageront deux grosses heures d'entretien. Ça va souffler.
« Sud Ouest ». Quel bilan tirez-vous de ces quatre ans de présidence ?
Philippe Cazaubon. Quel bilan ? On peut en tirer plein. Sur le plan financier, cela a toujours été compliqué. Tout le monde sait que ce n'est pas ce qui me passionne dans la vie. L'argent est un moyen et un moteur de projets. Et forcément, il faut toujours être à la recherche de fonds. Mais c'est le lot de tous les présidents de clubs de rugby. On a néanmoins toujours réussi, même si cela n'a jamais été simple.
En quatre ans, quelle a été l'évolution du budget ?
On a démarré avec un budget de 2,6 millions d'euros en 2007 pour atterrir à un budget prévisionnel de plus de 4 millions pour la saison prochaine, avec une pointe lorsqu'on est passé en Top 14. La première année, on a fait de grandes choses avec peu de moyens. Sans perdre de vue qu'on n'attire pas les mouches avec du vinaigre. On a pu faire ces choses-là parce qu'on était porteur d'un discours ambitieux pour le futur. Lors de cette saison faite de bouts de ficelle, on a insufflé une dynamique autour du club. Il y avait un projet. Il y a eu des victoires avec de nouveaux coaches, un nouveau manager. C'est cette année-là que la mascotte est apparue, l'hymne aussi. Que la rénovation du stade a été engagée. Même si elles n'ont pas pu ou su s'inscrire sur la durée, deux personnes m'ont beaucoup aidé à ce moment-là. Eric Lamarque (le manager) et Bruno Fleury (le chargé de communication) ont eu une grande importance.
Cette première saison de « bouts de ficelle » est votre préférée ?
C'est forcément la plus belle car c'est celle de l'innocence. Il y avait une forme de candeur. Il régnait un parfum d'enfance sympathique. J'ai toujours dit qu'un projet ne naissait pas avec de l'argent. En revanche, c'est l'argent qui le fait vivre. Et force est de constater que, de cette belle dynamique sportive de la première année, n'a jamais pu naître une belle dynamique financière. En plus, cette première année, on la clôture par un match somptueux (NDLR : victoire en finale d'accession contre le Racing-Métro, 32-23, le 21 juin 2008 à Limoges). Et sur ce match, nous n'avons pas pu capitaliser. On a eu l'arrogance de venir jouer les trouble-fêtes, et de belle manière en plus. On a agacé en haut lieu et on nous l'a fait payer. … Ce match face au Racing restera dans les annales du rugby. À ce moment-là, je pensais que le plus dur était fait. Je ne savais pas qu'il était à venir…
Le plus dur, est-ce la deuxième année, celle en Top 14 ?
Tout le monde était très content de jouer à ce niveau mais, à partir du deuxième tiers de la saison, on en avait assez. Parce que perdre, perdre, perdre… C'est très compliqué. Après, le retour en Pro D2 a été ce dont j'avais peur. Vous êtes catalogué favori, vous ne rencontrez que des équipes qui se transcendent. On n'était pas préparé à ça. On est une équipe qui joue. En Top 14, on était respecté pour cela. Nous avons oublié que la Pro D2 est un championnat plus âpre. Le temps de s'y remettre, il nous a fallu une saison. Une saison qui a été rendue compliquée par les licences bloquées. J'ai le sentiment que nous avons toujours été dans le viseur de la DNACG, toujours traités différemment des autres. Quand ils nous retirent cinq points à Noël 2009 pour un retard de 15 jours sur une augmentation de capital, ils en laissent 18 de délai au Stade Français pour trouver une issue. Et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres. Je n'ai jamais dit que l'on était les Messieurs Propres du rugby mais j'estime que, parmi ceux qui avaient des problèmes, nous étions ceux qui en avaient le moins, et c'est pourtant nous qui avons été les plus punis.
Pourquoi ?
C'est sûrement lié à des contentieux antérieurs mais aussi à ma non-allégeance à un système bananier et corrompu (il fait attention à ce qu'il dit). À la tête de ce système, se succèdent des hommes. On avait un despote éclairé à la tête de la Ligue. Il a été remplacé par un cardinal d'alcôve. Qui commande ? Où sont pris les ordres ? Quelle impartialité à la DNACG ? Pour ma part, les réponses sont dans les questions. Moi, je défends une cause : le club. Mon but n'est pas d'obtenir une reconnaissance de ce milieu. Je suis profondément libre. Et je tenais à ce que le club le reste. Ces cinq points, je ne les ai jamais digérés. C'est une profonde injustice. Etant donné qu'il n'y a jamais eu personne pour le reconnaître dans les hautes instances, moi, j'ai décidé que ces personnes, je ne les verrai plus. La vie est trop courte pour que je fréquente des gens comme ça.
Entre aujourd'hui et ce moment, il s'est tout de même passé un an et demi…
À partir de ces cinq points volés, j'ai perçu la nécessité que le club soit mieux représenté dans les instances. On a fonctionné pendant un moment avec Stephan Mettey, qui, en tant que directeur général, s'est rendu dans les réunions. Mais j'ai compris que je ne pourrais pas rester président seul.
Vous pensiez donc à une coprésidence…
Je ne voulais pas que le club pâtisse du fait que je suis peut-être trop entier. Il est clair que si je restais, c'était au sein d'une organisation bicéphale avec quelqu'un de plus rompu que moi à ces choses parisiennes, doté d'un caractère moins marqué avec qui j'aurais pu travailler. Thierry Blandinières (patron de Maïsadour et membre du directoire) aurait pu être celui-là mais il est trop absorbé par ses activités. C'est dommage, nous étions complémentaires.
Que s'est-il passé ensuite ?
En fin de saison dernière, le club a du mal à boucler son budget. Et à ce moment-là, le conseil de surveillance et l'omnisport du Stade Montois prennent contact avec Jean-Robert Cazeaux pour le convaincre de venir apporter une aide financière et une solvabilité au SMR. Il accepte en émettant comme condition de rentrer au directoire. Ce que j'ai trouvé absolument normal. Mais je me suis très vite rendu compte que des gens avaient fait germer en lui l'idée d'aller plus loin que cela dans ses responsabilités au sein du club. J'ai bien compris que j'avais plus d'ennemis que d'amis au conseil de surveillance et qu'ils avaient suggéré à Jean-Robert Cazeaux de me remplacer. Historiquement, lorsque la SAOS est devenue SASP, mon mandat avait été rallongé de trois ans. Là, en fin de saison, il me restait donc trois ans de présidence. C'est bien pour cela que je parle de démission. J'ai compris qu'il y avait eu quelques réunions de longs couteaux. Il se trouve que Jean-Robert Cazeaux disait ne pas vouloir la présidence. Mais dès que j'ai ouvert la porte, il s'y est engouffré.
Il s'y est engouffré où on l'a poussé ?
L'homme est ambitieux. Je savais que des gens étaient venus lui demander. Je savais que le conseil de surveillance ne me voulait plus. Il n'est pas vivable de rester à la tête du club si le conseil de surveillance ne le veut pas. Il ne peut y avoir qu'une ligne conductrice dans un club. Et celui qui paie et qui veut commander finit toujours par commander. Et c'est normal quelque part. À ce moment là, si je « m'incruste », c'est le bon mot, qui va payer les pots cassés ? Le club. Et ce n'est pas le but. Donc je m'écarte. Parce que, quoiqu'il en dise, depuis le début, il briguait la fonction. Mais peut-être que je me trompe…
Diriger le club conjointement n'aurait pas été possible ?
Jean-Robert Cazeaux et moi avons des façons d'être complètement différentes. Sans apporter de jugement moral d'ailleurs. Il n'y a pas de complémentarité, parce qu'on est là tous les deux pour la même chose. Et il est indéniable que le plus important à ce moment-là, c'est celui qui apporte la solvabilité financière. La goutte d'eau qui a fait déborder le vase et m'a décidé de lui ouvrir la porte en grand a eu lieu à l'AG de l'omnisports. Lorsque son président, Jean-Jacques Crabos, se prenant pour mon père, notre père, m'a tiré les oreilles devant toute une assemblée de gens au sujet de ma gestion du club (NDLR : en décembre 2010). Bientôt, si on l'écoute, il va nous apprendre à marcher sur l'eau. Et il l'a fait en sachant très bien que ce que j'essayais de faire depuis quatre ans, porté par tout le monde, c'était de laisser ce club en Pro D2. Jamais il n'a été fait n'importe quoi au Stade Montois. Simplement, le maximum pour que ce club continue à exister en Ligue professionnelle. Ce que je n'ai pas supporté, c'est qu'au travers de tous les soucis, quelqu'un stigmatise le club et sa gestion, et donc moi avec. C'était petit, inutile et contre-productif. L'annonce de ma démission a suivi ainsi que la proposition à Jean-Robert Cazeaux de me succéder.
Il y a trois semaines pourtant, vous envisagiez encore la possibilité de rester, en vous questionnant sur les conditions…
On a vécu une belle deuxième partie de fin de saison et je souhaite que le club poursuive sur cette dynamique. Donc j'ai dit à Jean-Robert Cazeaux, étant donné que je ne serai plus président l'année prochaine, que j'allais faire ce qu'avait fait Benoît Dauga avec moi, parce que sensiblement, cela s'était passé de la même façon. Il m'avait laissé prendre toutes les décisions concernant l'année d'après. C'était intelligent. Et moi, de mon côté, je pouvais mettre toute mon énergie au service du sportif pour cette fin de saison et celle d'après.
J'ai fait un travail du côté du sportif pour qu'il y ait un maximum de resignatures, en particulier celle des entraîneurs. Et puis, il s'est avéré que sur la fin, j'avais des demandes de certaines personnes, joueurs, supporteurs. Et c'est vrai que j'y ai réfléchi.
Et cette réflexion n'a pas fait évoluer votre position…
Même si force est de constater que non, j'ai essayé de voir s'il y avait une autre possibilité que celle je parte complètement. Le club a semble-t-il trouvé une stabilité financière avec Jean-Robert Cazeaux, je voulais moi de mon côté lui apporter une stabilité sportive. Être d'abord assuré d'une demi-finale et plus si possible. Puis que toutes les resignatures souhaitées soient effectives. Et on a bien vu ce qu'il est advenu, notamment concernant les entraîneurs... Il faut savoir qu'ils n'ont resigné leurs contrats que mercredi dernier (NDLR : le 1er juin). J'aurais peut-être dû avoir un rôle plus important dans ces signatures mais pour finir, s'il me manquait une chose pour me décider, c'est celle-là…
Vous parlez du vrai-faux départ de Marc Dal Maso à Toulon…
L'épisode Dal Maso/Prosper, je l'ai très mal vécu. Surtout les derniers jours. Et je parle bien des deux entraîneurs. Durant quatre ans, je les ai toujours protégés. J'ai toujours fait en sorte qu'ils puissent travailler dans les meilleures conditions possibles. Et il s'est passé des choses que je n'admets pas.
Qu'est-ce que vous n'avez pas admis ?
Les deux entraîneurs ne resignaient pas. Ni l'un ni l'autre (il s'agace).
Ce sont ces tergiversations qui vous ont agacé ?
(Il élude) J'ai très mal vécu tout ça. C'est tout.
Cela vous a-t-il plus affecté que la demi-finale perdue face à Albi ?
Cela me l'a fait oublier. Cela m'a affecté sur un plan idéologique. La demi-finale, je n'en ai voulu à personne. Sportivement, je l'ai mal vécu, comme tout le monde. Mais je me suis dis que le groupe pourrait capitaliser sur la frustration engendrée par ce match en vue de la prochaine saison. Les coaches, c'est autre chose.
Êtes-vous inquiet pour l'avenir du Stade Montois ?
Je ne suis pas inquiet mais attristé. J'espère qu'une ligne directrice sera mise en place même si elle sera forcément différente. L'équipe est forte. Il y a de la stabilité, puisque les entraîneurs sont restés au final. Et ils ont une nouvelle fois fait, à mon avis, un très bon recrutement cette année. Il y aura un bon groupe. Mais quand on finit demi-finaliste, on ne peut voir le Stade Montois autrement qu'en favori pour le dernier carré. Tous les clubs qui nous joueront l'année prochaine auront ça en tête. Mais le potentiel existe. Entraîneurs, staff, pérennité financière, un nouveau président, il y a tout ce qu'il faut pour travailler convenablement. Maintenant, il faut entretenir la flamme. Si ma présence à la tête du club était rédhibitoire pour certains partenaires, qu'ils laissent maintenant libre cours à leur générosité. J'ai ainsi constaté avec plaisir qu'avant de savoir si j'allais vraiment partir, Bernard Bornancin (le patron de Leclerc) est redevenu partenaire du club. Il faut croire que le fait que je reste ou que je m'en aille n'était pas un problème décisionnel pour lui, mais qu'il était plutôt engagé dans une guerre commerciale avec la Storim. Je l'en remercie. Aux autres de suivre, maintenant que je suis parti.
Henri Fouillade (patron de la Storim) a-t-il fait connaître son engagement futur ?
Pour le moment, il ne dit rien. On ne sait pas.
Cette incertitude concernant le devenir du plus gros partenaire du club ne vous empêche pas de tenir un discours optimiste ?
Je suis optimiste parce que Jean-Robert Cazeaux est optimiste. Il est garant, par rapport au club, du budget qu'il est en train de mettre en place pour l'année prochaine. Il faut l'en remercier.
Lors de ces quatre années, y a-t-il des décisions que vous avez prises, ou pas, et que vous regrettez ?
Non, parce que je n'ai pas l'habitude de regretter. Je ne fonctionne pas comme ça. Je pensais seulement, à un moment donné, de par le jeu pratiqué à Mont-de-Marsan, la fidélité à ce que je pense être le rugby d'une manière générale, qu'on allait pouvoir séduire et trouver de l'argent et des partenaires. Je pensais qu'on avait une bonne image. Mais je n'ai pas réussi à vendre cette belle équipe, à la valoriser. Et ça, ça m'embête. Sur le plan sportif, on ne s'est jamais renié, on a toujours été dans ce que le rugby véhicule de bien. Avec des résultats derrière. Je me disais qu'une grosse entreprise, un partenaire national, serait attiré par ça... (Chagriné) On est dans une époque où il vaut mieux faire savoir que savoir faire. On sait faire, mais on n'a pas su le faire savoir.
Beaucoup de clubs ont été confrontés à ce même problème sans réussir à le résoudre…
Oui, mais j'ai la faiblesse de penser que le mien est plus beau. (Rire) Mais ça, c'est les yeux de l'amour. C'est comme les enfants.
A contrario, votre plus grande fierté ?
D'abord, d'avoir trouvé le club en Pro D2 et de le laisser en demi-finales de Pro D2. Ça m'a apporté beaucoup de fierté et de joie d'avoir pu, grâce à cette présidence, vivre mon rêve d'enfant de jouer en première au Stade Montois rugby. J'ai pu servir mon club de cœur en tant que président. J'ai pu porter le maillot pendant quatre ans. Resteront aussi des amitiés avec plusieurs membres de ce groupe. J'espère qu'il y a beaucoup de relations qui s'inscriront dans la durée.
Qu'allez-vous faire maintenant ?
Je ne sais pas. Je suis pluriactif. J'ai d'autres passions. Je laisse la porte ouverte à autre chose. Mais je n'ai pas peur de m'embêter. J'ai tout le temps quelque chose à faire et aujourd'hui, je suis apaisé. Pas aigri.
ALLEZ LE CAB !!!
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J'ai un pote qui est contremaitre aux transports Cazaubon il doit y avoir une bonne centaines de camions dans cette entreprise avec le big boss toujours à l'affut le vendredi soir les camions doivent etre allignés au cm pres le patron y veille lui même c'est un bon tyran un patron sur lequel on peut compter dans les bons ou mauvais moments les payes sont tres bonnes
bref un mec BIEN
bon cela n'a rien avoir mais j'avais envie de le dire....
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
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Merci CAP 87, pour cet article , je le trouve éclairant sur la situation des clubs français et surtout la difficultés à pérenniser un club de rugby. Quand aux combats d'arrière cours pour devenir calife a la place du calife........
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Maintenant je comprends pourquoi le SF est sponsorisé par une association qui défend les pauvres enfants maltraités, ils en ont un gros dans leur équipe. http://www.rugby365.fr/infos-clubs/stad … igne.shtml
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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A la lecture de cet article, au diable l'avarice, je m'autocite :
Les footballeurs peuvent aller se rhabiller, le rugby les a incontestablement rattrapés. (
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C'est quand même très marrant cette histoire. je dirais plutôt qu'il s' agit d'un RICHE enfant maltraité, s'il m'inspirait la moindre sympathie !
Et voir les egos surdimensionnés de nos deux rambos des bacs à sable s'empoigner pour ce type assez médiocre, bah je trouve ça drôle, vivement le prochain épisode ))
En espérant que la recherche de ce genre d'olibrius pour jouer au rugby soit juste une erreur !
Comme la présence de Mourad et Bernie the door...
merde ça finit par faire du monde ;((
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Bastareaud persiste et signe
Mathieu Bastareaud n’en démord pas: il veut aller à Toulon. Le centre du Stade français s’est confié dans un entretien exclusif dans le Midi Olympique de ce lundi et ne cache pas que la situation est difficile à vivre pour lui. La mort dans l’âme, il sera à la reprise avec Paris lundi prochain.
Le feuilleton de l’été va-t-il connaître son épilogue rapidement ? Sûrement. Mathieu Bastareaud devrait selon toute vraisemblance porter les couleurs du Stade français la saison prochaine malgré sa volonté de rejoindre Toulon. Le centre international s’est confié sur son avenir dans Midi olympique et a fait part de ses états d’âme. "Cette situation n’est vraiment pas facile à vivre", lance d’emblée le joueur aux neuf sélections. S’il n’a jamais voulu aller au bras de fer avec Bernard Laporte, le nouvel homme fort du club parisien, Bastareaud tient à mettre les choses au clair au sujet des deux entrevues qu’il a eues avec l’ancien sélectionneur du XV de France: "Je ne lui ai pas fait part de ma volonté de rester à Paris. Ça ce n’est pas vrai. Et j’ai été déçu de voir que Bernard ne disait pas la vérité au sujet de nos entretiens. Je pensais qu’il saurait m’entendre et respecter mon besoin vital d’une nouvelle atmosphère. Je n’ai peut-être pas été assez clair avec lui, mais mon envie n’a pas changé: je dois changer d’air et je veux aller à Toulon."
Altercation avec Roncero
Les raisons ? Mathieu Bastareaud ne cache pas vouloir retrouver son niveau. "Sportivement, j’ai envie de découvrir autre chose et je veux continuer à progresser. Je crois qu’il me serait profitable de rejoindre Toulon". Le joueur de 22 ans avoue également son mal être avec ses coéquipiers et fait référence à une altercation avec le pilier argentin Rodrigo Roncero lors d’un entraînement. "J’ai été blessé par l’attitude de coéquipiers, de membres du staff ou de dirigeants qui n’ont pas été corrects avec moi. Certains de mes coéquipiers se sont répandus dans la presse à mon propos. J’étais celui qui plombait l’ambiance dans l’équipe. Mais à moi, ils ne disaient rien, faisaient comme si de rien n’était".
S’il lui reste deux ans de contrat le Stade français, le centre français ne comprend pas pourquoi le club de la capitale s’obstine à le garder. "Je ne comprends pas l’intérêt de retenir un joueur contre sa volonté. Si je suis ce joueur ingérable dont personne ne voudrait, pourquoi le Stade français cherche tant à me garder ?" Résigné, il précise: "Je serai à la reprise de l’entraînement avec Paris le 27 juin prochain. Mais il ne faut pas attendre à ce que je m’y rende avec le sourire". Ambiance…
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Dans cette affaire, et d'après ce qu'on lit, c'est pas bien clair des deux côtés. Il en a marre d'être au SF? Il y a d'autres clubs que Toulon. Son désaccord avec joueurs ou entraineurs? Ils semblent l'avoir bien soutenu lors du fameux épisode de la table de nuit.... Laporte ment? Poissible. Mais Bastaraud ne semble pas un modèle d'enfant sage et discipliné. Le fait que le droit s'impose à lui, c'est peut-être, s'il en convient, une nécessaire discipline dans cette caboche pas très mure. En tout cas, je ne l'imagine pas d'une moralité à toute épreuve. Joueur à problèmes, c'est sûr.
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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Comme tout enfant gâté, la moindre contrariété dérange.... Il devient pathétique l'ami Bastareaud.
Amandonné, tu fermes ta gueule et tu attends!
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Et on ne sait rien mis à part ce que les journaleux disent transcrire "fidèlement", donc on s'abstient de tout commentaire!
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Mon bon ami, un type qui joue les pleureuses pour changer de club, ça me désole point barre. Il n' y a pas de jugement de valeur sur Bastareaud mais sur son comportement enfantin.
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Laporte a été escroqué, sauvons Bastareaud !!! http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/20 … tory.shtml
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/20 … tory.shtml
Vous avez dit bizarre ? Bernard l'embrouille continu de semer la merde après Bayonne, le Stade Français .....
"la cigale se trouva dépourvue quand le pare brise fut venu"
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Le titre de l'article est à comparer avec le titre précédent dans l'encart "infos liées".
Pour un journaliste aussi, faire et défaire c'est toujours travailler.
;o)
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Une pensée pour le pauvre Laussucq...
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Revol : «Une pensée pour Guazzini»
Alors que le Stade Français est au plus mal, Pierre-Yves Revol, le président de la LNR, a tenu à apporter son soutien à Max Guazzini.
Pierre-Yves Revol, le président de la Ligue nationale, a une pensée pour Max Guazzini.(EQ)
L'avenir du Stade Français dans l'élite du rugby français semble de plus en plus compromis. Alors que Max Guazzini a déposé plainte contre X ce lundi après avoir découvert que les documents et garanties fournis par la FACEM Corporation, à l'enseigne d'une grande banque internationale, étaient des faux, Pierre-Yves Revol a tenu à s'exprimer sur ce dossier houleux. «J'ai d'abord une pensée très forte pour Max Guazzini, nous a confié le président de la LNR. C'est l'homme qui a le plus fait pour le rugby pro. C'est un ami. Il est dans une situation inconfortable. Danc cette affaire, on a amené le Stade Français sur un chemin de traverses. Les promesses n'ont pas tenu. La suspicion s'est accrue. Il y avait peu de crédibilités et l'absence de garanties. On a fait miroiter des choses pas sérieuses à Bernard Laporte. C'est une leçon pour le rugby français. Il faut s'adresser à des personnes physiques et morales connues et responsables.»
Boudjellal : «Laporte aveuglé»
Après avoir dénoncé l'arrivée de la Facem dans le capital du Stade Français, Mourad Boudjellal espère une communion autour du club. Selon lui, Bernard Laporte «a été aveuglé par sa folie passionnelle.»
Les craintes de Mourad Boudjellal étaient bien fondées. Le 14 juin dernier, le président du RC Toulon avait dénoncé les intentions de la Facem en intégrant le capital du Stade Français. «Je ne suis pas étonné, nous a confié le dirigeant toulonnais après avoir pris connaissances de la plainte de Max Guazzini. Mais le rugby a besoin du Stade Français. Il faut sauver ce club. On savait que l'on ne pouvait pas faire confiance à une organisation dont le fond de commerce est l'enfance maltraitée. Bernard Laporte est un homme honnête. Il a été aveuglé par sa folie passionnelle. Il n'est pas mort. Il va rebondir. Mais le plus important est bien de sauver le club. Ils ne vont pas trouver six millions comme ça. Il faut une communion.»
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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