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Encore et toujours la lutte des classes...
La réalité c'est aussi qu'un investisseur quelconque ne te fait pas kdo de l'argent hein, et que les circuit de financement franco-français via les banques sont aujourd'hui complètement sclérosés par la paperasse à la fois interne mais aussi externe pour rendre des comptes aux administrations x ou y.
C'est au marché à faire son travail, sans investissement une entreprise est condamnée à moyen terme. Il faut donc encourager la création d'entreprise pour que les chefs d'entreprise soient poussés à réinvestir sous peine de mourir, mais quand je vois l'ampleur du vote à l'extrême-gauche je me dis que les mentalités françaises ne sont pas encore prêtes au business-friendly et à la création d'entreprise...
Boarf, plus simple de voter Mélenchon et de se trouver un plaçou dans une collectivité, non ? En plus on peut gueuler "mort aux vaches" et passer pour un mec bien, alors que demande le peuple hein ?
Tiens, les données économétriques publiées avant-hier par Eurostat: http://ec.europa.eu/eurostat/documents/ … 5e66c0f56e
Champion d'Europe 2016 de la dépense publique, ça se fête non ?
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Encore et toujours la lutte des classes...
La réalité c'est aussi qu'un investisseur quelconque ne te fait pas kdo de l'argent hein, et que les circuit de financement franco-français via les banques sont aujourd'hui complètement sclérosés par la paperasse à la fois interne mais aussi externe pour rendre des comptes aux administrations x ou y.
C'est au marché à faire son travail, sans investissement une entreprise est condamnée à moyen terme. Il faut donc encourager la création d'entreprise pour que les chefs d'entreprise soient poussés à réinvestir sous peine de mourir, mais quand je vois l'ampleur du vote à l'extrême-gauche je me dis que les mentalités françaises ne sont pas encore prêtes au business-friendly et à la création d'entreprise...
Boarf, plus simple de voter Mélenchon et de se trouver un plaçou dans une collectivité, non ? En plus on peut gueuler "mort aux vaches" et passer pour un mec bien, alors que demande le peuple hein ?
Tiens, les données économétriques publiées avant-hier par Eurostat: http://ec.europa.eu/eurostat/documents/ … 5e66c0f56e
Champion d'Europe 2016 de la dépense publique, ça se fête non ?
En même temps, personne ne demande cadeau aux "investisseurs" mais ne 'est pas ça qu'ils cherchent.
En France en particulier ils sont toujours à l' affut du plus gros gain le plus rapide possible...j'en ai deux dans la famille !
Et en plus ils se vantent d' être essentiels au pays, tu parles gagner de l' argent avec l'argent, c'est de cette caste de nantis ultra réac qu'on crève.
Nos investisseurs sont très largement des rentiers en fait, complètement obnubilés par leurs gains et absolument hostiles à l' idée de prendre le moindre risque avec leur pactole.
Donc inutiles aux entreprises et à leurs investissements, ils ne vont que là où ils sont sûrs du gain.
ET pour moi le niveau de la dépense publique n'est pas en soi catastrophique. Tout dépend ce qu' elle recouvre.
Si c'est de l' investissement lourd dans de grands travaux d' utilité publique je trouve ça très bien.
J' aurais d' ailleurs préféré que Sarko conserve les autoroutes quitte à s' endetter un peu plus (par exemple)
ET par contre avoir balancé 40 milliards de CICE aux entreprises donc empruntés là c' était franchement pas heureux.
parce que les patrons pleurent beaucoup sur les déficits mais sont sans cesse à l' affut d' avantages tirés de l' Etat, et encore plus des collectivités
Et au final la dette n'est pas un facteur fixe. Si la croissance repartait le % d' endettement rapporté au le PIB baisserait !
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Encore une fois vous ne dissociez pas les grands groupes des Petites et Moyennes Entreprises, donc cela reste des généralités à mon sens.
"Le problème dans la chasse aux cons, c’est qu’il y a trop de gibier "
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Encore une fois vous ne dissociez pas les grands groupes des Petites et Moyennes Entreprises, donc cela reste des généralités à mon sens.
Oui c'est vrai. Ce sont deux problématiques très différentes. Malgré le lamento ambiant, les grands groupes gagnent de l' argent, parfois beaucoup, redistribué d' ailleurs assez inégalement du haut en bas de la pyramide salariale et entre les actionnaires et l' investissement.
ET, par exemple, les 35 heures et les heures supp ne les empêchent en rien de dégager de gros bénéfices sans cesse en progrès.
Les PME c'est beaucou plus compliqué. Pour elles je pense que l' essentiel est la confiance. leur manque de surface financière les oblige à une extrême prudence.
Et elles ont besoin de plus de flexibilité.
D' où l' intérêt d' une politique qui les favorise un peu au moins en apparence.
Leur redonner envie d' investir, faciliter la gestion de leur activité.
En fait, on a pas abordé cet aspect de la confiance pour encourager de nouveau l' investissement dans les PME.
Pour moi ça fait partie du choix Mac.ron, il aborde plutôt bien cet aspect dans son programme.
Je pars de l' idée qu'on ne peut pas "obliger" les PME à investir. Il faut leur faciliter la vie, sans dire oui à toutes les exigences.
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Molotov a écrit :Encore une fois vous ne dissociez pas les grands groupes des Petites et Moyennes Entreprises, donc cela reste des généralités à mon sens.
Oui c'est vrai. Ce sont deux problématiques très différentes. Malgré le lamento ambiant, les grands groupes gagnent de l' argent, parfois beaucoup, redistribué d' ailleurs assez inégalement du haut en bas de la pyramide salariale et entre les actionnaires et l' investissement.
ET, par exemple, les 35 heures et les heures supp ne les empêchent en rien de dégager de gros bénéfices sans cesse en progrès.
Les PME c'est beaucou plus compliqué. Pour elles je pense que l' essentiel est la confiance. leur manque de surface financière les oblige à une extrême prudence.
Et elles ont besoin de plus de flexibilité.
D' où l' intérêt d' une politique qui les favorise un peu au moins en apparence.
Leur redonner envie d' investir, faciliter la gestion de leur activité.
En fait, on a pas abordé cet aspect de la confiance pour encourager de nouveau l' investissement dans les PME.
Pour moi ça fait partie du choix Mac.ron, il aborde plutôt bien cet aspect dans son programme.
Je pars de l' idée qu'on ne peut pas "obliger" les PME à investir. Il faut leur faciliter la vie, sans dire oui à toutes les exigences.
J'étais prêt à te demander, au vu de tes posts précédents, si au cela t'embêtait, dans ton confort de clivage gentils employés méchants patrons, le poil à gratter Lespaul qui met en avant les difficultés de entreprises, notamment les celles de tailles modestes, à survivre. Hein ?
Sarkozy dans son temps avait légiféré pour les PME, en réduisant les obligations de paiement (encours) des grands groupes vers les pme de façons à sortir de l’asphyxie les entreprises avec peu de trésorerie.
"Le problème dans la chasse aux cons, c’est qu’il y a trop de gibier "
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letarmo a écrit :Molotov a écrit :Encore une fois vous ne dissociez pas les grands groupes des Petites et Moyennes Entreprises, donc cela reste des généralités à mon sens.
Oui c'est vrai. Ce sont deux problématiques très différentes. Malgré le lamento ambiant, les grands groupes gagnent de l' argent, parfois beaucoup, redistribué d' ailleurs assez inégalement du haut en bas de la pyramide salariale et entre les actionnaires et l' investissement.
ET, par exemple, les 35 heures et les heures supp ne les empêchent en rien de dégager de gros bénéfices sans cesse en progrès.
Les PME c'est beaucou plus compliqué. Pour elles je pense que l' essentiel est la confiance. leur manque de surface financière les oblige à une extrême prudence.
Et elles ont besoin de plus de flexibilité.
D' où l' intérêt d' une politique qui les favorise un peu au moins en apparence.
Leur redonner envie d' investir, faciliter la gestion de leur activité.
En fait, on a pas abordé cet aspect de la confiance pour encourager de nouveau l' investissement dans les PME.
Pour moi ça fait partie du choix Mac.ron, il aborde plutôt bien cet aspect dans son programme.
Je pars de l' idée qu'on ne peut pas "obliger" les PME à investir. Il faut leur faciliter la vie, sans dire oui à toutes les exigences.J'étais prêt à te demander, au vu de tes posts précédents, si au cela t'embêtait, dans ton confort de clivage gentils employés méchants patrons, le poil à gratter Lespaul qui met en avant les difficultés de entreprises, notamment les celles de tailles modestes, à survivre. Hein ?
Sarkozy dans son temps avait légiféré pour les PME, en réduisant les obligations de paiement (encours) des grands groupes vers les pme de façons à sortir de l’asphyxie les entreprises avec peu de trésorerie.
Bah tu vois je ne pratique pas le clivage que tu crois
La réalité est autre et dépend beaucoup des situations qu'on connait, auxquelles on a été confronté.
Il se trouve qu' en Corrèze, en appui à mes enfants j'ai rencontré divers patrons de PME et je me suis fait mon opinion.
Influencée par le contexte local, notamment la façon dont certains patrons se comportent, pas tous.
Egalement en Poitou-Charentes ou j' avais affaire à environ 250 patrons des IAA (industries agricoles et alimentaires) tous les ans.
Nous n' avons pas parlé des employés et je ne vois ou tu vois du confort dans ma position qui n'a rien de binaire.
Globalement, tous emplois confondus, public et privé j'ai toujours constaté la même carence dans la gestion des personnels, le "management" comme on dit.
Ceux qui ont leur boulot à cœur sont peu récompensés et plus sollicités
Ceux qui râlent et savent se protéger ont une paix royale et facilement des avantages.
Et c'est un truc qui m'a toujours fait râler, contre quoi j'ai essayé d' aller mais rarement suivi par les décideurs de haut rang, du public comme du privé, voila. Il est insensé qu'on ne récompense pas mieux la valeur "travail" et qu'au contraire on l' exploite.
C'est du vécu, et je ne parle pas de moi mais des gens que j'ai eu à encadrer ou de la nébuleuse d' amis et de proches encore en activité...
le enfoiré ssont des deux côtés mais les patrons ont le pouvoir, quand même.
Quant à Sarkozy, oui c' était une bonne mesure.
Dommage qu'en même temps il y ait eu sous son quinquennat (après celui de Chirac) autant de blocages et de reports de crédits (que j'ai vécus ou via mon successeur) pour toutes les entreprises relevant de commandes auprès de l' administration.
C' était infernal, on faisait exécuter des travaux imposés, des publications par exemple et des crédits engagés ont même parfois été annulés par la trésorerie générale. Avec des reports de plusieurs mois pour les paiements, souvent d' une année sur l' autre.
Dernière modification par letarmo (2017-04-26 16:39:41)
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Ce second tour risque de se jouer sur les arguments du référendum TCE entre ouverture et fermeture. Le rapport 54/46 de 2005 a certainement évolué. Sarkozy en 2007 et Hollande en 2012 ont pu éliminer Lepen e donnant des gages aux vainqueurs de 2005. Sarko a foulé ses promesses en validant le TCE, Hollande s'est opposé à l'Allemagne dans la crise grecque, mais l'Angleterre est sortie du jeu et renforcé les Anti Europe. La désignation de Macron est un cadeau pour Lepen. Avec Melanchon la victoire etait acquise. Là on est sur le scénario Barça/PSG.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Match aller ou retour
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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Le Match de Barcelone
Milite pour le retour de D.Penaud
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Letarmo est en train de nous rapporter l'ambiance de la Rotonde, celle de Tulle ou foisonnent les Hollandais qu'il y rencontre les soirs de victoires.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Pas mal l' interwiev de Xavier Bertrand sur la deux pour dézinguer le FN.
Dumont le géopraphe dans "C dans l'air" a aussi mis le point sur un gros problême lié à la décentralisation, l' avantage donné aux métropoles régionales par rapport aux zones rurales en termes de dotations de l' Etat. Le tout dû à la définition issue de l' INSEE mais aussi devenue réglementaire sur le classement des villes selon la taille de leur population.
La France à deux vitesses en somme.
Avec d' énormes conséquences qui touchent beaucoup un département comme la Corrèze.
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Tarmo, tu te ramollis... J'ai trouvé le président des Hauts de France (putain le nom de merde en passant, belle réussite Xav'!) pathétique dans le costume du mec qui feint la colère.
Alors oui, ça dézingue à tout va, même la totalité du journal était sur ça, dézinguer! Les gars, on voudrait faire gagner Marine, on ne s'y prendrait pas autrement.
On fait ce qu'elle dénonce depuis des lustres, cette entente contre nature entre gens introduits, pathétique et ridicule à la fois.
En même temps, parler de programme c'est plus compliqué avec les incantations chamaniques de Mac.rond....
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Pour ceux que ça intéresse et qui n'auraient pas tout compris...
Préparez la vaseline!
C'est un peu long mais faut lire jusqu'au bout :
2017, LE COUP D’ÉTAT
« Une étude un peu approfondie de l’Histoire nous laisse deviner qu’en toute occasion les vraies forces dirigeantes ont à se tenir dans l’ombre des représentants qu’elles se sont choisies, ne pouvant se risquer à s’exposer aux fluctuations événementielles, sous peine de se voir un jour dépossédées de leur puissance ».
Louis Calaferte.
AVERTISSEMENT :
Les informations qui ont été utilisées pour cette analyse ont été recoupées et vérifiées conformément aux principes de la charte journalistique de Munich. Elles ont pour origine des articles de presse, interviews télé, images et ouvrages dont les auteurs sont connus et reconnus pour la fiabilité de leurs recherches. Il serait trop long de les énumérer ici. Loin de tout name-droping, vous trouverez en fin de publication les références. Mais tout est vérifiable. Attention, cependant aux sites complotistes, confusionnistes où d’extrême droite. Assurez vous que les sites que vous consultez soient reconnus pour le sérieux de leurs publications. Préférez les sites de recherches universitaires. A ceux qui disent que cet article est complotiste, il s’agit, tout simplement, d’un propos irresponsable qui a pour objectif de discréditer toutes critiques à l’égard de pratiques qui mettent en danger la démocratie. Mais plus grave encore cela permet de les avaliser. Il est urgent de cesser ce genre d’accusation un peu simpliste et de poser les vraies questions. En l’occurence a-t-on oui ou non utilisé l’appareil d’État à des fins de stratégies politiques? Les relais d’influence sont -ils réels ? Les media et les instituts de sondage sont ils indépendants? etc. Ce sont les questions centrales du débat.
Propos liminaires.
Une fois de plus, cet article est long. Il est l’avant première d’un livre qui sera publié prochainement. Prenez le temps de le lire tranquillement, mais lisez le. Il révèle comment certains acteurs ont préparé minutieusement ce qu’il faut bien appeler un coup d’État. Il s’agit pour eux de pérenniser, coûte que coûte, la politique engagée par François le grotesque. Alors qu’ils se persuadent de servir les desseins heureux de la France, ces putschistes sont en passe de réussir leur ultime objectif, celui de faire perdre à notre pays son libre arbitre, en soumettant son peuple et en violant la démocratie
L’heure est grave.
Avant –propos.
En 2005, vous avez, pour certains d’entre vous, participé au referendum du TCE (Traité pour une Constitution Européenne) vous avez détesté le battage médiatique outrancier pour le « oui » ? Vous avez applaudi son rejet par 55% des Français ? Vous avez protesté contre la transformation du TCE en Traité de Lisbonne adopté par le Parlement réuni en Congrès en 2008 ? Vous avez hurlé au déni de démocratie ? Un coup porté à la voix du peuple…un véritable coup d’État ?
Eh bien c’est, à peu de chose près, ce qui se passe aujourd’hui pour faire élire un candidat choisi par la même oligarchie, par les mêmes élus de gauche et de droite, par les mêmes media et pour les mêmes objectifs. Exactement les mêmes. De VGE à Cohn Bendit en passant par le grotesque et Bayrou, de TF1 à Libération, du Monde au journal Les Échos, les Pineau, Arnault, Bolloré, tous participent à la promotion d’un seul et même vœu… le « oui » pour Emmanuel maqueron.
Dans « maqueron ciblé par la CIA » publié sur ce même blog (que je vous conseille de lire avant cette publication) il a été démontré comment ce jeune banquier-énarque a été porté au cœur de l’appareil d’État par des apparatchiks européistes et atlantistes.
Aujourd’hui, il est l’heure pour ces gens là de passer à la phase opérationnelle. Ce qui se prépare en France à l’occasion de ces élections présidentielles peut être qualifié de coup d’État, tant les séquences collent exactement à la définition qu’en font des spécialistes.
Par la manipulation de l’opinion publique et la maitrise des structures de l’État, des hauts fonctionnaires, des hommes politiques, des élus et des journalistes véritables mercenaires au service des patrons de grandes entreprises multinationales et de la finance internationale tentent de soumettre le peuple français à un destin qu’il ne s’est pas choisi. De gauche à droite, du PS au Centre, contre le restant de l’échiquier politique une minorité s’apprête à prendre le pouvoir en France.
Lisez attentivement ce qui est écrit. C’est édifiant !
EN GUISE D’INTRODUCTION
La candidature de maqueron : un « 18 Brumaire de la bienveillance » ?
Un article signé Bruno Roger Petit, dans le numéro de « Challenges » du 15 mars 2017 et titré « Mélenchon et sa constituante : l’inquiétante promesse d’un coup d’état permanent… » raconte : « Depuis des mois, sous prétexte de renouveau démocratique, Jean-Luc Mélenchon promet une assemblée constituante pour aller à la VIe République. En apparence, c’est démocratique, mais si l’on y regarde de plus près, ce projet du futur Mélenchon s’apparente à un coup d’État populiste ».
Cet article est, en vérité, un contre feu. Il est l’arbre qui cache la forêt.
Après s’en être pris, sur le même registre, à Fillon et à Le Pen, Bruno Roger Petit qualifie, avec une mansuétude consternante, la candidature de maqueron de « 18 Brumaire de la bienveillance ». Mansuétude ? Pas tant que ça. L’employeur de ce journaliste n’est autre que Claude Perdriel, patron de presse et… soutien actif de maqueron.
L’observation est cocasse dans la mesure où c’est en France, à l’occasion du 18 Brumaire, que nait l’expression « coup d’État », celui de Bonaparte…
Ce journaliste serait-il assez pervers pour nous suggérer de façon subliminale ce qui en train de se tramer dans cette élection ? Après l’analyse, pour le moins farfelue, de la constituante de Mélenchon (que dire alors de la Constitution de 1958 !?!), voyons si la candidature de maqueron est un « 18 Brumaire de la bienveillance » ?
AUTOPSIE D’UN COUP D’ÉTAT
D’un point de vue historique – y compris dans l’époque contemporaine – le coup d’État a été l’un des moyens les plus fréquemment utilisés pour accéder au pouvoir. D’ailleurs selon les spécialistes plus de la moitié des gouvernements du monde le seraient devenus grâce à ce procédé.
On peut décrire de manière assez précise les techniques opératoires, violentes ou non, de la prise de pouvoir. Ainsi, on observe qu’il s’agit d’abord, pour les auteurs, de s’emparer des structures de l’État, de s’assurer de la maitrise de l’opinion publique, de veiller à une synergie avec le contexte international avant de légitimer le processus, soit par la force, soit par des élections.
Nous allons dans cette publication analyser tous ces points, un par un, en cherchant, à chaque fois, à valider l’hypothèse avant de conclure sur la dangerosité de l’avènement de ce pouvoir en France.
S’emparer de l’appareil d’État
La technique de base du coup d’État consiste à s’emparer des organes centraux de l’administration et en l’occurrence, des institutions de la République. Les auteurs, nous disent les spécialistes, appartiennent le plus souvent eux-mêmes, aux structures étatiques. Nous y sommes.
Qui sont les commanditaires ?
Il ne fait plus de doute maintenant que c’est François le grotesque et son homme de confiance, Jean Pierre Jouyet, le Secrétaire Général de l’Élysée, qui sont à l’origine du projet qu’il faut bien définir comme un véritable coup d’État.
le grotesque et Jouyet sont amis depuis 35 ans, des bancs de l’ENA jusqu’à l’Élysée. Les deux hommes se rencontrent à 23 ans. Ils viennent de réussir le concours de l’École Nationale d’Administration et doivent effectuer leur service militaire ensemble, à Coëtquidan, où ils partagent leur chambre avec Michel Sapin. Les trois jeunes hommes se lient d’une forte amitié qu’ils entretiennent sur les bancs de l’ENA (la promotion Voltaire). le grotesque déborde d’initiatives, et souvent, Jouyet accepte de le seconder dans ses projets. À la sortie de l’ENA, lors des affectations, François le grotesque, classé 8e, laisse le dernier poste accessible à l’Inspection générale des Finances à Jean-Pierre Jouyet.
Leur amitié n’a jamais été mise à mal. Quand en 2014, Jouyet prend les fonctions de secrétaire général de l’Élysée, il déclare : « c’est l’aboutissement de ma vie publique et d’une vie avec lui». Et de préciser : «« Pendant les réunions, je suis secrétaire général, après je redeviens le copain, on sépare ce qui est public et privé de façon plus simple que ce que je croyais» Il promettait alors pour conclure: «Je suis là pour le servir, pas pour le gêner. Je l’ai gêné une fois, cela n’arrivera plus ».
La gêne dont parle Jouyet, c’est quand il a accepté d’entrer dans le gouvernement de François Fillon, au poste de secrétaire d’État chargé des Affaires européennes. François le grotesque l’aurait très mal pris. « Mal pris » étant sans doute un peu fort…
Pour quel scénario ?
le grotesque et Jouyet sont loin d’être des tendres, il faut que ce soit bien clair pour tous les lecteurs. Ce sont de fins observateurs – et acteurs – de la vie politique. Ils en connaissent les rouages, les stratégies, les us et coutumes, les trahisons et les fidélités.
Media et journalistes sont les instruments de leurs stratégies politiques et ils ont fait l’objet de manipulations constantes qu’ils ont parfois du mal à déjouer, tant leur connivence est forte et parfois incestueuse avec le pouvoir. C’est un jeu que maitrisent parfaitement les deux amis.
Pour le grotesque et Jouyet (et d’autres qui leurs sont proches) ce n’est pas l’économie qui est en crise, mais le système politique.
Chez nos concitoyens, la rancœur est à son comble. « Cela fait plus de 40 ans que le libéralisme est au pouvoir, plus de 40 ans qu’on leurs demande de se serrer la ceinture, ceux là promettant des jours enchanteurs sans jamais qu’ils arrivent. 1000 milliards de déficit public en 10 ans (Sarkozy/ le grotesque cumulé) disent-il, 10 millions de chômeurs et précaires, des pauvres de plus en plus pauvres, des riches de plus en plus riches ». Ils sont au bord de l’explosion et ne trouvent leur salut que dans des discours qui consistent à tirer un grand trait sur le passé. Force est de constater que nous sommes arrivés, aujourd’hui, à un point de rupture.
Les deux amis en sont , évidemment, conscients et pour eux, l’heure est grave. Il apparait, dès lors, trop dangereux de ne pas intervenir sous peine de laisser les « populismes renverser la table ». Il faut agir vite, trouver l’antidote et résoudre la crise.
Ils font, assez tôt, le constat qui s’impose : il faut à tout prix poursuivre la politique économique engagée depuis plus de 5 ans et continuer l’intégration du pays dans l’Europe et dans l’économie mondiale. Mais ni François le grotesque, ni Manuel Valls ne sont en capacité de le faire. Ils sont, l’un et l’autre, rejetés par l’opinion publique. Pour eux, ils agissent dans l’intérêt du pays et c’est dans l’intérêt du pays qu’ils doivent s’effacer pour pérenniser « l’œuvre » qu’ils ont entreprise.
La solution, c’est Jouyet qui l’a dans sa manche depuis un certain temps: c’est Emmanuel maqueron! le grotesque n’est pas chaud. Il doute de la fiabilité du jeune banquier.
Jeune et avenant, une tête bien faite, cursus parfait, bien conditionné sous la férule de Jouyet et d’Attali, faisant consensus chez les patrons des multinationales et de la finance mondiale, adoubé par les américains, les anglais et les allemands, inculte politiquement et donc facilement contrôlable, un tantinet imbu de sa personne, il est le candidat idéal pour ce coup de force. Sa feuille de route est rédigée : appliquer une politique européenne libérale et atlantiste en matérialisant une alliance gauche/droite, poursuivre la politique économique engagée et l’inscrire durablement dans l’avenir du pays en créant un grand parti démocrate et « progressiste », à l’issue des élections. Gageons qu’il n’ a pas fallu longtemps pour convaincre maqueron.
Ce fut un peu plus difficile pour le grotesque. Mais après l’avoir rassuré, Jouyet met maqueron sur les rails très vite afin d’éviter qu’il ne soit contraint de se présenter à la primaire de la gauche. Il lui conseille de créer un mouvement plutôt qu’un parti car « compte tenu de l’ambiance, c’est préférable »…
Et Valls ?
Tout comme le grotesque, Valls est, pour l’instant, mort politiquement. Il le sait, les sondages ont parlé. Sa désignation comme candidat ferait perdre le camp libéral. Sa mission est alors de représenter le courant libéral à la primaire de la gauche. Pourquoi ? Simplement pour calmer les libéraux du parti et éviter qu’on fasse pression sur maqueron pour qu’il participe à la compétition. Car si ce dernier se présentait à la primaire, il serait battu et anéantirait, du même coup, les chances de réussite du projet. Mais pas seulement. La présence de Valls va aussi permettre d’estimer la force du camp libéral du parti et donc celle de la solidité de la colonne vertébrale du futur « mouvement centriste », car sans eux, le nouveau parti ne serait qu’une coquille vide.
le grotesque et son ami sont parfaitement informés de l’état d’esprit de la majorité des militants socialistes, et du désamour profond qu’il règne à l’égard de la politique gouvernementale. Ils sont quasiment certains du résultat de la primaire et de l’éviction de Valls. Mais, dans le doute, ils vont miser sur Hamon. Pourquoi ? Encore une fois, l’élection de Valls serait contre productive. Hamon est celui qui cristallise l’aile gauche du PS et qui peut empêcher le « populisme » (cf. les objectifs de la NED) de gauche de progresser en le divisant. En langage clair : il s’agit de contenir Mélenchon dans son pré carré.
Comme prévu, c’est ce qui va se passer.
Hamon est élu candidat. Les soutiens de Valls rejoignent, officiellement ou pas, un à un, le camp maqueron et Valls lui même ne tardera pas. Le PS sera réduit à sa plus simple expression et ne servira, à l’avenir, qu’à entretenir la division parmi les tenants de la gauche de transformation sociale, laissant ainsi le champ libre aux centristes pour mener à bien leurs desseins.
Le scénario à gauche et au centre est donc réglé. Il faut maintenant s’occuper des conservateurs.
La primaire de droite est incertaine. Une confrontation Sarkozy/ Juppé est pour le grotesque et Jouyet du pain béni. Il y a des arguments pour les discréditer aux yeux de l’opinion publique. Et au besoin, on peut à en fournir d’autres. Mais le destin leur sourira. C’est Fillon qui sort vainqueur. Il suffit de lui porter l’estocade. Une « bonne âme » téléphone au Canard Enchainé. On connaît la suite. L’Histoire nous dira qui était à l’origine de cette affaire. Mais, avec un peu de perspicacité, si ce ne sont pas les deux dont il est question ici, puisqu’ils démentent, il ne fait nul doute qu’un de leurs aficionados, ayant compris le sens de l’Histoire, s’est chargé de la basse besogne.
L’affaire est réglée. Les conservateurs sont hors champs.
Reste l’extrême droite. Rien de plus simple. Depuis Mitterrand, les socialistes savent s’en servir. Il faut tout faire pour que Marine Le Pen atteigne des sommets. « On » fait ce qu’il faut pour minimiser ce qui peut l’atteindre (cf. les affaires financières) et « on » dose savamment sa diabolisation. C’est le grotesque qui sera le chantre de la lutte contre le FN dans cette séquence.
Les socialistes et les «populistes » de gauche neutralisés, les conservateurs anesthésiés, une confrontation Le Pen/maqueron est donc probable. Une fois encore, le réflexe républicain écartera l’extrême droite …c’est donc boulevard et tapis rouge pour maqueron.
le grotesque et Jouyet ont dû discrètement échafauder ce scénario, un soir, autour d’un verre de champagne (Taittinger, épouse de Jouyet oblige) au cours de leurs vacances d’été car depuis de nombreuses années les couples le grotesque et Jouyet se fréquentent régulièrement et partent en vacances ensemble. Petite précision qui n’est pas sans intérêt parce qu’elle situe bien la proximité de ces deux personnages. On ne part pas en vacances avec n’importe qui.
Vous pensez que ce sont des élucubrations ? La réponse est contenue dans une autre question : peut-on naïvement penser que ces deux là n’ont pas mis en commun leurs cerveaux pour monter cette opération ? Pour ceux qui sont éloignés de ce milieu peut être, mais pour les autres, les acteurs et observateurs politiques avisés, eux, savent qu’ils en sont parfaitement capables et qu’ils l’ont fait.
Et pour ceux d’entre vous qui en doutent encore, la lecture des faits, présents et à venir, devra suffire à attester, à peu de chose près, la véracité du propos.
Les théoriciens
Qui sont ils ?
C’est Aquilino Morelle qui va dévoiler le pot aux roses. C’était en avril 2014, cet ex conseiller de François le grotesque (il était l’une des plumes des discours présidentiels) venait de quitter l’Élysée après la révélation de ses liens présumés avec l’industrie pharmaceutique et de sa passion pour les chaussures bien cirées. Dans la presse, il accusait l’entourage du chef de l’État d’avoir monté toute l’affaire pour l’éliminer politiquement parce qu’il était trop à gauche. « Les Français ont voté pour le discours du Bourget, pas pour le programme des Gracques, dit il, ce sont leurs idées qui sont aux commandes tout simplement ! Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général de l’Élysée, en est membre. Emmanuel maqueron, je n’en sais rien, peut-être. Mais il n’a pas besoin d’y adhérer ; il est totalement en symbiose avec eux ». Et de conclure : « Oui, c’est bien leur programme qui est appliqué aujourd’hui. Un programme pour lequel les Français n’ont pas voté ».
Mais qui sont ces gens dont parle Aquilino Morelle ?
Le nom « Gracques » a été donné à deux frères et hommes d’État romains Tiberius et Gaius Gracchus renommés pour leur tentative infructueuse de réformer le système social romain (espérons que leurs contemporains aient le même succès !)
« Les Gracques » d’aujourd’hui, c’est un petit groupe d’hommes d’affaires, de hauts fonctionnaires et d’intellectuels qui s’activent depuis 2007 dans les coulisses du pouvoir pour convertir la gauche française au libéralisme. Pour la plupart, ils occupent des postes hauts placés, souvent dans des banques, des compagnies d’assurances, des fonds d’investissement. Tous ont fait au moins l’ENA ou HEC. Anciens du PS, pour beaucoup d’entre eux, ils ont peuplé les cabinets ministériels des années 1980 et 1990, servant les socialistes « modernes », Rocard surtout mais aussi Jospin, Fabius, Bérégovoy ou Strauss-Kahn. Quand la droite est revenue au pouvoir, ils ont déserté le service de l’État pour rejoindre (ah ! le pantouflage! ) le monde de l’entreprise. Ils y ont gagné beaucoup d’argent mais sans jamais abandonner tout à fait la politique. Aujourd’hui, ils sont dans les coulisses du pouvoir et ils ont des ramifications qui vont jusqu’au plus haut sommet de l’État.
Il est quasiment certain que c’est Jean-Pierre Jouyet qui a cofondé ce groupe semi-clandestin. L’ASPEN et la NED ont déterminé son cadre idéologique (lire « maqueron ciblé par la CIA ? »). Voici ce qu’il dit à propos de l’action des Gracques à l’occasion de l’élection présidentielle de 2012 et ensuite. Lisez bien, car c’est tout simplement époustouflant:
« L’approche des Gracques entre les deux tours, celle d’un rapprochement des réformistes et des sociaux-démocrates, était préconisée aussi par Ségolène Royal. Elle n’a pas fait l’unanimité au PS. J’en ai pris acte. Nicolas Sarkozy m’a demandé de m’occuper de l’Europe. J’ai constaté que ce n’est un enjeu ni de droite ni de gauche, mais qu’il répond à un impératif national. J’observe qu’il s’est lancé dans une politique de réforme que les Gracques appelaient de leurs vœux. (!!!) Je remarque que l’homme a l’énergie nécessaire pour les mener à bien et qu’il est loin de la caricature de l’ultralibéral qu’on avait dessinée de lui ». Jouyet laudateur de Sarkozy ! Et maintenant Valls qui propose ses services à Fillon…No comment.
On y trouve des gens comme Roger Godino, Guillaume Hannezo, Gilles de Margerie, Ariane Obolenski, François Villeroy de Galha, Erik Orsena, Denis Olivennes directeur général d’Europe 1 et Lagardère Active (Paris-Match, JDD, Newsweb), Matthieu Pigasse, responsable monde des fusions acquisitions (fusac) et du conseil aux gouvernements de la Banque Lazard dont il est directeur général délégué en France. Il est propriétaire et président des Nouvelles Editions Indépendante qui contrôle le magazine Les Inrockuptibles et Radio Nova et actionnaire du Groupe Le Monde et du Huffington Post. Bernard Spitz, président de la Fédération Française de l’Assurance regroupant la Fédération française des sociétés d’assurance et le Groupement des entreprises mutuelles d’assurance. Il préside également le Pôle International et Europe du MEDEF. Mathilde Lemoine, macro économiste Group Chief Economist chez Edmond de Rothschild Group et membre du Haut Conseil des Finances Publiques…et il y en a d’autres du même calibre.
Et qui participe aux travaux des Graques ? Cohn Bendit et…. maqueron !
Les économistes.
Ce sont les mêmes que ceux de François le grotesque !
Les économistes qui conseillent maqueron aujourd’hui, sont les mêmes, exactement les mêmes, que ceux qui conseillaient le grotesque en 2012. Ils faisaient partie du premier cercle et se nommaient le « groupe de la Rotonde ». Il y avait Jean Pisani-Ferry , le boss, Philippe Aghion, Elie Cohen, Gilbert Cette, Jean-Hervé Lorenzi, les porte flingues et ….Emmanuel maqueron.
On ne change pas une équipe qui gagne. C’est tout naturellement que l’Eysée demande à Pisani – Ferry, en janvier 2017, de prendre en charge le programme et les idées du mouvement de maqueron. Et ce sont les mêmes fantassins qui vont l’épauler : Cohen, Cette, Lorenzi, Aghion.
Mais, arrêtons nous, un instant, sur Pisani-Ferry, l’alpha du groupe, pour bien comprendre la doctrine et les enjeux.
Jean Pisani-Ferry n’est pas n’importe qui et son influence sociale libérale européiste est grande dans le milieu. Il est un fervent défenseur d’un gouvernement mondial de l’économie au même titre que Jacques Attali. Il a été commissaire général de France Stratégie (ex commissariat au Plan) de mai 2013 à janvier 2017. Auparavant il a été directeur du Centre d’études prospectives et d’informations internationales, conseiller économique de Dominique Strauss-Kahn et de Christian Sautter au ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, président délégué du Conseil d’analyse économique mis en place par Jospin, expert pour la Commission européenne et …le FMI. Autant dire qu’il est calibré.
Cependant, on ne peut cerner correctement cet économiste sans citer le cercle de réflexion « Bruegel » qu’il a cofondé il y a quelques années…
Le think tank Bruegel (sis à Bruxelles) est un centre de recherche qui couvre l’ensemble du champ des politiques économiques. Il est dirigé et financé sur la base d’un système de gouvernance associant des États membres de l’Union Européenne et des multinationales dont Areva, Deutsche Bank, Deutsche Telekom, EDF, Ernst & Young, Erste Bank Group, GDF Suez, Goldman Sachs, Google, Microsoft, Novartis, Pfizer, Renault, Samsung, Syngenta etc.
Président actuel Jean-Claude Trichet ex président de la BCE. Membre d’honneur d’Aspen France (Jouyet en est le président d’honneur), membre du comité de direction du groupe Bilderberg et président en exercice du groupe européen de la commission Trilatérale . Il est membre du conseil d’administration de EADS où il représente… les actionnaires. Pour l’universitaire Frédéric Lebaron, Jean-Claude Trichet « est le plus célèbre et le plus influent d’entre tous » les experts issus de l’inspection des finances, le vivier de Jouyet.
Président d’Honneur Mario Monti, ex commissaire européen et ex président du groupe européen de la Commission Trilatérale.
La boucle est bouclée. Nous sommes ici au cœur du réacteur des idées que le grotesque et maqueron ont puisé pour définir leur politique économique.
Les soutiens.
Les grandes fortunes de France choisissent maqueron .
« Je lui ai fait rencontrer des milieux d’affaires, on a eu des réunions en Angleterre et il y aura des contacts directs entre Emmanuel maqueron et la présidence des États-Unis» disait son mentor le richissime rocardien feu Henry Hermand.
Mais maqueron va aussi être présenté au « Tout Paris » par Jean-Pierre Jouyet, son parrain, qui dispose d’un carnet d’adresse aussi gros qu’un Larousse.
Jouyet a épousé en seconde noce Brigitte Taittinger (le champagne), ex- PDG des parfums Annick Goutal et actuellement directrice de la stratégie de Sciences Po. Les témoins du mariage furent François le grotesque et feu Christophe de Margerie, le PDG de Total. 12ème patron du CAC 40. Quand on saura que Jouyet a été nommé en 2008, par Sarkozy, président de l’Autorité des marchés financiers (AMF) et que tous les patrons du CAC 40 sont venus le voir dans son bureau, on aura tout dit…
Parmi les dix personnes les plus riches de France, quatre soutiennent officiellement maqueron : Bernard Arnaud ( 1er fortune de France), François Pinault (4ème), Patrick Drahi (5ème ), Xavier Niel (9ème). Seul Serge Dassault (3ème) ne s’est pas prononcé officiellement mais il encense maqueron et Le Drian, ministre de la défense. Et pour cause. Il a un business à faire tourner. A ceux là, il faut ajouter, Martin Bouygues, Vincent Bolloré, Pierre Bergé, Matthieu Pigasse et Arnault Lagardère et ceux dont on ne connaît pas le nom car maqueron ne souhaite pas publier la liste de ses donateurs. On comprend pourquoi.
Le choix du candidat
» maqueron, c’est entre nous, non pas simplement une question de hiérarchie – il sait ce qu’il me doit – mais une question de loyauté personnelle et politique » François le grotesque – avril 2016.
Dans une publication précédente (« maqueron ciblé par la CIA ») il est décrit avec précision comment cet homme a été choisi et porté au cœur de l’appareil d’état par des membres de l’oligarchie politique et affairiste en moins d’une dizaine d’années. Mois après mois, il a été façonné pour répondre exactement au calibrage des idées politiques de ses parrains, des « sociaux libéraux internationalistes » disent – ils avec pudeur…en fait des néo conservateurs mondialistes conformes à l’idée que se font les Etats Unis de ce que doivent être les démocraties occidentales.
maqueron a été amené à devenir secrétaire général adjoint de l’Élysée, l’un des plus proches conseillers du Chef de l’État. Puis Ministre de l’Économie. Son recruteur et mentor politique, Jean-Pierre Jouyet est aujourd’hui Secrétaire Général de l’Élysée, autant dire le cœur de l’appareil d’État
Cette ascension, pour le moins épique, rappelle étrangement la pièce de théâtre » La Résistible Ascension d’Arturo Ui » de Bertolt Brecht…(à voir ou à lire impérativement)
maqueron, intelligent mais immature…
Le profil psychologique et physique du candidat est très important pour ce projet. Il faut qu’il soit présentable, malléable et qu’il reste sous influence. Une forte personnalité aurait été contre productive et impossible à gérer.
Feu Henry Hermand, son mentor (lire « maqueron ciblé par la CIA) , le connaît bien. C’est lui qui lui a mis le pied à l’étrier en politique. Voici ce qu’il en dit en septembre 2016, il y a donc 6 mois : « Il n’a jamais pris une décision importante sans m’en parler. Sur le plan politique, Emmanuel est trop jeune, il a besoin d’être recadré sur des connaissances historiques. Son épouse, est très présente à ses côtés. Elle a orienté ses lectures, joué un rôle dans ses cercles d’amis, veillé à ce qu’il ne se disperse pas ».
Hermand l’infantilise, et de façon anecdotique, il raconte un peu agacé : « Ce désir qu’il a de serrer toutes les mains qui se présentent à lui, même de ceux qui ne sont pas d’accord avec lui, est regrettable. Avec sa femme, on veut freiner ses tentatives de trop convaincre, on lui dit de se calmer!». Et il conclut en soulignant sa dépendance financière et psychologique ( ?!)
C’est ce qu’en pense aussi l’entourage de le grotesque qui le connaît bien ; « maqueron apparaît comme un homme sous influences multiples » disent-ils. Espérons qu’il ne se perde pas…
La description psychologique qu’en font ses proches correspond exactement à l’objectif de ses traitants. Ce qui prouve, s’il en est encore nécessaire, que maqueron est un personnage créé de toute pièce pour servir des intérêts puissants. Cette personnalité ne pouvait pas habiter un physique ingrat. Dents blanches, bien coiffé, « tête de premier de la classe » dirait Coluche, costumes de bonne facture, séducteur et charmeur, maqueron est l’image même du quarantenaire qui a réussi. Il a sa « Rolex » au poignet.
Pour conclure ce chapitre, écoutons encore une fois ce que dit Henry Hermand : « Il incarne une tendance, il ne faut pas que ce soit personnalisé, il ne faut pas que ce soit M. maqueron, il n’a pas d’expérience politique. Je demande qu’on mette en place un comité politique et non pas un comité de parrainage. maqueron ne sera candidat que s’il a un mouvement d’opinion suffisamment fort avec des appuis politiques important et il ne fera déclaration de candidature que s’il dispose d’appui suffisant »
2) Le contrôle des media.
Justement. Le candidat dispose maintenant d’un bon encadrement politico-économique, il faut susciter un mouvement d’opinion autour de lui. D’aucuns vont s’attacher à le provoquer.
Si la quasi totalité des media est acquise à la cause, c’est bien sûr parce que la dizaine de milliardaires qui soutient maqueron en est propriétaire à 90%.
Voici ce qu’en dit Daniel Schneidermann (Arrêt sur Image) : « S’agissant de maqueron (…) Xavier Niel et Pierre Bergé, copropriétaires du groupe le Monde, lui ont plus ou moins publiquement déclaré leur flamme. Rien, dans ce que l’on sait de lui, et du peu que l’on sait de son programme, n’est de nature à effaroucher MM. Dassault, Arnault, Pinault, Lagardère, Bolloré ou Drahi. Ce qui ne signifie pas que les oligarques français soient pendus au téléphone chaque matin pour commanditer des unes, des éditos, ou des sondages favorables. Simplement, par capillarité intellectuelle, ils ont nommé à la tête des rédactions de «leurs» médias des journalistes macrono-compatibles, éventuellement macrono-indifférents, en tout cas jamais macrono-opposés, encore moins macrono-hostiles ».
maqueron ne laisse rien au hasard. Il a organisé sa communication privée.
« Les politiques sont devenus un bon filon pour la presse people », analyse Marion Alombert, rédactrice en chef de ‘Voici’. « En ce moment, les maqueron ont le vent en poupe. Leur couple intrigue, accroche. Et ils ont compris qu’une exposition bien gérée est une publicité efficace. »
Et Sylvain Fort, un porte parole « d’En Marche », de rajouter : « Il y a un contrat d’exclusivité moral avec Bestimage ( agence people des stars). Cela permet de mieux maîtriser leur image, le choix des photos qui circulent sur eux. Quand ils sont victimes de paparazzi, ils font appel à un photographe de l’agence, ils sont sûrs, ainsi, d’avoir des clichés plus avantageux. »
Résultat : en un an, dix couvertures de « VSD », quatre de « Paris Match », deux de « Closer » une de « Voici ». Quand on constate un tel matraquage médiatique autour de ce candidat, Il n’y a plus rien à ajouter.
Petite précision: Michèle Marchand la directrice de Bestimage, fait partir du staff communication de la campagne….
3) Contrôle de l’opinion publique.
Il est utile de rappeler ici les recherches du sociologue Patrick Champagne sur les sondages. Son travail s’est articulé autour du problème central, en science politique, de l’analyse des formes de légitimation de la représentation politique.
D’une critique des logiques qui sont au principe de la mesure de l’opinion publique par les sondages, on est passé à une réflexion qui tente d’appréhender les effets, sur le champ politique, de la croyance en ces instruments. Cette évolution, qui se veut proche de l’évolution même de l’influence des sondages d’opinion sur les pratiques politiques, constitue le centre de la problématique du sociologue qui prend au sérieux les professionnels des sondages, même ceux qui sont peu sérieux scientifiquement, en les prenant au moins comme objet.
Champagne démontre que la croyance dans l’efficacité des sondages à exprimer « l’opinion publique » est indissociable d’une transformation des règles du jeu politique et particulièrement de l’importance croissante qu’on prit les journalistes et les spécialistes en communication. Ainsi, s’est mise en place la croyance selon laquelle « faire de la politique » c’est, notamment grâce à «une bonne communication», se situer le plus haut possible dans les cotes de popularités ».
On y est quand maqueron ne déclare avoir nul besoin d’expérience politique et encore moins de programme pour être candidat. Il suffira pour lui d’avoir une bonne côte de popularité. Jouyet et le grotesque l’ont bien compris. Ce sont eux et les économistes qui réfléchissent pour lui. Seule l’image compte, car si on entre dans le dur du programme, on s’apercevra rapidement de quels ventriloques maqueron est le nom.
Et en voici la parfaite illustration :
maqueron est intégré pour la première fois dans un sondage pour les élections présidentielles en janvier 2016. Le Monde titre : « Sondage : Emmanuel maqueron préféré à Manuel Valls ou François le grotesque pour 2017 » et en sous titre « Un sondage Odoxa pour « Le Parisien/Aujourd’hui en France » estime que le ministre de l’économie pourrait devancer le premier ministre et même le président ». Il est placé d’entrée de jeu à 22%.
Mais qui sont les commanditaires de ce sondage – test ?
Sans aucun doute le staff de Bernard Arnault, patron de LVMH et propriétaire du « Parisien/ Aujourd’hui en France ». Signalons que Nicolas Bazire, proche de Sarkozy, est l’un des administrateurs de LVMH en même temps que l’un de ceux de l’institut de sondage IPSOS. Mais ce qui est le plus intéressant ici, c’est qu’il est gérant associé de la Banque Rothschild…Il connaît très bien maqueron avec qui il a travaillé dans la même banque. Quant à Odoxa, les deux fondateurs sont d’anciens de l’institut de sondage BVA dont Vincent Bolloré et… le fond d’investissement Rothschild ont été actionnaires.
Ce sont donc des proches de maqueron qui l’ont mis en selle. On se doute bien à la demande de qui.
Curieusement sa côte moyenne était de 17% dans les sondages tout au long de l’année 2016. Elle a bondi de 7 points en janvier 2017, à 24% pour arriver à 26% des intentions de vote en mars, le plaçant en tête de tous les sondages. Et comme on sait que les élections se jouent dans les trois mois qui précédent les élections, on comprend mieux ces scores…
Il en sera de même, bien sûr, pour Marine Le Pen, challenger indispensable à la réussite du coup d’État. Elle est créditée de 25% des intentions de vote. Normal.
En cherchant un peu on constate que plus de 80% des instituts de sondage appartiennent à la sphère d’influence qui soutient maqueron. Son conseiller en la matière n’est autre que Denis Delmas, ancien président de TNS Sofres. Autant vous dire que, celui là, il connaît la musique.
Dans un article de l’inénarrable « Décodeur » du quotidien le « Monde », soutien inconditionnel de maqueron, des journalistes dénoncent les accusations qui sont portées à l’encontre de maqueron quant à sa proximité avec les instituts de sondage. Selon eux, les informations publiées sur le sujet sont fausses, erronées ou ne sont plus d’actualité. C’est possible, mais la majorité des instituts de sondage appartient à des milieux financiers (fonds d’investissement, grandes entreprises, publicitaires etc…) dont est issu maqueron et dont la proximité politique, elle, ne fait pas de doute.
4) Le contexte international
L’important, pour s’assurer de la réussite d’une prise de pouvoir c’est de ne pas froisser ses alliés. En tous les cas, il faut leur donner des gages de non agression. Dans le cas contraire les auteurs s’exposent à une déstabilisation. Il faut donc que les planètes soient alignées. Pour maqueron, ses parrains ont rassuré tout le monde. Le candidat reste bien dans l’orbite assignée : atlantiste et européiste, deux points d’un équilibre indispensable.
5) La régularisation du coup d’État
Enfin, il s’agira de valider la démarche par les élections. Ce sera relativement simple. Si le scénario arrive à son terme, Marine Le Pen sera en face d’Emmanuel maqueron. Les commanditaires joueront sur la fibre républicaine et rafleront la mise.
CONCLUSION PROVISOIRE
En analysant chaque phase, nous pouvons dire maintenant, sans l’ombre d’une hésitation, si l’on s’appuie sur les paramètres donnés par les experts, qu’il s’agit bien d’un coup d’État, ou pour l’heure, d’une tentative de Coup d’État…Dans l’intérêt de nos concitoyens et celui de notre pays, il vaut mieux qu’elle n’arrive pas à son terme…
Il est essentiel de laisser la parole à Hervé Kempf, le rédacteur en chef de Reporterre qui est l’auteur d’un ouvrage remarquable sur l’oligarchie et qui connaît donc bien le sujet.
« Les conditions d’un bon exercice de la démocratie sont largement altérées. La délibération libre est viciée par le fait que les médias sont massivement contrôlés par l’oligarchie. Le choix majoritaire est tronqué par le poids des lobbies voire, parfois, par le déni pur et simple du choix populaire, comme lors du référendum de 2005 sur l’Europe. Mais aujourd’hui, le capitalisme ne considère plus la démocratie comme indispensable à son existence, il la rejette même de plus en plus nettement puisqu’elle conduit logiquement à la remise en cause des pouvoirs en place.
Le respect des droits de l’homme et des libertés publiques est bafoué au nom des politiques anti migratoires. Le pouvoir politique est subordonné aux puissances financières.
En fait, les classes dirigeantes nous font entrer dans un régime oligarchique, où un groupe de personnes contrôlant les pouvoirs politique, économique et médiatique, délibèrent entre eux puis imposent leurs choix à la société.
Or l’oligarchie actuelle cherche avant tout à maintenir sa position privilégiée. A cette fin, elle maintient obstinément le système de valeurs organisé autour de la croissance matérielle et de la surconsommation – un système qui accélère notre entrée dans la crise écologique. »
L’heure du choix de société a sonné…
Référence :
« L’opinion publique n’existe pas », Pierre Bourdieu, Les Temps modernes, n°318, 1973
« Faire l’opinion. Le nouveau jeu politique », Patrick Champagne, Paris, Minuit, coll. « Le sens commun », 1990
L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie, Hervé Kempf Seuil, Paris, 2011,
Edward Luttwak Le Coup d’État : manuel pratique, Paris, Éd. Robert Laffont, 1969
Louis Calaferte Droit de Cité, Paris, Ed. Gallimard 1999
Dernière modification par Big (2017-04-26 23:53:09)
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
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Un peu qu'il a dit... moi j'ai eu la flemme..... si qqun le lit et peu faire un résumé....
De la daube Bréia, inutile de lire. Il faut rester dans le concret.
il ne sert à rien de prétendre soulever des problêmes dont on a pas la solution.
C'est juste une facilité pour se donner le beau rôle le "je vous l' avais bien dit"
Déja le gus Calaferte est depuis au moins 30 ans, c'est un emprunt de propos liminaires, confusion voulue mais lamentable.
Et Big nous prend pour des billes dans son discours.
C'est hors sujet. On doit choisir entre deux options, il dit quoi ?
Rien
Un pathos misérable prouvant juste qu'il ne s'est pas remis de la défaite de son malfrat bien-aimé.
Big manque de courage tout simplement.
Donc sans intérêt de se peler son vomitif
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Un peu qu'il a dit... moi j'ai eu la flemme..... si qqun le lit et peu faire un résumé....
Il faut lire ou alors accepter de se faire mettre profond et mourir idiot!
Oui, je vous l'avais dit, alors que l'autre "tanche" accusait Dati!
Mais voilà la vérité dérange, et ou préfère ne regarder que ce qu'on veut voir.
Tout le programme de Macron! Le plus gros producteur de vaseline de la V ème qui va faite fortune grâce à des couillons (C'est affectif ) comme Tarmishe!
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
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Oui, je vous l'avais dit, alors que l'autre "tanche" accusait Dati!
Mais voilà la vérité dérange, et ou préfère ne regarder que ce qu'on veut voir.
Voilà ta démonstration implacable :
La primaire de droite est incertaine. Une confrontation Sarkozy/ Juppé est pour le grotesque et Jouyet du pain béni. Il y a des arguments pour les discréditer aux yeux de l’opinion publique. Et au besoin, on peut à en fournir d’autres. Mais le destin leur sourira. C’est Fillon qui sort vainqueur. Il suffit de lui porter l’estocade. Une « bonne âme » téléphone au Canard Enchainé. On connaît la suite. L’Histoire nous dira qui était à l’origine de cette affaire. Mais, avec un peu de perspicacité, si ce ne sont pas les deux dont il est question ici, puisqu’ils démentent, il ne fait nul doute qu’un de leurs aficionados, ayant compris le sens de l’Histoire, s’est chargé de la basse besogne.
En effet, c'est d'une rigueur journalistique à toute épreuve.
Contente toi de jouer au golf vieille buse.
Dernière modification par Raymundo Menech (2017-04-27 08:39:46)
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Je ne connais pas Makron et on jugera sur pièces.
Mais enfin, ya pas mal de monde -plus averti que toi et moi réuni- qui le suit.
Tous ces gens là seraient des idiots?
Des intéressés ?
"Le problème dans la chasse aux cons, c’est qu’il y a trop de gibier "
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Texte vraiment ridicule, j'ai perdu 10min de ma vie.
Allez, un des plus bel exemple :
"Curieusement sa côte moyenne était de 17% dans les sondages tout au long de l’année 2016. Elle a bondi de 7 points en janvier 2017, à 24% pour arriver à 26% des intentions de vote en mars, le plaçant en tête de tous les sondages. Et comme on sait que les élections se jouent dans les trois mois qui précédent les élections, on comprend mieux ces scores…"
Cet imbécile anonyme n'a même pas compris que cette augmentation pouvait être liée à la victoire de Hamon libérant de la place au centre-gauche conjuguée aux affaires de Fillon?
Encore un torchon que tu as sûrement dû recevoir par mail par un ignare convaincu.
Dernière modification par Allez Alphonse (2017-04-27 08:57:26)
Selon Big:"ne sait pas lire"sans réflexion""manque d'humilité"égocentrique en mal de reconnaissance""bourricot qui ne comprend rien"idiot"rempli de certitudes"bon petit soldat"fanfaron"pathétique"philosophe d'opérette"à côté de la plaque"petite tête"couillon"fait peur dans sa rigidité cérébrale"un âne" bêle avec le troupeau d'abrutis"enfumé comme un con qui ne comprend rien"et bien sûr"méprisant"
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Texte vraiment ridicule, j'ai perdu 10min de ma vie.
Allez, un des plus bel exemple :
"Curieusement sa côte moyenne était de 17% dans les sondages tout au long de l’année 2016. Elle a bondi de 7 points en janvier 2017, à 24% pour arriver à 26% des intentions de vote en mars, le plaçant en tête de tous les sondages. Et comme on sait que les élections se jouent dans les trois mois qui précédent les élections, on comprend mieux ces scores…"
Cet imbécile anonyme n'a même pas compris que cette augmentation pouvait être liée à la victoire de Hamon libérant de la place au centre-gauche conjuguée aux affaires de Fillon?
Encore un torchon que tu as sûrement dû recevoir par mail par un ignare convaincu.
Mon pauvre AA pour tenir des propos comme ça, tu as dû être sacrément conditionné ou piqué à la naissance.
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
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Je ne connais pas Makron et on jugera sur pièces.
Mais enfin, ya pas mal de monde -plus averti que toi et moi réuni- qui le suit.
Tous ces gens là seraient des idiots?
M'enfin, si tu préfères la grosse....
Mon cher Beria, prend le temps de lire, et tu connaîtra le monde "plus averti que toi"!
Et toute cette histoire va sortir, ne t'en fait pas!
Pour l'instant, ca ne sera ni la "grosse" à cause de son clan d'Huluberlus et ses inepties gouvernementales, ni les voyous qui ont fait une opa sur la naïveté. Il auront assez Trouduc, Tarmishe etc pour les soutenir, qu'ils se demerdent sans moi! Désolé le golf m'attend... tu devrais essayer Trouduc, ça détend!
Dernière modification par Big (2017-04-27 09:22:10)
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
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L'histoire fillonesque est sortie et c'est une bonne nouvelle car c'est une histoire tristement lamentable. Merci a tous ceux qui l'ont dévoilée.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Cherge, tu as raison, la question n'est pas de savoir qui mais pourquoi cela a autant tardé à sortir. Il en va de même pour Leroux, Cahuzac et autres guignols de cette trempe.
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Ta réflexion est la bonne Charly pourquoi maintenant pour Fillon et pas pour les autres ?
"Le problème dans la chasse aux cons, c’est qu’il y a trop de gibier "
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Ta réflexion est la bonne Charly pourquoi maintenant pour Fillon et pas pour les autres ?
Non, la bonne réflexion, et l' unique réflexion qui vaille est celle qu'on peut avoir après que le français aient choisi le ticket du deuxième tour
Et tant pis si ça fait mal au cul de ceux qui sont incapables de concevoir qu'on ne pense pas comme eux.
Peu importe que les comportements de voyou de Fillon lui aient été balancés en pleine gueule. Si son comportement avait été correct ça ne serait pas arrivé.
Par ailleurs son obstination scandaleuse à se maintenir au détriment de l' intérêt de la droite devrait amener à réfléchir ceux qui le voulaient quand même.
On aura peut-être la vaseline demain, vous nous direz comment ça fait parce que là vous avez eu la dose
Bref, moi, mon candidat ne fait pas les 5% tant pis. La seule chose qui compte c'est le choix final, pas les récriminations ni les combats déja perdus.
Donc le choix est clair: blanc, Macron, Le Pen point-barre.
Si vous voulez pas en être, lâchez nous la grappe. On essaye juste d' échanger sur le potentiel des candidats pour prendre nos responsabilités et choisir.
Si vous êtes incapable de vous associer à ce processus, ne donnez pas des leçons de citoyenneté à tous bouts de champ, ni de leçons en général, vous n' êtes plus crédibles.
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Pour Le Roux, Villepin, Dati, Lang et autres les scandales les plus ahurissants concernent le Qatar.
Silence radio à ce sujet, trop d'intérêts financiers là-dedans...
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