Les forums du CA-LIBRE
Vous n'êtes pas identifié(e).
Pages : 1
Aller un volontaire pour décrypter
Moi ça me fatigue....
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
Je suis sec là...
Hors ligne
Fait gaffe parait t'il il aime le lubrifiant .....
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
un petit coup d'Enigma peut être ?
Hors ligne
Un coup de pompe d'elkabbach sur le petit jeune devrait suffire
http://television.telerama.fr/televisio … 154659.php
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
C'est bien tu y trouves ton bonheur.
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
A bin v'la
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
Euh...... je bite rien de ce que vous dites, là.... Je suis dans un monde parallèle ou quoi ? Ah ben oui, forcément, j'aperçois Cherge......
"La forme de l'eau, on la sait quand il gèle"
Hors ligne
"Aller un volontaire pour décrypter "
J'ai rendu mon décodeur quand j'ai vu un enfant parent pleurer devant mon écran. Il m'a dit " j'ai les yeux qui piquent". Il venait de lire du cherge. Stop à la pollution
Hors ligne
Voyons FH tombe à l"eau qu reste dans le bateau?
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
Encore un peu jeune pour FH:
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
Place aux jeunes après Kim Jong-un (34 ans) Macron (39 ans) devance Trudeau.
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
Pfff, le cherge et ses archives...ce truc date du 27/2, complètement obsolète.
Moi je trouve que le nouveau Président a un profil à la Petitjean, ça devrait l' inspirer le simplet
Ouvrir un topic pour ça...monomaniaque en plus.
Quelle purge !
Dernière modification par letarmo (2017-05-09 15:25:24)
Hors ligne
Pour tes relations j'ai une requête de l'ex PM, aurais-tu un plaçou pour lui ches Macron?
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
Je passe du coq à l'âne.
Article issu de Mediapart:
« Il y a un très lourd droit du travail en France. Il y a aussi un très grand nombre de chômeurs. On ne peut pas ne rien faire. Le président de la République a indiqué pendant sa campagne qu’il entendait moderniser le droit du travail. » Le 15 mai, sur TF1, le premier ministre Édouard Philippe rappelait cette évidence, à ses yeux : pour relancer l’emploi, il convient en urgence de modifier le code du travail. Depuis, le mouvement est bel et bien lancé. La séquence s’achèvera, après consultation des partenaires sociaux, en octobre, avec l’adoption par l'Assemblée nationale des ordonnances réformant ce code du travail si entravant pour l’activité des entreprises.
Malchance, à cette époque, Édouard Philippe n’avait pas lu la note de conjoncture de l’Insee avec, en particulier, le focus intitulé « Que nous disent les entreprises sur les barrières à l’embauche ? ». Et pour cause, le document a été rendu public le 20 juin par l’institut statistique. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire… Que dit cette note fort instructive ? D’abord, que les deux principaux freins à l’embauche sont l’incertitude économique pour 28 % des entreprises et la difficulté à trouver une main-d’œuvre compétente pour 27 % d’entre elles. Loin, loin devant la réglementation du marché de l’emploi, que seuls 18 % des employeurs considèrent comme une barrière pour recruter. Celle-ci est même moins importante aux yeux des entrepreneurs que le coût du travail (23 %), où le niveau potentiellement élevé des salaires n’est quasiment pas mentionné (7 %). Une pierre dans le jardin des partisans de la modération salariale.
Alors ? Alors, rien. Ou plutôt, si : le code du travail, ce sacré pavé rouge qui fait si peur à l’économie française, n’est pas la cause du chômage. L’Insee le démontre. Le réformer dans un sens plus libéral et le rendre plus « flexible » pour « libérer les énergies » ne permettra pas d’embaucher plus. Ce ne sont pas des politiques qui le disent, ce ne sont pas des syndicalistes qui le clament, ce sont les patrons qui le reconnaissent.
Dans le détail, la note de l’Insee est une mine d’information pour le gouvernement s'il veut renoncer à sa réforme. D’abord parce que c’est principalement le secteur du bâtiment qui rencontre des difficultés pour recruter, à 73 % contre 52 % pour l’industrie et 43 % pour les services. Regarder de plus près la pénibilité, les conditions de travail et le niveau des salaires dans les entreprises de la construction serait certainement une riche idée pour inverser la tendance. Peut-être la ministre du travail peut-elle même se plonger dans l’enquête Sumer sur les risques professionnels (la dernière date de 2014), qui indique que plus de 70 % des ouvriers du secteur sont exposés à une contrainte physique. Mais cela n’a certainement rien à voir avec la difficulté des patrons à trouver de la main-d’œuvre motivée…
L’Insee met au jour une autre donnée essentielle. Elle indique que « les barrières à l’embauche liées à la législation encadrant le marché du travail semblent jouer des rôles importants comparables, les risques juridiques liés à un licenciement (14 %) étant légèrement plus souvent cités que leur coût (10 %) ». Pour bien comprendre : seulement 10 % des entreprises considèrent le coût du licenciement comme un frein pour recruter convenablement. Impossible de s’empêcher alors de s’interroger sur la pertinence et l’efficacité d’un barème obligatoire imposé aux juges prud’homaux concernant les dommages et intérêts en cas de licenciement abusif puisque, finalement, cela n’a rien à voir avec l’emploi.
Une phrase du document de l’Insee est particulièrement savoureuse dans le contexte actuel où, du patron du Medef au président de la République en passant par certains chroniqueurs économiques, le code du travail est devenu la cause de tous les maux : « Les entreprises qui ont du mal à recruter de la main-d’œuvre compétente ne citent pas particulièrement des barrières de coût ou de réglementation [...]. » À ce stade de limpidité, l’explication de texte ne se révèle plus nécessaire. Encore faut-il que cette affirmation atteigne les perrons de l’Élysée et de Matignon…
Selon Big:"ne sait pas lire"sans réflexion""manque d'humilité"égocentrique en mal de reconnaissance""bourricot qui ne comprend rien"idiot"rempli de certitudes"bon petit soldat"fanfaron"pathétique"philosophe d'opérette"à côté de la plaque"petite tête"couillon"fait peur dans sa rigidité cérébrale"un âne" bêle avec le troupeau d'abrutis"enfumé comme un con qui ne comprend rien"et bien sûr"méprisant"
Hors ligne
Si tu veux AA, on ne peut pas nier que le code du travail soit devenu imbittable dès qu'on y met le nez de près.
Sans aller au fond, la forme en fait un document quais inaccessible à moins d' être syndicaliste à plein temps et encore.Pour le reste je suis assez en phase avec mes ex petits camarades. la notion numéro un n'est pas la complexité, il y a des pros pour interpréter mais plutôt la confiance qui permette aux entreprises de revenir à des ambitions de développement plutôt que de rester en phase "prudence prudence".
DE toute façons et via du vécu (de mes enfants en particulier), le code malgré sa rigidité ne s' oppose pas très efficacement aux abus de ceux des patrons qui l' enfreignent, pas avec autant de chômeurs et surtout pas dans nos coins ou l' emploi est si rare.
Hors ligne
Merci AA pour l'article intégral, ah c'est sûr qu'on risque pas trop d'en parler dans Cédanlair !
Quelques remarques aussi liées à la prétendue complexité du truc :
- d'abord je suis étonné que les chefs d'entreprises, donneurs de leçons devant les terres nulles, se disent incapables de s'y retrouver, pour des gens soi-disant supérieurs ça la fout mal
- surtout qu'ils manient régulièrement le gode du commerce et d'autres qui sont pas forcément plus simples...
- et on sait tous que le code du travail a enflé du fait de la jurisprudence et surtout des différentes exonérations thénardières dont les "râleurs" sont sans doute aussi les bénéficiaires.
"Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent". Jean Yanne.
Hors ligne
De l'importance de mettre le nez dans des lectures de première main et de ne pas se contenter de Mediapart et autres qui vous mâchent la réflexion pour vous servir ce que vous voulez lire !!
L'original: https://www.insee.fr/fr/statistiques/28 … re=2872027
Je vous invite notamment à jeter un oeil au tableau 3a, que vous aurez le droit de comparer au tableau 3b...
Principal biais en statistique: l'influence des questions sur le sondé...
Hors ligne
Les ordonnances cela va permettre au Président de noyauter Philippe II dit Auguste.
Comme pour Charles DE Gaulle les ordonnances sont le meilleur moyen pour que les syndicats réécrivent a leur convenance la loi travail. Les ordonnances de 1946 ont permis les années glorieuse. Cela allume notre jeune homme.
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
De l'importance de mettre le nez dans des lectures de première main et de ne pas se contenter de Mediapart et autres qui vous mâchent la réflexion pour vous servir ce que vous voulez lire !!
L'original: https://www.insee.fr/fr/statistiques/28 … re=2872027
Je vous invite notamment à jeter un oeil au tableau 3a, que vous aurez le droit de comparer au tableau 3b...
Principal biais en statistique: l'influence des questions sur le sondé...
C'est justement l' intérêt des travaux de l' INSEE. On sait poser des questions de façon neutre, et c'est très peu le cas des instituts de sondage privés qui agissent sur ordre. A l' INSEE, la méthodologie est la même quel que soit le pouvoir.
Mais on empêche rarement ensuite les interprétations ...et des fois ça fait fortement râler, parce qu'on ne peut pas en dire plus.
J'ai souvent connu ça avec la publication des comptes de l' Agriculture ou les travaux sur la sécheresse et les calamités agricoles...
Hors ligne
" A l' INSEE, la méthodologie est la même quel que soit le pouvoir."
Elle est bonne celle là.
J'ai personnellement vu une très grande différence au changement de mandature en 2012. Mais bon tout cela ne concernait "que" l'industrie, hein
Pour être plus spécifique, les enquêtes de branche étaient dans le passé mandatées aux fédérations professionnelles qui remontaient après collecte les données de leurs membres à l'INSEE. Aujourd'hui, l'INSEE prétend collecter mais ne fait réellement que des sondages épisodiques sur des échantillons qui sont ensuite "extrapolés", en fonction des besoins de Bercy... Les résultats sont parfois spectaculaires, dans mon secteur, l'INSEE annonce des chiffres 3 fois supérieurs à la réalité...
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
Hors ligne
Mais c'est exactement comme ça que ça se passe!
Les gouvernants interprètent les chiffres comme ça les arrange. On leur fait dire ce qu'on veut!
Si demain, on veut faire dire aux enquêtes qu'une majorité est d'accord pour faire payer un loyer aux gens n'ayant pas de crédit, et bien ils nous la sortiront. Et plus grande la volonté politique sera forte, plus Le % de gens favorables sera grand. Que veux tu dire si tu es contre? C'est une façon de gouverner. Et combien de ministres qui ronronnent dans leur coin, ne se sont pas pris de cette lubie? Ca leur donne l'impression de faire quelque chose! C'est comme ça que pour le "mariage pour tous" les enquêtes donnaient de larges % en faveur du oui, contre de misérables % aux opposants. Et à chaque fois, ca parlait de panels de 960/1230 personnes "représentatives"... bref on ne nous prend vraiment pas pour de cons!
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
Hors ligne
J'avoue que l'inflation constatée dans l'Inseeland m'a souvent laissé pantois.
Quel beau pays où les impôts privés (vous savez ceux qui augmentent joyeusement chaque année sans que personne ne s'en offusque ; banques, assurances...) ne semblent pas exister.
"Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent". Jean Yanne.
Hors ligne
Pages : 1