Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

Compo probable pour samedi:

asichvili, ribes, barnard
Le De, Méla
Hauman, Koya, Waka
Pejoine, Swanny
Larenjeira, Mignardi
Radikedike, Namy
Germain

c est une blague....j espere!!! parce que la cherge tu me fais marrer....

info non moins importante en vue du maintien pour oyo, leur buteur et ouvreur Urdapilleta absent entre 6 et 8 semaines...

C'est une très bonne nouvelle cette signature, pour être passer pas mal d'années par le Stade Toulousain je pense qu'encore une fois le staff a eu du nez, de plus cette année il est à la bonne école, celle de la Pro D2...
Il aura à coeur de montrer l'année prochaine au stade qu'il n'est pas qu'un second choix (un peu comme Le De à l'époque ou il est arrivé à Brive)...et quand on voit le résultat aujourd'hui Le De est un grand! j 'espère au final qu'on le perdra pas même si c'est parti pour....

Ou alors commencent ils à mettre en place l après Méla car avec Pinet ce sera un peu juste...

de toute façon, il faut s'attendre à ce que le score soit très sérré, je pense que ce sera que du combat pendant 80 minutes. Devant faudra mettre un pack de guerriers. Comme disait Méla, ils n'ont toujours pas digérés le match de biarritz et c'est tant mieux au moins le racing sait à quoi s'attendre...

+1

ce serai etonnant qu on  recrute un autre 10, il vaut mieux garder et faire jouer neissen, de plus on a deja swanny et sola...

j'espère quand même qu'un jour ou l'autre ils se décideront de mettre Malei sur le banc aussi et y mettre Larenjeira car on parle du début de saison de Mafi mais moi les performances celui qui me choquent le plus ce sont celles de Malei, je le trouve pas au niveau....très limite en défense et en attaque n'en parlont pas....absent!!!!

c'est vraiment des charlots....le point positif c'est que meme si le BO se sauve sportivement, il risque d'etre relégué par manque de moyens financiers car si pas de fusion Cap Gémini se désangage totalement du BO....et là Blanco perd son plus gros partenaire historique!!!!!

« Brive et les gens là-bas resteront toujours dans mon cœur. J’ai fait ce choix car je veux progresser encore dans mon rugby. Je sens que j’ai déjà amélioré certaines facettes. J’ai 26 ans et plein de choses encore devant moi. "

Il nous manque!!!

si çà peut te renseigner sur le montage, c'est dans le midol du jour

S’il semble insurmontable aux yeux de
certains sceptiques, un projet de rapprochement
entre deux clubs ressemble,
pour ceux qui ont déjà vécu
l’aventure, à une simple formalité
administrative. Laurent Marti, président
de l’Union Bordeaux-Bègles, peut
en témoigner. Le président girondin
qui a assisté puis oeuvré pour le
mariage unissant le Stade bordelais et
le Club athlétique de Bordeaux-Bègles
entre 2005 et 2007 connaît la question
mieux que personne : « Les dirigeants
basques devront créer ce que l’on
appelle une association tierce, qui
sera le support légal de la SASP de la
nouvelle entité. Les deux associations,
l’Aviron bayonnais et le Biarritz olympique,
subsisteront. Elles comporteront
les catégories d’âge allant de
l’école de rugby aux juniors et Reichel.
Le centre de formation, l’équipe
espoirs et l’effectif professionnel
feront partie de la nouvelle SASP. »
En fait, tout est une question de
volonté. « Si les clubs et les municipalités
sont d’accord sur le principe, les
choses peuvent aller vite. Ensuite, il
suffit de de demander l’agrément à la
Ligue », poursuit Marti. Alors, un tel
rapprochement serait-il un jeu
d’enfant ? Non. Car dans le cas de
l’union girondine, Laurent Marti n’a
pas eu à gérer la question des contrats
professionnels des joueurs :
« Le CABBG évoluait à l’époque en
Fédérale 1, donc dans le monde amateur.
Seul le Stade bordelais évoluait
au niveau professionnel. » Ce qui n’est
pas le cas des deux clubs basques,
solidement enracinés dans le monde
pro. « C’est, à mon sens, le problème
le plus délicat que Serge Blanco et
Alain Afflelou auront à résoudre »,
souffle le président girondin. Comme
quoi, même la meilleure volonté du
monde n’épargnera pas aux ambitieux
entremetteurs quelques réunions qui
se promettent d’être mouvementées…
S. V. ■
Le mode
d’emploi
de l’Union
Financiairement, une fusion se déjoue
des principes arithmétiques : les budgets
ne s’additionnent pas comme
1+1 = 2. Du point de vue des effectifs,
néanmoins, les mathématiques gardent
leurs droits. Actuellement,
32 joueurs composent l’effectif du
BOPB, autant chez le voisin bayonnais.
Soit un total de 64 joueurs. La Ligue
nationale de rugby autorise un maximum
de 35 contrats professionnels par
club. La fusion induierait donc un écremage
à venir d’au moins 29 joueurs.
Premiers visés, ceux en fins de contrat.
Ils sont actuellement 16 à Biarritz, 13
à Bayonne. Soit les 29 requis. Reste
que construire un effectif cohérent, en
s’assurant au moins deux joueurs par
poste, peut ne pas entrer en cohérence
avec les actuelles fin de contrats.
Des négociations de ruptures à
l’amiable, coûteuses pour la nouvelle
entité basque, devraient alors être
envisagées.