Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

Geronimo, je comprends tout à fait ta réflexion et le besoin d’exprimer un désaccord avec ce qui se passe actuellement. 
Pour ma part, je ne suis pas opposé à l’idée de protester, mais je ne pense pas que le fait de ne pas aller au stade fasse de certains de “meilleurs” supporters que ceux qui continuent d’y aller. À mes yeux, assister au match ne signifie pas forcément soutenir la direction ou cautionner la situation actuelle. 

Je trouve dommage que le débat en vienne parfois à opposer les supporters entre eux, alors qu’au fond, nous partageons la même passion et les mêmes inquiétudes. Le problème ne vient pas des tribunes. 

À court terme, rester chez moi alors que je suis abonné ne changerait pas grand-chose, si ce n’est me priver. D’autant que les abonnés sont comptabilisés dans les chiffres de fréquentation, présents ou non. 

J’étais au stade avant eux, et j’y serai encore après (sauf empêchement du cimetière, évidemment). 
Et puis, à plus long terme, on sait bien que les investisseurs actuels finiront par se détourner. Pour en attirer de nouveaux, une équipe qui joue dans un stade vivant et plein envoie, à mon sens, un message bien plus positif qu’un stade vide. 

Voilà simplement comment je vois les choses, Homolog… euh, Geronimo. 
Et je le dis sincèrement, j’apprécie toujours tes analyses et la qualité de tes interventions. XO XO

Oui, je suis totalement en accord avec cette idée. Et j'ajouterai ceci :

Moi, manager , j'optimiserais les JIFF. Parce que je suis convaincu qu'il est possible d'intégrer beaucoup plus de jeunes dans cette équipe.

En première ligne, à gauche, je miserai uniquement sur Chauvac — sous réserve de la durée de son indisponibilité —, Fraissenon et Relhies (Abdaladze peut convrir les 2 postes). À droite, même logique : Kiteau, Affane et Coria. 

Les talonneurs, eux, ne posent aucun problème de quota JIFF.

En deuxième ligne, nous sommes contraints d'aligner Herbst, mais derrière lui, il faut donner leur chance à Karst, Ricard, Miko, Coletta et Usarraga dès son retour.

En troisième ligne, avec le retour d'un Marais en forme, je laisse de côté Lawes et Sadrugu au profit de Geneste et de Malaterre — bien meilleur, à mes yeux, qu'un Sacha Gué.

À la mêlée, la rotation Galtier–Sidobre–Verdu doit suffire, d'autant que le « petit Bros » n'est pas loin derrière.

À l'ouverture, je ferai tourner Keletaona avec Shilcock.

Au centre, le trio Shvelidze, Biassoto, Piementa, complété d'Olding et éventuellement Lefranc — qui n'avait pas démérité —, offre de vraies garanties. Bainivalu, lui aussi, compte parmi les JIFF.

Sur les ailes, la question Tuivaka se pose, mais je crois que nous pouvons apprendre à nous en passer.

Moi, manager, j'accorderais un bon de sortie à Van der Merwe, Stassen, Lowes, Sadrugu, Cooney, Tapuai et Tuivaka. Non pas par rejet, mais parce que le CAB doit envoyer un signal fort à ses jeunes espoirs, et reconquérir son identité à travers le quota JIFF.

Moi, manager, je limiterais à quatre le nombre de non-JIFF par feuille de match.

Et j'ajouterais encore : il faut un projet, un vrai — un projet de remontée sur trois ans.
Moi, manager, je placerais Coletta capitaine, pour encadrer cette jeune garde, pour qu'il soit le pilier de ce renouveau.
Car c'est ainsi que l'avenir se construit : avec la jeunesse, la fidélité, et la confiance retrouvée.

Oui, j’ai entendu aussi, mais ça reste une simple rumeur. À la base, c’était sans doute prévu pour un départ en fin de saison, donc en juin. 

Mon objectif pour le CAB, c’est d’aller chercher le bonus offensif et, dans l’idéal, de franchir la barre des 40 à 50 points, avec une victoire à Béziers. Tout autre résultat serait une contre-performance !

Les n°8, c est 3 max

Résultats du Hall of Fame du CAB pour les troisièmes lignes ailes :

Vosloo (14 votes),
Kacala (13),
Van der Linden (10),
Magne (9),
Bonvoisin (7),
J'exclus Joinel (6 votes) puisqu'il est, pour moi, davantage un numéro 8
etHauman totalise 5 votes.

Je propose désormais de passer aux votes pour le poste de troisième ligne centre (numéro 8).

Pour moi, être présent au stade n'a jamais voulu dire cautionner tout ce qui se passe, ni soutenir la direction coûte que coûte. Si je continue d'y aller, c'est justement pour faire entendre notre voix, pour montrer que les supporters ne disparaissent pas avec les déceptions. On peut le faire par tous les moyens : le silence pendant les 10 premières minutes, tourner le dos au terrain, organiser une bronca, brandir des messages clairs… L'important : être là, exister, incarner la mémoire et l'attachement au club.

Y être, c'est aussi être là pour ceux qui ne peuvent plus venir, pour tous les anciens qui ont vécu des moments forts sous ce maillot, pour marquer le respect envers les joueurs qui nous ont fait vibrer et qui se sont battus pour les couleurs de Brive. Ne pas venir, c'est effacer tout ça. Le stade vide, c'est le silence total ; le stade rempli, même de contestation, c'est le rappel que le CAB a toujours une âme qui refuse l'indifférence.

Venir, c'est aussi un geste pour les générations futures, pour ceux qui découvrent la tribune, qui rêvent encore de rugby : ils doivent voir que la passion survit même aux pires moments. C'est facile de disparaître, de rester chez soi. C'est beaucoup plus fort d'être là, même pour manifester, de résister à l'indifférence et à la gestion désastreuse, d'affirmer qu'on ne vient pas pour Blandinière, mais pour tout le reste — pour les valeurs, pour les souvenirs, pour le rugby que Brive représente et doit continuer à défendre.

Il nous reste l'honneur de la tribune, de la fidélité et de toutes les voix qui ont résonné avant la nôtre. Les absences ne font qu'éteindre la lumière ; la présence, même contestataire, restaure l'espoir. On ne lâche rien.

Je rajoute aussi ceci : on parle de l'image qu'on renvoie au reste du monde du rugby. Des tribunes vides, c'est offrir sur un plateau le cliché du supporter briviste qui ne tient pas dans la tempête. On donne raison à ceux qui pensent « bah tu vois, les brivistes c'est des cons, des m'as-tu vu, dés que ça se gâte ils se barrent… »

Comment défendre la valeur de notre club et de notre ville, si on file la réputation d'une place sans âme, prête à disparaître à la moindre difficulté ? Une tribune pleine – que ce soit dans le bruit ou dans le silence de mort – montrera toujours qu'il existe ici une vraie passion, pas juste des spectateurs de circonstance. Ce n'est pas le moment de laisser notre histoire se réduire à une moquerie.

Être présent, c'est aussi une question de respect pour ce qu'a été le CAB, pour ceux qui ont donné, pour l'image qu'on veut laisser aux générations futures. Le monde du rugby regarde : autant montrer qu'à Brive, on n'est peut-être pas content, mais on n'a jamais été du genre à fuir ou à disparaître.

Heu... svp ne descendez pas kaamelott au niveau du cab !

au mieux ils gagnent du temps pour trouver un manager et son staff ?

je valide

Ah ok

non dans l'est je crois. je le vois plus zone ouest, mais c'est tjrs à lui.

Bienvenue