Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

Sûrement Colleta capitaine. Ce qui serait bien.

Dans cette histoire, le seul truc qui me rassure c'est que je pense que PHB, Mela, Shvelidze, et Hireche ça passe plutot bien. Sur l'histoire perso (et c'est ça qui a foutu la merde, si vous voulez des infos c'est en mp), je comprend Broncan et DD lui a mis à l'envers. J'imagine que staff et joueurs sont de mon avis et j'espere que c'est aussi pour cette raison que c'est le bordel, ils (joueurs et staff) ne voulaient juste pas bosser avec DD. Maintenant Broncan revient en commando, si il résussit ça peut être aussi tout benef pour la suite de sa carriere.

Non mais c est fait

En faisant les devins, on pourrait même envisager un scénario plus compliqué. le CAB remercie Broncan — celui qui a un coût non négligeable (25K/mois si les infos sont bonnes) mais la fin de contrat la plus proche — en prétextant que c'est lui la cause des problèmes. Mais i ajoute un entraîneur des lignes arrière pour decharger DD, vraisemblablement Lespi, Thomas.L, voire Carbo (bien que j'en doute).

Le message semble clair : on a un chef, on se met derrière lui ou on ne joue pas.

Question pour les bien informés du forum : Est-ce que la véritable cause du différend entre DD et Broncan ne résiderait pas dans les sphères internes du club  ?

dejà une mise en retrait ?

au pire ça fait un staff complet qui s'entend. Mais Mela resterait

on a eu aussi mais en 2 mots ...

???

je me suis fait la même réflexion

Franchement, quand on regarde la situation actuelle, tout s'explique assez simplement. Le vrai problème, c'est que Daricarrère et Broncan ne se parlent plus, et que c'est cette rupture qui a tout fait basculer.

En fin de saison dernière, une partie des joueurs et du staff ont poussés pour écarter Broncan. Sauf que le recrutement était déjà pratiquement bouclé, et taillé pour jouer "à la Broncan" : un jeu d'occupation, d'organisation, pas celui où tu cours partout sans structure. Résultat, certains joueurs se retrouvent perdus ou à contre-courant du plan actuel.

Aujourd'hui, il y a deux camps dans le vestiaire : les pro-Dari et les pro-Broncan. Et comme il n'y a toujours pas de patron au-dessus pour dire « véritable stop, maintenant c'est comme ça », c'est le chaos.

Ajoute à ça un Mela complètement dépassé, qui n'écoute même plus les remarques de ses internationaux anglais… et un Hireche qui nous fait un remake d'Iznogoud, on obtient un climat ingérable. J'espère simplement que le président, en interne, a enfin remis un peu d'ordre et clarifié les choses, parce qu'on ne pourra pas tenir longtemps comme ça.

Mon avis on aurait du laisser les clés à Broncan en fin de saison dernière, et remercier Daricarrere

Bon dodo

Géronimo, je pense que tu fais une confusion qui, au fond, entretient une image fausse et trop simpliste des supporters. 
Tu sembles opposer ceux qui vont encore au stadium à ceux qui sont en colère ou désabusés, comme s’il s’agissait de deux camps bien distincts. Or, la réalité est beaucoup plus nuancée.

Beaucoup de ceux qui continuent d’aller au stade le font avant tout par attachement au club, à ses couleurs, à son histoire, à ses joueurs, parfois même par habitude ou par besoin de partager un moment entre amis. 
Ça ne veut pas du tout dire qu’ils sont satisfaits de la gestion actuelle, ni qu’ils soutiennent aveuglément la direction ou les choix faits ces dernières saisons.

On peut être profondément en colère, désaccord total avec ce qu’est devenu le CAB, et malgré tout avoir envie d’être présent, de rester proche de l’équipe, de montrer aux joueurs qu’ils ne sont pas seuls, même si la direction se plante. 
C’est justement là toute la complexité du soutien : il y a ceux qui expriment leur mécontentement en se retirant ou en protestant ouvertement, et ceux qui le font par leur présence, en refusant d’abandonner malgré le marasme.

Ce serait une erreur de réduire les supporters qui vont encore au stade à des “suiveurs dociles” ou à des gens sans opinion. 
Beaucoup d’entre eux partagent la même colère, la même lassitude, le même écœurement face à certaines dérives. 
La différence, c’est juste la façon de l’exprimer. Et ça, ça ne mérite pas d’être caricaturé ou opposé.

En pointant du doigt ceux qui continuent à venir, on finit par créer une fracture supplémentaire, alors qu’on devrait au contraire rester unis dans la frustration comme dans la passion — parce que c’est cette passion commune qui fait la force du club, pas les divisions.

Mais au lieu de se déchirer entre nous, ce serait sans doute plus utile qu’on se recentre sur ce qui nous rassemble: le terrain et les résultats.

La saison est loin d’être terminée, et malgré tout ce qu’on a pu subir, rien n’est joué pour le classement. 
Une victoire à Béziers, puis un succès à domicile contre Colomiers, ça pourrait changer énormément de choses: ça relancerait clairement l’équipe et, pour le top 4, on serait à nouveau dans le coup. 
On sait que le groupe a du caractère (surement trop et pas dans le bon sens), et ce genre de série peut suffire pour remettre tout le monde dans le sens de la marche — supporters compris.