Les forums du CA-LIBRE
Vous n'êtes pas identifié(e).
Ca m'etonnait qu'on ne parlait trop des consequences pour les clubs de la decision d'integrer les Pumas au Tri-Nations.
Le casse-tête argentin
Avec leur intégration, à partir de l'été prochain, au sein de ce qui s'appellera le Four nations, les Argentins disposeront d'une compétition annuelle de haut niveau. Un bouleversement qui ne sera cependant pas sans conséquences en France, habituelle terre d'accueil des Pumas.
Officialisée le 8 novembre, la nouvelle ne peut évidemment qu'être applaudie. Le 18 août 2012, la sélection argentine signera son entrée officielle dans le tournoi des Four-nations, aux côtés de la Nouvelle-Zélande, de l'Australie et de l'Afrique du sud. Tout bénéfice pour le rugby argentin. Mais derrière cette nouveauté, de nombreux problèmes se profilent. Si à terme, la filière argentine devrait se tourner irrémédiablement vers le Super 15, concordance des calendriers oblige, les premières années risquent d'être le théâtre d'un sacré embouteillage.
Organisé entre août et octobre, le Four-nations 2012 couvrira en effet sept journées de Top 14. Ce à quoi il faut ajouter trois journées faisant doublon avec les tests d'automne, en novembre, et c'est près de la moitié du championnat français que les internationaux argentins pourraient manquer à compter de l'année prochaine.
Effort financier
Face à cette équation insolvable du calendrier, quelle attitude les clubs français vont-ils dès lors adopter ? "Je ne vais pas payer des joueurs qui jouent à mi-temps et je ne sais donc pas si les Argentins pourront continuer à jouer en France", s'avance par exemple Jacky Lorenzetti, président du Racing-Métro.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
On commence a voir les consequences de l'intégration de l'Argentine dans le Four-Nations.
http://www.rugby-transferts.com/top-14/ … -flou.html
http://www.rugby-transferts.com/etrange … ester.html
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Tiens, commentaires que j'avais faits début Novembre suite à l'évocation du sujet par le VP de la Sanzar qui parlait de la "qualité" du jeu argentin digne du tri nation:
Pas sur que le jeu pumas à base de conquête-savate-triche soit vraiment compatible avec le format murdochien "pestacle" du tri nation...
Et comme l'indique Crazy, comment qu'ils font les Pumas pour jouer le tetranation? Tous leurs inters de premier rang sont en Europe, donc après les championnats, leur faire jouer des matches internationaux en Juillet-Aout, ça va pas le faire, les mecs seront cramés, il faut qu'ils soient dans le calendrier de l'hémisphère sud totalement incompatible avec les championnats de l'hémisphère nord... Donc ils faut que les joueurs soient basés en Argentine, mais il y est impossible économiquement d'y avoir un championnat pro. Baser alors les Pumas dans les autres nations du sud? Ils ne pourront pas jouer en Super XV puisque ces compets servent à former le reservoir d'internationaux des sudistes. Seraient donc limités à jouer le NPC NéoZed ou la Currie Cup...
Et puis les matches auraient lieu où? Déjà l'Afsud, ça fait une trotte pour les océaniens, mais alors si il faut aller de l'autre coté du globe, moi j'achète tout de suite des actions Qantas en bourse
Je suis très sceptique la dessus dans le format des compets actuel. Soit les calendriers s'harmonisent entre les hémisphères, soit il va falloir trouver une autre patrie d'accueil que la France pour les Pumas, parce que je ne vois pas les clubs de la LNR payer des mecs à pas jouer en top14. Mais vu les propos du dir exec de la Sanzar (en fait le VP en hierarchie anglosalconne) quant à la qualité du jeu argentin, j'ai de très gros doutes sur ses connaissances de l'économie du rugby nordiste. Brefle, ça va pas le faire. La seule solution possible AMHA aurait été la création d'une franchise argentine (qu'on aurait appelée "Jaguars de Buenos Aires" ou "Gauchos les marrons") pour jouer le Super15 et créer une base économique et calendaire à l'installation de joueurs argentins pros dans l'hémisphère sud. A noter que cela aurait pu être la solution également pour l'intégration des iliens, Samoa Tonga et Fidjis, mais que cela a toujours été refusé par les NZ et Aus qui font venir ces joueurs dans leurs franchises pour en nationaliser les meilleurs éléments...
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
Hors ligne
C'est pas le meilleur moment pour defendre les franchises Franz...
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Bah, de toute façon je suis CONTRE le rugby pro. Vive l'amateurisme marron, les emplois municipaux de complaisance et les licences rouges pour les internationaux (sauf ceux d'Agen, bien evidemment)
Ferrasse, reviens vite, ils sont devenus fous.
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
Hors ligne
Allez vive une franchise maroni pour nous rapprocher de nos amis Argentins.
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
Je pensais qu ils s appuieraient uniquement sur les pampas!!!!! Si les argentins jouent douze mois sur douze ca va tourner a l exploitation
Hors ligne
Le casse-tête de Phelan
L'entrée de l'Argentine dans le Four Nations dès cette année (18 août-6 octobre) va priver le Top 14 de ses internationaux argentins pendant 3 mois. Le sélectionneur Santiago Phelan le reconnait, «certains joueurs sont inquiets».
Les doublons sont à la mode ces derniers temps. Un nouveau va apparaître à l'été 2012 et risque de faire grincer bien des dents dans les rangs du Top 14. L'entrée de l'Argentine dans le Four Nations peut s'avérer lourde de conséquences puisque les internationaux vont s'absenter pendant 3 mois. Et à la différence de la Coupe du monde, cela va se reproduire tous les ans. Du coup, en ce qui concerne leur avenir en Europe, «certains joueurs sont inquiets», comme le reconnaît Santiago Phelan dans les colonnes de L'Equipe.
«Le plus important pour eux est de jouer pour leur pays»Au total, c'est 22 joueurs qui risquent de manquer au Top 14 s'ils sont appelés par le sélectionneur argentin. «On peut sélectionner les joueurs et exiger leur présence pendant le Four Nations, qui est une fenêtre internationale officielle. Mais il faut parler... Les responsables de la fédération argentine viendront en Europe pour s'entretenir avec les Fédérations française et anglaise.» Nul doute que les discussions s'annoncent animées. En attendant, Santiago Phelan a rencontré les Argentins évoluant en France et est persuadé que «le plus important pour eux est de jouer pour leur pays».
Les 22 joueurs concernés: Contempomi, Roncero, Rodriguez Gurruchaga, Nahuel Tetaz (Stade Français), Hernandez, Galindo, Orlandi, Imhoff (Racing-Métro), Carizza, Bosch, Gomez Kodela, Guinazu (Biarritz), Alabacete, Vergallo (Toulouse), Bustos, Creevy, Figallo, Fernandez, Gonzalez Amorosino, Bustos Moyano (Montpellier), Fernandez Lobbe, Senatore (Toulon)
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Pas de La figue donc!
En ligne
Apparemment non...
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Henry au chevet des Pumas
Graham Henry, le sélectionneur néo-zélandais sacré champion du monde avec les All Blacks lors du dernier Mondial, va devenir conseiller auprès de la sélection nationale argentine, actuellement dirigée par Santiago Phelan. Son objectif ? Préparer les Pumas avant leur intégration au Four Nations.
Le jeune retraité n'aura pas supporté l'inactivité bien longtemps. A 65 ans et quelques mois seulement après avoir obtenu un sacre mondial avec les All Blacks qu'il dirigea pendant huit années, l'ancien professeur d'EPS s'est déjà retrouvé une classe: les ambitieux Pumas, qu'il va conseiller pour, selon ses propres mots, "donner à l'instance chargée du haut-niveau à l'UAR ainsi qu'à ses entraîneurs une idée de ce qui est requis pour créer un programme qui mènera à une équipe nationale plus compétitive". En clair, hisser l'Argentine au niveau des nations du Sud.
Car les Argentins ont un défi de taille à relever: dans quelques mois, ils se à la Nouvelle-Zélande, l'Afrique du Sud, et l'Australie dans cette nouvelle compétition baptisée le Four Nations ou Rugby Championship. Rien que ça. Après sa surprenante mais méritée troisième place au Mondial 2007, l'Argentine a semblé en léger déclin en 2011 (rappelons la défaite contre l'Angleterre 9-13, victoire poussive contre l'Ecosse 13-12, et finalement élimination en quart par les Blacks 33-10). Conscients de ce retard accumulé, les Pumas ont donc décidé de s'attacher les services de leur bourreau: "Nous cherchons à impulser un saut qualitatif (...) et nous avons confiance dans le fait que l'expérience et les connaissances de Graham Henry nous y aideront", a déclaré le président de la Commission chargée du haut niveau, Manuel Galindo.
Henry: "Un immense défi"
Et il faut reconnaître que le palmarès du technicien est impressionnant. Outre son titre de champion du monde 2011 conquis le 23 octobre dernier, sur ses terres, avec les All Blacks, Henry a remporté le défunt Tri-Nations à cinq reprises (2005, 2006, 2007, 2008, 2010). Il a aussi été élu cinq fois meilleur entraîneur de l'année par l'International Rugby Board, l'organe suprême du rugby. Des distinctions légitimes, au vu du bilan comptable de l'entraîneur: en huit ans de mandat, l'ancien professeur de lycée a remporté 85% de victoires (88 en 103 matches), soit le meilleur bilan d'un entraîneur de l'histoire du rugby moderne. Seuls John Mitchell, son prédécesseur à la tête des Blacks (82% entre 2001 et 2003), et Rod McQueen, l'entraîneur de l'équipe d'Australie championne du monde en 1999 (79% entre 1997 et 2001), l'approchent.
Bien sûr, il faut rappeler que cette ribanbelle de titres a été acquise avec les meilleurs joueurs du monde, issus d'un pays où le rugby est élevé au rang de religion. Qu'en sera t-il avec l'Argentine qui, malgré l'omniprésence du ballon rond, sort de ses clubs des joueurs extrêmement talentueux ? Henry est conscient que la tâche s'annonce ardue: "L'intégration de l'Argentine dans le Four-Nations est enthousiasmante mais c'est en même temps un immense défi, a-t-il ajouté. Affronter les trois meilleures nations mondiales est un défi important." Un défi à la mesure du gourou noir, qui apportera sa griffe aux Pumas.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Nous nous sommes tant aimés
La première édition du Four Nations, qui intègre l'Argentine, risque de poser des problèmes entres les Pumas et le Top 14. Pas sûr que l'histoire d'amour puisse perdurer.
L'Argentine est donc aux portes d'une nouvelle aventure à quelques semaines de sa participation au Four Nations. Les Pumas ont enfin gagné le droit de disputer régulièrement une compétition qui les verra affronter ce qui se fait de mieux dans le monde du rugby, à savoir la Nouvelle-Zélande, l'Afrique du Sud et l'Australie. A partir du 18 août, l'Argentine entre réellement dans la cour des grands. « C'est la possibilité pour nous de progresser énormément. Jouer tous les week-ends pour son équipe nationale, face aux meilleures nations du rugby, c'est un rêve. C'est très important et il faut remercier la Fédération argentine d'y être arrivé », se réjouit Juan Martin Hernandez.
Montpellier privé de cinq joueursMais ceux qui doivent un peu moins se réjouir, ce sont les dirigeants des clubs du Top 14 qui ont dans leurs rangs des joueurs argentins. En effet, pas moins de vingt joueurs évoluant en France ont été retenus pour disputer cette première édition du Four Nations (18 août - 6 octobre), dont dix-huit jouent en Top 14. Autant dire que ces joueurs ne prendront pas part à la préparation d'avant-saison et ne pourront pas intégrer leurs clubs avant la mi-octobre. Sans parler d'éventuels blessés. Avec respectivement cinq et quatre sélectionnés (et non des moindres), les staffs de Montpellier et du Racing doivent se poser des questions sur la nécessité d'engager des Argentins.
Concerné en tout premier lieu puisque le Racing a prolongé son contrat cette saison, Juan Martin Hernandez a son idée sur la question. « Cela va demander une période d'adaptation pour tout le monde, effectivement. Mais si les clubs européens ne sont pas d'accord sur ces conditions, les Argentins viendront moins jouer en Europe. J'imagine d'ailleurs que d'ici cinq à dix ans, les Argentins n'auront plus besoin de s'exiler pour jouer au rugby, comme ce fut le cas pour ma génération et encore plus pour la précédente ». La longue histoire d'amour qui lie les Argentins au Top 14 pourrait donc avoir des airs de Nous nous sommes tant aimés. A moins d'une refonte complète du calendrier international. « Mais je ne vois pas comment cela possible, regrette Hernandez. Mais je tiens à remercier les clubs comme le Racing qui font encore signer des Argentins, des clubs qui nous font confiance. Même si, au final, nous n'allons pas manquer beaucoup plus de matches que les internationaux français qui jouent le Tournoi des VI nations ». Le problème, pour Hernandez et ses compatriotes, est que ces absences vont s'ajouter aux leurs. Et pas dans les mêmes périodes. C'est bien là que le bât blesse.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Figuerola ne passe pas des 33 aux 26 Pumas retenus pour le four nations : http://www.rugbyrama.fr/rugby/four-nati … tory.shtml
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Sanchez remplace Hernandez:
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
Se sont bien fait secouer par les Boks à Newlands samedi dernier. Ils ont été sauvés par un arbitrage ridiculissime de l'impayable steve walsh. A noter l'arbitrage sévère de Allain Roland pour AUS-NZ, dur mais cohérent. Fernandez Lobbé postule lui aussi pour le titre de trciheur de l'année dans le jeu au sol avec Mc Caw et Pocock.
Pour les ceusses qui veulent télécharger les matches du 4 nations, il y a ce blog argentin qui est excellent:
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
Hors ligne
sUper merci François
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
tiens au fait François je vais essayer de recontacter FrEd de Tarbes tu te rapel du temps de l'ancien forum une Tarbouze ici comme au bon vieux temps....
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
C'est vrai que le Fred, l'était bien sympa.
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
Hors ligne
Franz toi qui suis le 4 nation, qui joue en 3ème ligne chez les bocks? Russow est il toujours aligné? Lors de la dernière coupe du monde, il m'avait semblé être un vraiment bon.
Et Hoogard joue-t-il? Du plessis titulaire au talon?
Dernière modification par cece19 (2012-08-25 22:02:45)
"Enfin ce soir on a vu les 2 equipes qui joueront en prod2 la saison prochaine"
Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
Hors ligne
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
Hors ligne
arbitrage bien special,a mon gout!
Hors ligne
Franz toi qui suis le 4 nation, qui joue en 3ème ligne chez les bocks? Russow est il toujours aligné? Lors de la dernière coupe du monde, il m'avait semblé être un vraiment bon.
Et Hoogard joue-t-il? Du plessis titulaire au talon?
Francois Hougaard joue bien en 9 chez les Bulls et chez les Boks où il a supplanté le pourtant brillant Ruan Pienaar. C'est à mon avis le meilleur 9 au monde aujourd'hui, il a tout, la vitesse, l'intelligence, la technique, le jeu au pied, la défense et une polyvalence lui permettant d'occuper les postes 11-14-15. Le fait qu'il constitue la chanière habituelle des Blue Bulls avec Morné Steyn donne également une certaine fluidité à la charnière des Boks
A ma grande surprise, Heinrich Brussouw n'est pour le moment pas dans la 3 ligne des Boks qui est essentiellement occupée par les flankers des Sharks, Keegan Daniel (bofbof) et Marcel Coetzee (la révélation de la saison). Par contre, le 8 des Sharks, Kankowski, n'est pas selectionné; pas plus que celui des Bulls, Pierre Spies. Je comprends d'autant moins pour Brussouw qu'il s'est montré excellent avec les Cheetahs en Super XV et je le trouve meilleur gratteur que Mc Caw ou Pocock car il fait beaucoup moins de fautes. J'ai pas encore vu la 2eme journée, je suis en train de télécharger Arg-Afs et je me materai NZ-AUS ce soir (apparemment Pocok n'est même pas aligné sur le bance).
Pour Bismarck Du Plessis, il était bien aligné au talon avec son frangin Janne à la pile. Les 2 sont vraiment impressionants et ils ne sont pas pour rien dans l'excellent saison des Sharks en super XV, ceux ci ayant été jusqu'à la finale contre les Chiefs de Messam, SB Williams et Cruden (aussi grace aux excellentes performances d'un certain Fred Michalak qui a viré le Bok Lambie du poste de 10 et s'est payé le luxe de mettre 16 pts au pied à 100% en 1/4 à Brisbane contre les Queensland Reds et 15 pts à 100% en 1/2 contre les Stormers à Capetown. Pour le 10 de l'EdF, pas la peine de chercher plus loin, il avait été également excellent lors du 2eme test en Argentine. Pour en revenir à Bismarck DuPlessis, il a été blessé au genou sur un plaquage sans ballon de Albacete au premier match et cela avait l'air assez sérieux. Il avait été brillament remplacé par le talon des Cheetahs, Strauss qui j'imagine sera titulaire pour le 2nd match en Argentine, le remplaçant sera probablement Chiliboy Ralepelle (quel blaze!!!), le talon des Bulls.
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
Hors ligne
Merci Franz pour le compte rendu. Content pour Hoogard, qui lors de la dernière coupe du monde, avait été plus qu'une doublure de Habana en permettant souvent de renverser la situation.
Pour la 3ème ligne, pas de Pies, ni de Brussow ni de Burger? Pourtant la meilleur 3ème ligne au monde à mon avis, avec 3 joueurs quand même technique, qui plaquent, grattent, courrent, jouent après contact. mais sans trop pourrir en ayant quand même une volonté de jouer. Mais peut être que les 3 titulaires sont encore meilleur. Les Sud afs sortent des joueurs en 3ème ligne toujours meilleurs, souvent complet.
En 2ème ligne pas de Brussow (le 2ème ligne dans ce cas)? Très bon aussi il y a un an en doublure de Botha Matfield.
"Enfin ce soir on a vu les 2 equipes qui joueront en prod2 la saison prochaine"
Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
Hors ligne
L'Argentine dit merci au Four Nations
Victorieux du pays de Galles avec la manière samedi dernier, les Argentins ont validé leurs récents progrès et soulignent l'importance du Four Nations pour leur permettre de franchir un cap. Une évolution à confirmer dès samedi contre la France.
Débarquée en Europe pour confirmer ses récents progrès, la sélection de Santiago Phelan a créé la sensation sur la planète rugby. Elle s’est offerte samedi le pays de Galles, « champion d’Europe » depuis son titre dans le dernier Tournoi des VI Nations (12-26). Un exploit réalisé avec la manière sur la pelouse du Millennium Stadium de Cardiff. « Nous sommes très heureux de notre performance de samedi, estime Phelan. L’équipe a pris l’initiative dans les vingt premières minutes et a très bien joué en deuxième période, en faisant bouger le ballon et en conservant la possession. » Avec deux essais signés Juan Imhoff et Gonzalo Camacho, les Argentins ont validé leur évolution. Ils se sont affirmés parmi les meilleures nations du monde en se payant le scalp des Gallois. Une victoire fondatrice pour un groupe qui vit ensemble depuis plus de quatre mois. « Nous recherchions ce succès depuis longtemps, se félicite Juan Martin Fernandez Lobbe. La chose la plus importante pour nous était d’essayer d’avoir cette première victoire. Nous sommes heureux de le faire contre une si bonne équipe. »
Longtemps en retard sur la concurrence, les Pumas ont pu s’apercevoir le week-end dernier des bienfaits de leur participation au Four Nations. Ils ont réalisé une prestation aboutie comme rarement contre le Poireau. « Cela montre que nous allons dans la bonne direction et nous progressons comme nation, estime Marcos Ayerza. Battre le pays de Galles au Millennium Stadium est un véritable accomplissement dont nous sommes très fiers. » Depuis le début des années 2000, la Fédération argentine de rugby poussait pour se faire une place dans une grande compétition internationale. Après avoir milité pour une intégration dans le Tournoi avec les Européens, les Argentins ont finalement été accueilli par les nations de l’hémisphère Sud cette saison. Opposés aux Néo-Zélandais, aux Sud-Africains et aux Australiens, ils ont ainsi disputé six matchs de très haut niveau de août à septembre. S’ils ont peiné au niveau des résultats, avec cinq défaites pour un maigre nul (16-16 contre les Springboks), ils ont clairement franchi un cap dans leur jeu.
Ce que leur succès au pays de Galles n’a fait que confirmer. « L’intensité du match était très haute, mais les joueurs argentins ont eu une bonne expérience en disputant le Four Nations et ont appris à jouer à ce niveau d’intensité. C’est une bonne étape pour notre équipe en termes d’intensité, de tempo et d’efficacité, ce qui était l’un des nos principaux objectifs pour ce match. » Quart de finaliste des deux dernières Coupes du monde, l’Argentine a profité du Four Nations pour se frotter à ce qu’il se fait de mieux sur la planète. Forcément bénéfique. « Jouer des matchs contre les meilleures équipes dans le monde ne peut que nous aider à nous développer. Cette victoire est énorme pour nous. » Elle doit être le début d’une belle aventure vers la Coupe du monde 2015. Elle demande donc confirmation dans les prochaines semaines. « Cette année a été notre première dans le Four Nations et il n’y a aucun doute sur le fait que nous allons continuer de nous améliorer. Maintenant, nous avons deux gros matchs à venir contre la France et l’Irlande. Ils seront compliqués, mais ce succès nous donnera un surplus de confiance en nous. »
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Super XV: Vers l'intégration de provinces argentines et japonaises?
Le débat sur l'avenir du Super Rugby sera une nouvelle fois mis sur la table le mois prochain. Si les dirigeants de la SANZAR n'ont pas encore définitivement fixé la marche à suivre, de nombreuses hypothèses sont envisagées. Une idée en particulier a cependant filtré: l'intégration de provinces argentines et japonaises.
Une révolution. Le mot est posé, osé, mais il reflète le bouleversement que vit le Super Rugby cet été. Toujours attirée par la perspective de mobiliser un plus large public, la SANZAR réfléchit en effet depuis quelques temps à la mise en place d'une toute nouvelle organisation pour son championnat. Alors que l'ajout d'une sixième franchise sud-africaine a un temps été évoquée avec insistance, le remaniement pourrait être encore plus conséquent. Selon les médias sudistes, la compétition pourrait ainsi s'étendre dans les années à venir jusqu'à l'Argentine et au Japon.
De telles mesures seront en tout cas largement évoquées le mois prochain, au cours d'une série de réunions qui détermineront l'avenir de ce nouveau Super Rugby. Le président de la Fédération néo-zélandaise, Steve Tew, a confirmé, ce mardi, la perspective d'une ouverture simultanée à ces deux nouveaux pays. Pourquoi une telle décision? Certainement car les dirigeants de la SANZAR désirent encore étendre la compétition à un panel bien plus élevé de spectateurs. Dans un souci de représentativité bien sûr, mais aussi dans un but économique, notamment télévisuel. Cette mesure, si elle venait à être officialisée dans les jours à venir, ferait du Super Rugby, l'un des événements sportifs les plus mondialisés de tous les temps, outre la Coupe du Monde évidemment.
Quatre continents représentés
Des franchises de quatre continents différents seraient en effet réunies en une seule ligue (Afrique, Asie, Océanie, Amérique). Un total assez impressionnant qui traduit la volonté d'expansion du Super Rugby. Ce remaniement ne serait-il pas de nature à augmenter considérablement les revenus générés par la télévision? Tout porte à croire que si. Le budget des différentes franchises engagées serait donc revu à la hausse grâce à une probable révision de leurs droits télévisuels.
Mais un problème se pose cependant. Celui de l'organisation. Avec davantage de formations, difficile en effet de contenter tout le monde. Surtout avec des fuseaux horaires radicalement différents entre, par exemple, le Japon, l'Australie et l'Argentine. La NZRU (Fédération néo-zélandaise) a de son côté émis quelques requêtes "non négociables". La plus importante est que la nouvelle formule ne doit en aucun cas s'étendre sur un laps de temps plus long que l'ancienne. En résumé, le Super Rugby ne devra pas durer plus de six mois. Alors comment procéder? Un système de poule pourrait voir le jour pour satisfaire la totalité des franchises. D'un côté, les dix provinces néo-zélandaises et australiennes. De l'autre, les formations sud-africaines, argentines et japonaises.
Une telle limitation s'avère nécessaire afin de limiter quelque peu les trajets éprouvants. Elle est importante, aussi, pour ne pas perturber l'équité sportive. Le mois prochain devrait, selon toute vraisemblance, sonner le glas d'une formule qui semble avoir fait son temps. Le Super Rugby devrait ainsi arborer un tout autre visage courant 2016.
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne