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christianokiev a écrit :Pas possible ils relisent pas mdr
Ils ne connaissent pas les joueurs
Si le Midol connaissait les joueurs cela se serait.
Hors EDF et gros clubs leurs connaissances ne dépassent pas le supporter lambda.
Directeur de campagne pour l’investiture de José au poste de mascotte du CAB.
Osez José ! https://youtu.be/tsgGDB2PAqk
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avoir une téte de géorgien , c est un plus quand tu es talonneur
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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C'est mon PC ou quand on clique sur le lien minutesports.fr avec Masilevu on se chope une incrust pour les flics genre "police-justice" ?
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minutesports et plein de malwares et autres joyeusetés une merde de site à éviter
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
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minutesports et plein de malwares et autres joyeusetés une merde de site à éviter
Donc BF serait le mata hari du vrairhum...qui l'eut dit ?
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ça recycle un max au midol
https://www.midi-olympique.fr/2020/06/2 … 949198.php
Julien Caminati, ni brut ni soumis
Publié le 27/06/2020 à 18:00 / Mis à jour le 27/06/2020 à 18:01
Top 14
Arrière, ailier ou centre de Brive à 26 ans, celui qui a déjà vécu plusieurs vies en une seule est un personnage atypique, à la fois attachant et exaspérant. Rencontre avec un joueur qui défie tous les codes...
Sa dernière lecture, c’est "Indignez-vous" de Stéphane Hessel, plaidoyer pour la révolution des peuples. Son film culte, "Les Affranchis" avec Joe Pesci et Robert de Niro, hommage aux gangsters américains. Son surnom, "Spagg", en référence au braqueur Albert Spaggiari, cerveau du "casse du siècle" à Nice en 1976. Julien Caminati n’a rien d’un personnage conventionnel. Dans un rugby professionnel de plus en plus policé, lui sort du cadre. Bouscule les codes. Mais ne laisse pas indifférent. à 18 ans, il s’était fait virer de deux centres de formation (Narbonne et Castres). à 19 ans, il s’était fait suspendre trois saisons pour avoir craché sur un arbitre. à 20 ans, il était donné "mort pour le rugby" après un accident et une fracture ouverte à une rotule. Aujourd’hui, à 26 ans, il est titulaire et buteur à Brive en Top 14. "Il fallait passer par là pour comprendre la vie", se contente l’intéressé. Lui qui n’a aucun mal à évoquer ces galères : "Vous pouvez en parler. C’est mon passé, je l’assume." Il l’assume car ce parcours colle à sa personnalité : "Quand je prends une claque, je ne tends pas l’autre joue."
Dernière modification par phylipexrcb (2020-06-28 07:28:26)
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
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TULLE avec un " S" cela fait aussi mal aux yeux que lorsque BRIVE est mal orthographié !!!
Tulles 1980 : la recette amère des quatre quarts
Publié le 15/07/2020 à 10:04 / Mis à jour le 15/07/2020 à 10:04
Le SC Tulle a échoué à quatre reprises au stade des quarts de finale, dont une fois, en 1980 dans un derby d'anthologie contre Brive, perdu 22-19 in extremis. Tulles c'était pourtant une sacrée adresse du championnat de France... Récit.
Si nous devions faire un panthéon des matchs mythiques auxquels nous aurions aimé assister, ce Tulle - Brive 1980 y figurerait, c’est sûr ; à l’instar du Mont-de-Marsan - Dax 1963 ou du France - Afrique du Sud 1961. Ces rencontres comme des batailles d’empire dont on aimerait tant dire : « J’y étais ! » Ce choc était un quart de finale du championnat, programmé à Clermont le 4 mai, au stade Marcel-Michelin que les voisins corréziens avaient rempli : 13 000 entrées payées et 15 000 personnes plus ou moins arrivées ensemble. « La Corrèze était divisée en deux. On savait qu’à Egletons, on était pour nous. Mais à Ussel, ils étaient plutôt pour Brive », explique Jean-Pierre Fauvel, troisième ligne international de Tulle.
L’ailier Jacky Leterre précise, comme un expert électoral après un dépouillement : « En gros, il y avait la Haute et la Basse-Corrèze. Objat, Pompadour, Malemort étaient plutôt pour Brive. Tulle avait Egletons, Meymac ou Chameyrat. Ussel c’était spécial, car Chadebech avait été formé là-bas. Ceci dit dans chaque club, il pouvait y avoir des partages en fonction des liens et des autres avec le CAB ou SCT. » Écrivain et éditeur reconnu, Denis Tillinac ajoute : « Il faut savoir que Clermont, ville prolétaire, supportait Tulle. Il y avait des drapeaux aux balcons des cités ouvrières. Clermont n’aimait pas le côté bourgeois de Brive. » Bref : une épiphanie de rugby à l’ancienne avec ces supporters assis à même la pelouse.
Une défaite magnifique
Denis Tillinac, était un journaliste engagé à l’époque… du côté de Tulle, la ville de son enfance : « Le ciel était plombé, avec une pluie de printemps insinuante. On a vu débarquer pour ce match des reporters de la France entière, du Figaro, du Monde. Je les ai vus construire en direct la mythologie des deux cités, Brive, plus commerçante et plus ouverte et Tulle, ouvrière et repliée sur elle-même.
Je le reconnais, il y a une faille géologique entre les deux : Brive c’est le calcaire, c’est déjà l’Aquitaine, c’est un carrefour, « portail riant du midi. » Tulle, c’est déjà le Massif central, c’est le granit. Une ville de fonctionnaires ou d’employés de l’État, on n’y aimait pas l’argent. » Son héros à lui, c’était Jacky Ayral, instituteur et troisième ligne perforateur, généreux, exubérant. « Rives et Skréla m’ont confié que des trois, c’était le meilleur. » Ce derby passionné et maintes fois refait, a été gagné par Brive 22-19 après prolongations sur un drop décisif de JeanFrançois Thiot. Brive avait déjà égalisé à la dernière minute par un essai. Le CAB était déjà un grand club et il l’est finalement resté, avec des hauts et des bas....
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TULLE avec un " S" cela fait aussi mal aux yeux que lorsque BRIVE est mal orthographié !!!
Tulles 1980 : la recette amère des quatre quarts
Publié le 15/07/2020 à 10:04 / Mis à jour le 15/07/2020 à 10:04
Le SC Tulle a échoué à quatre reprises au stade des quarts de finale, dont une fois, en 1980 dans un derby d'anthologie contre Brive, perdu 22-19 in extremis. Tulles c'était pourtant une sacrée adresse du championnat de France... Récit.
Si nous devions faire un panthéon des matchs mythiques auxquels nous aurions aimé assister, ce Tulle - Brive 1980 y figurerait, c’est sûr ; à l’instar du Mont-de-Marsan - Dax 1963 ou du France - Afrique du Sud 1961. Ces rencontres comme des batailles d’empire dont on aimerait tant dire : « J’y étais ! » Ce choc était un quart de finale du championnat, programmé à Clermont le 4 mai, au stade Marcel-Michelin que les voisins corréziens avaient rempli : 13 000 entrées payées et 15 000 personnes plus ou moins arrivées ensemble. « La Corrèze était divisée en deux. On savait qu’à Egletons, on était pour nous. Mais à Ussel, ils étaient plutôt pour Brive », explique Jean-Pierre Fauvel, troisième ligne international de Tulle.
L’ailier Jacky Leterre précise, comme un expert électoral après un dépouillement : « En gros, il y avait la Haute et la Basse-Corrèze. Objat, Pompadour, Malemort étaient plutôt pour Brive. Tulle avait Egletons, Meymac ou Chameyrat. Ussel c’était spécial, car Chadebech avait été formé là-bas. Ceci dit dans chaque club, il pouvait y avoir des partages en fonction des liens et des autres avec le CAB ou SCT. » Écrivain et éditeur reconnu, Denis Tillinac ajoute : « Il faut savoir que Clermont, ville prolétaire, supportait Tulle. Il y avait des drapeaux aux balcons des cités ouvrières. Clermont n’aimait pas le côté bourgeois de Brive. » Bref : une épiphanie de rugby à l’ancienne avec ces supporters assis à même la pelouse.
Une défaite magnifiqueDenis Tillinac, était un journaliste engagé à l’époque… du côté de Tulle, la ville de son enfance : « Le ciel était plombé, avec une pluie de printemps insinuante. On a vu débarquer pour ce match des reporters de la France entière, du Figaro, du Monde. Je les ai vus construire en direct la mythologie des deux cités, Brive, plus commerçante et plus ouverte et Tulle, ouvrière et repliée sur elle-même.
Je le reconnais, il y a une faille géologique entre les deux : Brive c’est le calcaire, c’est déjà l’Aquitaine, c’est un carrefour, « portail riant du midi. » Tulle, c’est déjà le Massif central, c’est le granit. Une ville de fonctionnaires ou d’employés de l’État, on n’y aimait pas l’argent. » Son héros à lui, c’était Jacky Ayral, instituteur et troisième ligne perforateur, généreux, exubérant. « Rives et Skréla m’ont confié que des trois, c’était le meilleur. » Ce derby passionné et maintes fois refait, a été gagné par Brive 22-19 après prolongations sur un drop décisif de JeanFrançois Thiot. Brive avait déjà égalisé à la dernière minute par un essai. Le CAB était déjà un grand club et il l’est finalement resté, avec des hauts et des bas....
Tillinac était et reste assez limité...Jusque dans les années 85 TUlle était d' abord une ville d' ouvriers (d'Etat certes) mais avec deux manufactures, du moins deux sites La Marque et BWA. Ils travaillaient de leurs mains pas avec un stylo.
La manu, reprise par le GIAT c' était 1600 ouvriers qualifiés dans l' armement, réduits à 200 environ qui font autre chose, plus nombreux à l' époque que les fonctionnaires puisque la décentralisation de 82-83 n' avait pas encore eu lieu, avec le grossissement des conseils généraux. A l' époque environ 900 fonctionnaires dont 400 à la Tour.
ET avec la fermeture annoncée de l'usine d' Eyrein, 400 emplois de moins...bref en 80 tous les terrains voisins du mien ont été achetés par des ouvriers, pas par des fonctionnaires...
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https://lyonsportsactu.fr/rugby/2020/lo … rives/amp/
Une petite perle cet article.
Directeur de campagne pour l’investiture de José au poste de mascotte du CAB.
Osez José ! https://youtu.be/tsgGDB2PAqk
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Ah ouais, quand meme...
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Ben ils ont quand même réussi à écrire correctement le nom du georgien, c'est déjà un bel exploit
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Titre débile, grosse erreur. L'équipe est déjà en forme.
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites … ne/1168432
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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L'Équipe monte en puissance : deux à côté de la plaque.
"Puis, sur une combinaison bien huilée après touche, Marais avait plongé dans l'en-but basque (17-6) "
"sut finalement verrouiller ce succès par le pied de son demi de mêlée géorgien Lobzhanidze pour l'emporter"
Y a pas à dire, y a des journalistes sportifs qui maîtrisent bien leur sujet.
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Faute de frappe ou foutage de gueule ?
https://www.quinzemondial.com/top-14/br … 1?view=amp
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Faute de frappe ou foutage de gueule ?
https://www.quinzemondial.com/top-14/br … 1?view=amp
Ah ah et pourquoi pas le club Birguite tant qu'on y est ! Notre sponsor n'est pas pourtant pas l'équipementier Macron.
La photo est pas mal aussi !
"Le problème dans la chasse aux cons, c’est qu’il y a trop de gibier "
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Bernard Frédéric a écrit :Faute de frappe ou foutage de gueule ?
https://www.quinzemondial.com/top-14/br … 1?view=ampAh ah et pourquoi pas le club Birguite tant qu'on y est ! Notre sponsor n'est pas pourtant pas l'équipementier maqueron.
La photo est pas mal aussi !
Franchement, entre la photo et le club brigitte c'est énorme...Bon brigitte ça doit être briviste, mais la photo...une photo démontage, c'est nouveau
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Pau – Brive
Match capital pour les deux équipes puisque Pau et Brive sont très proches au classement. Dans la lutte au maintien, la formation qui s'imposera dimanche s'offrira un peu de répit. Brive avait gagné le match aller et reste sur une victoire contre Montpellier, il y a deux semaines. De son côté Pau s'est imposé la semaine dernière face à Pau et espèrent enchaîner avec un second succès de suite.
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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Il ne faut pas vendre la Pau de l'ours. Non, il ne faut pas la vendre...
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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De son côté Pau s'est imposé la semaine dernière face à Pau et espèrent enchaîner avec un second succès de suite.
Je croyais que ces temps-ci, c'était à Agen, qu'ils se foutaient sur la gueule entre eux.
Et ça sort d'où, cette "information" où, une fois de plus, le "journaliste" a du mal a accorder un verbe avec son sujet ?
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phylipexrcb a écrit :De son côté Pau s'est imposé la semaine dernière face à Pau et espèrent enchaîner avec un second succès de suite.
Je croyais que ces temps-ci, c'était à Agen, qu'ils se foutaient sur la gueule entre eux.
Et ça sort d'où, cette "information" où, une fois de plus, le "journaliste" a du mal a accorder un verbe avec son sujet ?
comme dirait beria : "sources?"
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
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Merci Phylipe. Rugbyrama, comme d'hab'...
Bon ceci dit, il paraît qu'il y a même des anciens instits qui écrivent parfois "a" à la place de "à" devant un verbe à l'infinitif.
le "journaliste" a du mal a accorder un verbe avec son sujet ?
Il a du mal à accorder, en fait.
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Vous n'y êtes pas si Pau joue contre Pau "Pau (x2) espèrent", ça s'accorde.
"Le problème dans la chasse aux cons, c’est qu’il y a trop de gibier "
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C'est pourtant que Buli qui part à LR, pas toute l'équipe. Lol
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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