Les forums du CA-LIBRE
Vous n'êtes pas identifié(e).
si le gouvernement prend un décret pour baisser les salaires , ce ne sera pas que pour les sportifs.....
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
Hors ligne
Ben moi je m'en tape mais les retraités seront sans doute les premières cibles
Faut espérer que ce soit au prorata de la pension ......
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
Il n’y aura jamais un décret de baisse de salaire du gouvernement.
Cela serait intenable comme position. C’est les gilets jaunes force 100 dans la rue a ce moment-là.
Directeur de campagne pour l’investiture de José au poste de mascotte du CAB.
Osez José ! https://youtu.be/tsgGDB2PAqk
Hors ligne
Il n’y aura jamais un décret de baisse de salaire du gouvernement.
Cela serait intenable comme position. C’est les gilets jaunes force 100 dans la rue a ce moment-là.
Surement oui.
Et puis autant ne pas affabuler ...baisser tous les salaires par décret (Et les autres revenus bien sûr.......!). Déja l' Etat ne fixe pas les salaires sauf les minima sociaux et donc ne peut les réduire.
Par contre, possible qu'il y ait un impôt exceptionnel, qui serait sans doute accepté.
Enfin bref, ce sera ça ou la planche à billets. ON verra bien.
Pas la peine de s'emballer là-dessus. Déja que les fake-news explosent.
Dernière modification par letarmo (2020-04-07 08:36:24)
Hors ligne
si le gouvernement prend un décret pour baisser les salaires , ce ne sera pas que pour les sportifs.....
Impossible !!!
Si il faut analyser entre tous les cas :
1) ceux qui continuent à bosser alors que leurs boîtes logiquement auraient du être fermées s'ils ne pouvaient pas faire télé-travailler leur personnel, et souvent par manque de volonté de les mettre en télétravail pour ne pas perdre en rentabilité,
2) ceux qui continuent à bosser soit sur place dans les entreprises ou en télétravail, de la même façon ou en général de façon + dure et + compliqué car beaucoup d'organismes/entreprises sont partiellement ou totalement fermées,
et parfois en devant gérer des enfants et leurs devoirs en même temps, donc en résumé en faisant des journées de dingues!!
3) et c’est le cas qui m’exaspère le +…
les salariés qui auraient pu largement continuer à bosser en télétravail et qui volontairement ont tout fait pour ne pas récupérer le matériel informatique au bureau/siège de l’entreprise les derniers jours où ils pouvaient le faire,
ou qui n’ont pas voulu utiliser leur ordi personnel pour tout motif malhonnête dans ce cas d’urgence, ceux qui ont déclaré ne pas vouloir télé travailler si on ne leur donner pas l’intégralité des moyens informatiques du jour au lendemain alors qu’ils ont des ordi, tablettes et sont continuellement sur Internet à domicile…
De ce que j’ai constaté je ne le pensais pas mais cela semble plutôt fréquent dans beaucoup d’administrations pour xx raisons parfois hallucinantes.
En gros les personnels ne sont pas déclarés en chômage partiel (de toute façon c’est l’Etat qui emploie), ne soldent aucun congés ou RTT, sauf que les personnes restent chez eux, passent dans le meilleur des cas un ou 2 coups de fil et attendent comme en congés… sauf qu’ils sont considérés comme en activité courante.
4) Ceux qui auraient voulu continuer à bosser alors que leurs postes de travail a fermé de façon précipitée, avec le patron qui n’a rien fait ou voulu faire pour que leurs salariés continuent en télétravail,
5) Ceux qui ont été + ou – forcés à prendre leur RTT, apurer leur congés, alors qu’ils auraient pu bénéficier du chômage partiel comme leurs voisins,
Et tu multiplies les cas au besoin,
Là c’est une guère civile que tu veux déclencher !
Hors ligne
Arthuras a écrit :....et c’est le cas qui m’exaspère le +…
les salariés qui auraient pu largement continuer à bosser en télétravail et qui volontairement ont tout fait pour ne pas récupérer le matériel informatique au bureau/siège de l’entreprise les derniers jours où ils pouvaient le faire,
ou qui n’ont pas voulu utiliser leur ordi personnel pour tout motif malhonnête dans ce cas d’urgence, ceux qui ont déclaré ne pas vouloir télé travailler si on ne leur donner pas l’intégralité des moyens informatiques du jour au lendemain alors qu’ils ont des ordi, tablettes et sont continuellement sur Internet à domicile…
De ce que j’ai constaté je ne le pensais pas mais cela semble plutôt fréquent dans beaucoup d’administrations pour xx raisons parfois hallucinantes.
En gros les personnels ne sont pas déclarés en chômage partiel (de toute façon c’est l’Etat qui emploie), ne soldent aucun congés ou RTT, sauf que les personnes restent chez eux, passent dans le meilleur des cas un ou 2 coups de fil et attendent comme en congés… sauf qu’ils sont considérés comme en activité courante.Et dans certains secteurs, la cgt qui incite les employés à ne pas bosser en invoquant le droit de retrait.....
Sur ce point précis, je trouve que La Poste ne mérite pas d' applaudissements, je ne sais pas d' ailleurs ou se situe le blocage, peut-être en centre de tri...mais c'est un service public essentiel pour plein de gens...j'en connais qui reçoivent des médocs spécifiques par ce moyen.
Je me demande d' ailleurs la privatisation de fait et en douce par Macron à la mi-mars avec la diminution de moitié de la part de l' Etat n'explique pas en partie le problème.
Hors ligne
Olding est rentré en Irlande ?
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
Hors ligne
Avec 16 clubs en grand danger, la DNACG tire la sonnette d'alarme
Par Rugbyrama
il y a 6 minutes
Le patron du gendarme financier, Dominique Debreyer, tire une sonnette d’alarme sur la situation des clubs de Top 14 et de Pro D2. S’il n’y a pas un plan d’économie drastique mis en place, alors certaines places fortes du Top 14 pourraient être en très grande difficulté.
Le patron de l’institution DNACG est habituellement d’un naturel extrêmement prudent, voire rassurant. Distillant en général les informations aux compte-gouttes, Dominique Debreyer, expert-comptable de profession et accessoirement directeur de la Direction Nationale d’Aide et de Contrôle de Gestion, n’est donc pas du genre à s’inquiéter rapidement, au premier déficit présenté par un club professionnel. Même quand il se chiffre en millions d’euros.
Au contraire, le gendarme financier de la LNR a plutôt l’habitude de jouer les pompiers de service. C’est d’ailleurs en ce sens qu’à la mi-mars, la Ligue lui a demandé à lui et ses équipes un audit sur les difficultés que pourraient rencontrer les clubs pros, à la suite de l’arrêt des championnats pour cause de crise de Covid-19, le tout s’inscrivant dans un contexte plus général de confinement et de blocage de l’économie française. Cet audit, Dominique Debreyer l’a rendu sous la forme d’un rapport d’une quarantaine de pages. Un document présenté à l’instance et aux clubs début avril. "On s’est attelé à estimer quelle pourrait être la perte de sponsoring, principale source de revenus des clubs de rugby, en modélisant sur leur budget actuel les effets connus de la crise économique de 2008-2009", indiquait-il ce samedi en fin de matinée. Avec une baisse du PIB de la France alors estimée à 2 %, les clubs avaient vu leurs rentrées d’argent venues de leurs partenaires fondre de plus de 20 % (27 % pour le Top 14 et 22 % pour le Pro D2).
Donc, avec ces mêmes données retranscrites sur les bilans comptables actuels des clubs (2019-2020), la DNACG table cette fois sur une baisse de l’ordre de 30 % des produits sponsoring pour l’an prochain. Ce qui, de facto devra engendrer une baisse des masses salariales de l’ordre de 25 %. Un chiffre révélé par rugbyrama.fr le 5 avril et qui a fait couler beaucoup d’encre, cette semaine chez les présidents de club professionnel. "Il ne s’agit que d’une hypothèse sur la masse salariale réglementaire. En aucun cas, nous n’avons voulu nous substituer aux négociations. D’ailleurs, le salaire des joueurs n’est pas forcément la seule variable d’ajustement", se défend le patron de la DNACG. Qui poursuit : "Nous avons été confortés dans notre étude par les propos que nous ont tenus certains présidents de Top 14."
Seize clubs professionnels en grand danger
Un scénario catastrophe ? C’est tout l’inverse. La réalité pourrait (et devrait) être encore plus difficile que cette première recommandation à 30 % de perte du sponsoring, estimée fin mars. En lanceur d’alerte, Dominique Debreyer s’explique : "Nous avons réalisé notre estimation pour une baisse du PIB de l’ordre de 2 %. Or, aujourd’hui, l’État évoque plutôt une chute de 6 %. Nous avons aussi négligé l’impact de la crise sur la billetterie. Dès lors, si on reprend notre modèle et en tenant compte des contrats de joueurs déjà signés et qui courent sur la saison prochaine, neuf clubs de Top 14 et sept de Pro D2 ne pourront pas présenter un budget qui leur permettrait une autorisation d’engagement pour l’année prochaine." Il n’a pas voulu citer les clubs concernés mais assure avoir fait remonter l’information.
Pour synthétiser, avec seulement les joueurs déjà sous contrat et sans effectuer le moindre recrutement, deux tiers des clubs de Top 14 n’auraient pas les moyens de les payer et une bonne moitié de Pro D2 serait dans une situation analogue. "Voilà pourquoi il est important que le rugby professionnel enclenche une politique commerciale commune. Autrement, il va y avoir de très gros dégâts."
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
Hors ligne
Et les 16 clubs, c'est qui ?
Hors ligne
Top14 et ProD2
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
Y a le BO dans les 16 ?
"Le problème dans la chasse aux cons, c’est qu’il y a trop de gibier "
Hors ligne
mdr
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
En tout cas notre président laisse entendre sur twitter qu’il n’y aura pas de remboursement pour les abonnés sur les matchs non disputés ou à huit clos.
Directeur de campagne pour l’investiture de José au poste de mascotte du CAB.
Osez José ! https://youtu.be/tsgGDB2PAqk
Hors ligne
Et les 16 clubs, c'est qui ?
Top14 et ProD2
Là, ça en fait 30.
Hors ligne
ho hé toi tu fait pas comme dans le topic covid hein pose pas toujours des questions en voulant connaître les réponses y'a 16 clubs en difficulté point .....
ptdrrrrrr
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne
Y a le BO dans les 16 ?
Ca dépendra de s'il y a crise de l'immobilier
Dernière modification par Allez Alphonse (2020-04-12 20:02:23)
Selon Big:"ne sait pas lire"sans réflexion""manque d'humilité"égocentrique en mal de reconnaissance""bourricot qui ne comprend rien"idiot"rempli de certitudes"bon petit soldat"fanfaron"pathétique"philosophe d'opérette"à côté de la plaque"petite tête"couillon"fait peur dans sa rigidité cérébrale"un âne" bêle avec le troupeau d'abrutis"enfumé comme un con qui ne comprend rien"et bien sûr"méprisant"
Hors ligne
En tout cas notre président laisse entendre sur twitter qu’il n’y aura pas de remboursement pour les abonnés sur les matchs non disputés ou à huit clos.
Si ça doit permettre au club de ne pas capoter, ça ne me dérange pas.
Surtout que si ça doit reprendre à peu près normalement pour la saison prochaine, j'imagine qu'ils vont faire mine de nous faire une ristourne sur les abonnements.
C'est mon avis, hein. Vous n'êtes pas obligés de le partager : pas la peine de me tomber dessus, les ceusses qui trouvent que ce serait aux patrons capitalistes pleins d'oseille d'allonger la fraîche. Vous avez le droit de le penser.
Hors ligne
Christian, tu oublies qu'ils sont deux à poser les questions
L'échec est le fondement de la réussite
En ligne
Molotov a écrit :Y a le BO dans les 16 ?
Ca dépendra de s'il y a crise de l'immobilier
Certainement que le CO avec ses labos fera partie des mieux lotis.
Dernière modification par Cherge (2020-04-12 20:16:52)
Milite pour le retour de D.Penaud
Hors ligne
Il en rate pas une.
Hors ligne
Un duo se forme.
Directeur de campagne pour l’investiture de José au poste de mascotte du CAB.
Osez José ! https://youtu.be/tsgGDB2PAqk
Hors ligne
Ah, l'étau se resserre, 9 sur 14 : https://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-1 … -14-999327
Hors ligne
Sur la saison 17/18 le sponsoring représentait 50% des produits d'exploitation des clubs du T14 et la masse salariale des clubs représentait 50% des charges d'exploitation des clubs du T14 hors charges sociales.
C'est une affirmation presque gratuite mais on peut certainement penser que la masse salariale va certainement subir une décroissance similaire à la décroissance des revenus issus du sponsoring puisque ce sont les charges/produits qui se négocient à peu près au même moment dans l'année et sur lesquelles on peut jouer le plus facilement.
A Brive on était autour de 50% de sponsoring, les droits TV représentant 35/40% de nos produits d'exploitation.
Le SF est dans de beaux draps, au même titre que Pau et Bayonne.
En théorie Agen, Racing, La Rochelle, UBB, LOU devraient pouvoir s'engager la saison prochaine sur la base des résultats financiers de la saison 17/18. Agen est très exposé à une variation des droits TV, qui représentaient 50% de ses produits en 17/18.
Suite à une opération immobilière importante le LOU a accumulé un joli matelas financier, c'est le club le plus serein financièrement a priori.
Hors ligne
En D2 il va y avoir des dégâts probablement encore plus importants qu'en T14 si Canal ne se désengage pas.
Des clubs comme Grenoble ou Nevers sont/étaient surexposés au sponsoring, le sponsoring représentant près de 85% des produits de Nevers en 17/18 !
Outre-manche il est presque acquis que la deuxième division professionnelle va disparaître. La famille Dunbar doit avoir chaud en ce moment, surtout qu'ils attendent un enfant je crois...
Dernière modification par lespaul (2020-04-12 22:27:59)
Hors ligne
Homologay a écrit :En tout cas notre président laisse entendre sur twitter qu’il n’y aura pas de remboursement pour les abonnés sur les matchs non disputés ou à huit clos.
Si ça doit permettre au club de ne pas capoter, ça ne me dérange pas.
Surtout que si ça doit reprendre à peu près normalement pour la saison prochaine, j'imagine qu'ils vont faire mine de nous faire une ristourne sur les abonnements.
C'est mon avis, hein. Vous n'êtes pas obligés de le partager : pas la peine de me tomber dessus, les ceusses qui trouvent que ce serait aux patrons capitalistes pleins d'oseille d'allonger la fraîche. Vous avez le droit de le penser.
Pareil ça me dérange pas
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
Abonné Tribune Sud Travée R rang A Place 16
Hors ligne