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Si pointud reprend demain, l ne sera pas prêt pour Grenoble, il me semble.
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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Le Rendez-vous de Pointud c'est Castres.
Milite pour le retour de D.Penaud
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J'avais cru comprendre qu'il avait repris l'entraînement (en marge du groupe) depuis la semaine dernière.
Donc j'analyse son tweet comme l'annonce de sa reprise des entraînements collectifs, et en conséquent il pourrait postuler pour le déplacement à Grenoble.
La Montagne semblait dire déjà avant le match contre Toulouse que le staff ne voulait prendre aucun risque et ne pas précipiter le retour de Pointud, sous entendu qu'il aurait pu éventuellement revenir il y a 15 jours dans l'hypothèse où le staff aurait pris le pari d'avancer son retour.
Mais honnêtement, si il revient pour ce week end ça serait l'idéal et ça sera sans doute la condition sine qua non pour espérer faire un résultat à Grenoble.
Ce joueur est indispensable au même titre que Germain, Iribaren, Snyman, Marais, Hauman....
Je suis persuadée que son absence nous coûte malheureusement la victoire contre Toulouse.
Dernière modification par Pitchouna_19 (2016-03-15 13:34:09)
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Pour Grenoble on aura Buys Acquier Tuncer
Il faut profiter de cette rencontre très équilibrée pour donner du bon temps de jeu au joueurs d'avenir.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Pour Grenoble on aura Buys Acquier Tuncer
Il faut profiter de cette rencontre très équilibrée pour donner du bon temps de jeu au joueurs d'avenir.
?????
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On doit laisser les vieux à la maison pour faire simple, Ribes et Schevilze Jgenti ont trop souffert pour etre de nouveau sur le pré.
Et pourquoi pas tester aussi le demi de mêlée prêté par Bayonne.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Buys et Acquier...des petits nouveaux ???
C'est intéressant en effet
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Et quitte à abandonner le match, on pourrait enfin faire jouer notre vrai capitaine de touche...
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Je vois Sergio, tu as une dent contre les gagneurs. C'est bien dommage.
Milite pour le retour de D.Penaud
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La femelle du gagneur, c'est la gagneuse?
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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Au fait, le Briatte qui joue à Aurillac, quel lien avec le chouchou du Cherge?
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le mécéne de grenoble ,de biarritz et des barbarians a cassé sa pipe ! paix à son âme !
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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paix à son âme
plus de sous plus de sous plus de sous
j'ai bossé à Capgemini de 1995 à 1999 j'ai jamais eu l'honneur de croiser ce monsieur ...
Dernière modification par christian (2016-03-15 23:34:56)
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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j'ai bossé à Capgemini de 1995 à 1999
Comment ? Tu as donc contribué à financer le BO ? Toi ?
Ça, c'est le scoop de l'année !
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Oui je sait c'est pas bien......
De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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Ha ? T'as peut-être croisé ma fille ainée, c' était son premier boulot dans l' informatique...sur Paris
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Le mec écumait les têtes des boîtes "propriétaires de leur logiciel" pour les démunir et prendre leur place , une méthode qu'il a exportée dans le rugby.
Dernière modification par Cherge (2016-03-16 11:42:11)
Milite pour le retour de D.Penaud
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Mon pov , cricri ne croisait pas mais il courait et courtisait..
Dernière modification par Cherge (2016-03-16 11:52:14)
Milite pour le retour de D.Penaud
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La mort de Kampf permet de faire ressortir l'article suivant, qui vaut le coup qu'on lui consacre quelques minutes :
Le rugby, cette antichambre du pouvoir
Le Monde.fr | 18.09.2015 à 14h58 • Mis à jour le 21.09.2015 à 10h56 | Par Olivier Joly
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L’influence de l’Ovalie dépasse largement le cadre de ses stades. Des affaires à la politique, la liste est longue de ceux qui sont devenus des hommes qui comptent.
Au 61 avenue Hoche, à Paris (8e), une simple plaque signale l’entrée des lieux. De grandes photos de joueurs servent de cache vitrine depuis l’extérieur. Le Rugby Club est le siège d’un cercle privé dont les 360 membres sont liés par une passion commune : le ballon ovale. Parquet, tentures, fauteuils en cuir capitonné, photos anciennes, le tableau s’apparente à celui d’un pub cossu, où venir regarder la Coupe du monde de rugby devant une Lager.
Sauf que la bière n’y est pas donnée : le droit d’entrée est de 1 000 euros, plus 500 euros de cotisation à l’année. A mieux y regarder, le bar-restaurant en question est installé dans les murs du géant des communications Vivendi. Aussi discret soit-il, et même si le port de la cravate n’est pas obligatoire, le Rugby Club annonce ce qu’il est : un lieu feutré où le monde du rugby et celui des affaires se serrent la main, sous le regard des politiques qui aiment y traîner. « Chez nous, il n’y a pas de “monsieur le ministre”. Tout le monde se tutoie. Ce n’est pas un réseau d’affaires, mais un lieu de rencontres convivial », précise le directeur du Rugby Club, Karl Olive, ancien journaliste, actuel maire (LR) de Poissy (Yvelines).
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JEAN JULLIEN POUR M LE MAGAZINE DU MONDE
Rugby et business : les deux activités ont de tout temps fait bon ménage. Pour s’en convaincre, quelques foulées suffisent pour parvenir au 112 rue du Faubourg-Saint-Honoré. C’est ici, dans les salons du Bristol, que se tiennent une fois par mois les soirées d’Entreprise & Rugby, un autre club privé : 522 membres, un droit d’entrée à 450 euros, une cotisation annuelle à 2 000 euros hors taxe, dîners mensuels inclus. On y croise aussi des rugbymen d’hier et d’aujourd’hui, ainsi que des chefs d’entreprise. Le Rugby Club est une association à but non lucratif, Entreprise & Rugby un produit de relations publiques.
Mais le cœur de cible est le même, ce qu’on pourrait appeler « le rugbysiness ». « J’ai été invité deux fois aux soirées d’Entreprise & Rugby. C’est une grande confrérie. Un lieu de rencontre et de lobbying qui profite à tous », explique Didier Codorniou, 57 ans, ancien trois-quarts centre du XV de France, maire PS de Gruissan (Aude) depuis 2001 et vice-président du Conseil régional. Celui qui était surnommé « Le Petit Prince » est l’exemple même de la réussite hors du terrain des anciens rugbymen. « Ma notoriété m’a servi. Et elle me sert encore pour obtenir un rendez-vous politique en urgence ; ou pour faire passer la demande d’emploi d’un de mes administrés à un chef d’entreprise », admet-il.
“QUAND JE DEMANDE UNE AUDIENCE À UN DÉPUTÉ OU À UN MEMBRE DU GOUVERNEMENT, J’AI VITE RENDEZ-VOUS. QUE CE SOIT SOUS SARKOZY OU SOUS HOLLANDE” JEAN GACHASSIN, PRÉSIDENT DE LA FÉDÉRATION FRANÇAISE DE TENNIS
« Deux hommes de rugby qui entrent en contact, illustre Serge Simon, ancien pilier et président du syndicat des joueurs (Provale), c’est comme deux anciens d’une grande école. Le lien est naturel. Tu tends l’oreille. Ou plutôt tu regardes celle du type en face, pour voir si elle ne serait pas en chou-fleur. » Une licence de rugby, même jaunie par les ans, reste un passeport unique dans les allées du pouvoir.
Ce n’est pas « Peter Pan » qui dira le contraire. Jean Gachassin (74 ans), rebaptisé ainsi en raison de sa petite taille et de son style bondissant, est le président de la Fédération française de tennis (FFT) depuis 2009. Autant dire le patron de Roland-Garros, l’homme le plus en cour du Tout-Paris durant deux semaines fin mai, début juin. Un poste prestigieux dont rêveraient tous les caciques de la FFT. Mais qui, curieusement, est revenu à un ancien joueur de rugby. « Je venais de prendre ma retraite d’huissier de justice, se souvient-il. J’avais présidé le club de tennis de Bagnères-de-Bigorre, le comité départemental, la Ligue régionale et j’étais depuis vingt ans vice-président de la FFT. Mais mon passé en Ovalie a aussi joué un grand rôle. Les électeurs ont dû se dire : il est connu, il a été sportif de haut niveau, il vient d’un sport fédérateur et il pourra nous aider avec les politiques... »
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La maire de Lille, Martine Aubry, le président de la République, Francois Hollande et le président de la FFT, Jean Gachassin lors de la finale de la Coupe Davis au Stade Pierre Mauroy à Villeneuve-d'Ascq, le 22 novembre 2014.
Il n’est pas exclu, en effet, que son pedigree l’ait servi à l’heure de négocier avec Manuel Valls, grand amateur de rugby, la délicate question de l’agrandissement de Roland-Garros. Alors même que Gachassin, ancien adjoint au maire de Bagnères, se décrit comme un libéral de droite. « Mais tout ça va au-delà des étiquettes. Quand je demande une audience à un député ou à un membre du gouvernement, j’ai vite rendez-vous. Que ce soit sous Sarkozy ou sous Hollande. »
Bernard Laporte, rugbyman multifonction
Jean Gachassin n’est pas un exemple isolé de réussite d’un rugbyman sur d’autres terrains. Il y a eu Bernard Laporte, nommé secrétaire d’Etat aux sports du deuxième gouvernement Fillon, à la sortie de la Coupe du monde 2007. Le parfait rugbyman multifonction. Champion de France 1991 en tant que joueur, l’homme de Gaillac a aussi été avec succès l’entraîneur du Stade français, le manager du Rugby Club toulonnais et le sélectionneur de l’équipe de France, avant de se mettre en campagne, au début de ce mois, pour la présidence de la Fédération française de rugby (FFR). Sans oublier son costume d’homme d’affaires et de consultant dans les médias (RMC, TF1). Une activité tous azimuts qu’il doit autant à son entregent qu’à ses amitiés, notamment avec Nicolas Sarkozy.
Lire aussi : Jean Gachassin : la vie à contre-pied
Ou, allez savoir, à son statut de cofondateur, en 2007, de l’association des Amis des Barbarians, ancêtre du Rugby Club. Bernard Laporte avait alors mis 12 500 euros au pot. Autres fondateurs ? Des grands patrons (Serge Kampf, Jean-René Fourtou, Henri Lachmann, Claude Bébéar), deux légendes du rugby (Serge Blanco, Jean-Pierre Rives), un ancien ministre des sports (Jean-François Lamour), un dirigeant de club (Max Guazzini), un cuisinier (Guy Savoy), etc. Cet aréopage très influent pourrait-il pousser la candidature de Laporte ? « Qu’il puisse trouver de l’argent pour sa campagne au Rugby Club ou chez nous, sans doute. Qu’il ait un large accès aux médias, oui. Mais ça ne remplacera pas le travail de terrain qu’il est en train de mener », estime Alain Marty, président du club Entreprise & Rugby.
« Les réseaux, c’est une vieille réalité dans le rugby », poursuit Philippe Bernat-Salles, 45 ans, ancien ailier aux cheveux poivre et sel. Héros de la fameuse demi-finale de Coupe du monde 1999 contre les All Blacks, Bernat-Salles est aujourd’hui président de la Ligue nationale de... handball. Le ballon ovale a de drôles de rebonds, décidément. Et une tradition festive qui a ses avantages. C’est au cours d’une troisième mi-temps que Bernat-Salles a fait connaissance avec Philippe Gardent et Laurent Munier, deux « Barjots », membres de l’équipe de France de handball championne du monde en 1995. Quelques rendez-vous plus tard, on lui proposait de se présenter à la présidence de la Ligue.
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JEAN JULLIEN POUR M LE MAGAZINE DU MONDE
Le hasard faisant bien les choses, Bernat-Salles avait fait l’essentiel de sa carrière de joueur au Biarritz Olympique. Un club parrainé par Serge Blanco, entrepreneur aux affaires florissantes (thalasso, prêt-à-porter), souvent présenté comme l’homme au plus grand réseau du rugby français. C’est lui qui a créé avec succès la Ligue nationale de rugby en 1998. Vice-président de la FFR, on lui prête aujourd’hui l’envie de viser le trône, et donc de défier Bernard Laporte, au cas où l’actuel patron, Pierre Camou, ne se représenterait pas. Blanco avait poussé son ancien joueur à se lancer à l’assaut du handball, sans complexes. « J’aimerais que le handball dispose de la moitié du réseau du rugby en matière de business, de politique, de relations publiques... », reconnaît Bernat-Salles, qui y travaille.
A Biarritz, ce dernier a aussi bien connu Serge Kampf. Actionnaire historique du club, le fondateur de Capgemini a été le grand instigateur du rapprochement entre business et rugby. La petite histoire dit que tout se serait joué lors du voyage d’une vingtaine de chefs d’entreprise, invités par lui pour assister à la finale de la Coupe du monde en Afrique du Sud (1995) en compagnie d’anciennes gloires, les Barbarians. Les liens étaient créés, l’année même où le rugby professionnel prenait son envol. Il ne restait plus qu’à fidéliser cette alliance. Cela a été fait. Et même plus, puisque le cercle s’est élargi au-delà des précurseurs. Sont souvent vus aux matchs du Tournoi des six nations : Nicolas Moreau (Axa), Laurent Mignon (Natixis), Jean-François Palus (Kering), Olivier Brousse (John Laing), Jean-Bernard Lévy (EDF). La liste n’est pas exhaustive.
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Serge Blanco, entrepreneur aux affaires florissantes (thalasso, prêt-à-porter), souvent présenté comme l’homme au plus grand réseau du rugby français.
Serge Blanco, entrepreneur aux affaires florissantes (thalasso, prêt-à-porter), souvent présenté comme l’homme au plus grand réseau du rugby français. FRANCK FIFE/AFP
Ces patrons sont souvent plus que de simples amateurs. Jean-Marc Pailhol (Allianz) et Geoffroy Roux de Bézieux (Medef) sont engagés dans les clubs de Saint-Jean-de-Luz et Bourgoin-Jallieu. L’entreprise Axa, elle, est à la fois partenaire de Provale, sponsor de deux clubs (Stade français et Clermont), tout en recyclant en assureurs d’ex-internationaux, tels Thomas Castaignède ou Patrice Lagisquet, actuel entraîneur adjoint de l’équipe de France. Cadre dirigeant d’Axa à l’international, Jean-Laurent Granier est le président du Rugby Club.
“LES DÉCIDEURS SAVENT UTILISER LE RUGBY COMME MOYEN DE COMMUNICATION. IL N’Y EN A PAS UN QUI OUBLIE D’ÉCRIRE SUR SON CV QU’IL Y A JOUÉ. MÊME SI C’EST DEUX MATCHES ET DEMI DANS SA VIE...” FRANCK MESNEL, EX-DEMI D’OUVERTURE DU XV DE FRANCE
Depuis peu directeur de campagne du candidat Bernard Laporte, Serge Simon voit une logique historique dans ce rapprochement des deux univers : « Il y a une attirance respective depuis la nuit des temps. Ce sport représente une forme d’idéal aux yeux des patrons : il met la diversité des compétences et des origines au service d’un projet commun. On fait beaucoup appel aux acteurs du rugby pour intervenir en entreprise, sur le thème : "Comment créer un collectif, souder une équipe, socialiser face à la peur ?" » « Les décideurs savent utiliser le rugby comme moyen de communication, ajoute Franck Mesnel, ex-demi d’ouverture du XV de France et fondateur de la marque Eden Park. Il n’y en a pas un qui oublie d’écrire sur son CV qu’il y a joué. Même si c’est deux matches et demi dans sa vie... »
La franc-maçonnerie est une autre passerelle entre les deux mondes. Dans son Dictionnaire amoureux du rugby, l’ancien joueur, entraîneur et écrivain Daniel Herrero note d’ailleurs la proximité entre la terminologie maçonne et celle de la mêlée : cathédrale, pilier, pierre angulaire... Difficile de mesurer l’influence actuelle de la franc-maçonnerie. De l’avis général, elle diminuerait à l’heure où les réseaux d’influence se multiplient. « Le terme de réseau est trop restrictif. Au contraire, le rugby s’ouvre à tous et de plus en plus », plaide Bernard Lapasset, président de World Rugby, instance mondiale du rugby.
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Bernard Lapasset, président de World Rugby et de l'Association ambition olympique, devant le CIO, lors de la présentation de la candidature de Paris aux JO de 2024, le 3 juin à Lausanne.
Bernard Lapasset, président de World Rugby et de l'Association ambition olympique, devant le CIO, lors de la présentation de la candidature de Paris aux JO de 2024, le 3 juin à Lausanne. FABRICE COFFRINI / AFP
A deux semaines du coup d’envoi de la huitième Coupe du monde, il répondait depuis le Comité olympique français (CNOSF), où il a pris ses quartiers en tant que vice-président du comité de candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024. Une reconnaissance pour son titre officieux de « M. Lobbying ». La preuve en est qu’il a réussi à faire entrer le rugby, dans sa forme à 7, aux prochains JO de Rio. Un grand retour quatre-vingt-douze ans après sa sortie du programme olympique.
Son discours, parfaitement rodé, est une ode au sport grâce auquel il a été champion de France corporatif avec l’équipe des Douanes. « Le rugby a deux qualités uniques. Il est très intégré à la vie sociale des régions, voire des pays, comme on l’a vu à l’extrême dans l’Afrique du Sud de l’apartheid et, aujourd’hui, aux Fidji, au Tonga ou aux Samoa. Par ailleurs, il exige un comportement de responsabilité, de courage, de maîtrise qui prépare aux fonctions du pouvoir. » Passé la Coupe du monde, il sera amusant de voir si sa vice-présidence avec Tony Estanguet (triple champion olympique de canoë) de Paris 2024 sera empreinte du fair-play légendaire du rugby.
Bernard Lapasset balaie l’idée d’une future lutte d’influence. « Nous sommes un Bigourdan et un Béarnais, ça rapproche, assure M. Lapasset. J’en ai fini des luttes de pouvoir. Les Anglais m’ont appris à être pragmatique. » Devinez donc où le président de World Rugby était attendu, le 16 septembre, à deux jours du coup d’envoi de la Coupe du monde ? En bonne compagnie, à la soirée mensuelle des fondateurs du Rugby Club.
Olivier Joly
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/m-actu/article/20 … 3QAdDrU.99
Dernière modification par Raymundo Menech (2016-03-16 13:30:58)
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Encore un exemple d'un article de fonds qui provient d'un média non spécialisé dans le sport. Je persiste à dire qu'on en apprend nettement plus par ce canal que par nos habituels journaux à vocation sportive, Midol ou autre.
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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Un texte TRES impressionnant...merci à l' irlandais de l' avoir reproduit...qui permet de mieux cerner le mode de fonctionnement de la république des pardessus, de ce système d' entregent incontournable et détestable en même temps.
Par exemple, on peut se demander (pour rire un peu) si Ugolin a ses entrées ou plus sérieusement si nos dirigeants y ont accès !
Ou passer à autre chose car on ne voit pas qui pourrait infléchir le fonctionnement de ces cette mécanique infernale et très politique également ;(
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Bah, je pense que Gilham et JJB doivent pas être loin, surtout le premier, avec sa maison-mère Vivendi.
"Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais"
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IL est aussi patron de l' Olympia...
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Pour avoir travaillé, dans une autre vie, à quelques numéros du "Rugby Club" et être très régulièrement passé devant, je peux vous confirmer que j'y ai aperçu du beau monde (dont Simon Gillham - OBE) , issu du sport, des affaires, des médias et du cinéma.
Dernière modification par Raymundo Menech (2016-03-16 16:19:40)
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Et si on revenait au match FCG-CAB?
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