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Tu risques avoir Fillon/LePen, prépare toi à aller voter en bouffant ta casquette!
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Que nenni, Macron est un trop bon démago pour ne pas être élu.
Les 2 seuls chameyracois que je connais avaient voté Hollande et vont voter Macron le mois prochain
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Moi ça me va
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Heuuuu...oui, erreur 404 ????
Ben v'là que j'ai plus ma tête. ...
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Le Président coupe les sauvageons, il nettoie pour laisser place nette. C'est l'erreur 404.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Bon ben allez direct sur Médiapart, partie droite (géographiquement) des blogs en accès libre.
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une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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Hollande, c'est... Hollande ! Joseph Prudhomme président
24 mars 2017 Par Alain Brossat Édition : Les mots en campagne
A l'heure où le quinquennat de François Hollande s'achève, alors que ce président singulier est politiquement mort, ce qui frappe, ce n'est pas tant sa franche impopularité que son impressionnante obsolescence, son insignifiance et sa transparence vaporeuse, dûment constatées tant par les gouvernés que par les observateurs patentés, par Alain Brossat.
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14 commentaires 20 recommandés
Il est des bons mots qui, parfois, reviennent en boomerang au visage de ceux qui les prononcent et y laissent des balafres sanglantes: dans l'une des scènes d’un film documentaire Le pouvoir, évoquant les premiers mois du quinquennat de François Hollande, on voit celui-ci présider dans une salle municipale de banlieue, une séance de signatures de contrats de premier emploi, avec des jeunes[1]. Devant les caméras, le Président invite un jeune à s'asseoir à côté de lui en vue de parapher le document ; et, comme celui-ci hésite, intimidé, de lancer une de ces boutades qui ont fait sa réputation de boute-en-train dans l'appareil du PS : « Assois-toi ici, Gaëtan – d'ailleurs dans quelque temps, quelqu'un dira : "Mais c'était qui [le type] assis à côté de Gaëtan" ? »
Il ne croyait pas si bien dire - tant cela est vrai à l'heure où son quinquennat s'achève : ce dont François Hollande est politiquement mort et bien mort, ce n'est pas tant de franche impopularité que de cette impressionnante obsolescence qui, à la fin, l'avait réduit à cette condition d'insignifiance, de transparence vaporeuse, pas même spectrale et dûment constatée tant par les gouvernés que par les observateurs patentés.
Comment comprendre cet effacement, ce lent et implacable absentement du « type assis à côté de Gaëtan »? Un élément premier d'explication, pas le seul bien sûr, se détecte, me semble-t-il, dans la sphère du langage. Que l'on prête attention aux apparitions publiques de Hollande ou bien aux paroles prononcées au long du film de Rotman, dans l'exercice de ses fonctions ou bien les fausses confidences distillées à la caméra, une chose frappe, tant elle est constante : Hollande, c'est en tout premier lieu, la pensée du politique et, plus largement, la pensée humaine, réduite aux « éléments de langage » et aux paroles attendues, aux clichés politiques et autres - si stéréotypés qu'ils flirtent constamment avec la lapalissade et la philosophie de Monsieur Prudhomme.
Hollande, c'est le type qui, pour qui s'astreint un peu à l'écouter (ce qui demande un effort soutenu, tant sa parole est fuyante et donc propre à décourager l'attention), n'a manifestement jamais nourri une idée qui lui appartienne en propre.
Quand je dis « une idée », j'entends un énoncé, une proposition qui, tant soit peu ou alors de façon tranchante, se détache, se décale, donne à éprouver le pas de côté dans le flux des énoncés où les choses mille fois pensées et dites se ressassent, se relancent, circulent de bouche en bouche en mode automatique. Le propre de l'idée, entendue en ce sens, c'est d'interrompre le flot des discours et le bruit des paroles, de donner à entendre une dissonance, d'attirer l'attention, à ce titre. C'est une distorsion, une complication qui intervient dans l'ordre des discours et nous réveille en nous donnant à comprendre que les évidences dont sont tissées les discours sont révocables et que ce qui se dit et se répète comme vérité révélée, ad nauseam, est à chaque instant susceptible d'être révoqué et exposé dans son inconsistance même par une simple idée, avec la pleine capacité d'arrêt et la puissance de révocation de celle-ci.
Eh bien, je dis que ce qui caractérise Hollande en propre, c'est qu'une idée, entendue dans ce sens même, cela ne lui a jamais traversé l'esprit. Quand je dis « une idée », je ne veux pas forcément dire une idée lumineuse, une bonne et belle idée, une idée généreuse ou vertueuse, une idée grandiose. Je veux dire simplement une idée, fût-elle maligne, mal intentionnée, vicieuse, tarabiscotée – mais dont le propre serait de se planter des banderilles dans notre actualité et de nous conduire à exercer nos facultés critiques dans ce présent même, et sur lui. Il arrive à toutes sortes de salauds et de pervers d'avoir des idées qui, lorsqu'elles nous atteignent, nous ébranlent, contrairement à une simple insanité venimeuse.
Or, ce qui, tout au long de son interminable et calamiteux quinquennat a caractérisé l'insignifiance de ce spécimen rare de souveraineté bouffonne et grotesque, ce Hollande 1er roi des Hollandouilles, c'est la totale et définitive absence d'accès à ce domaine de l'idée, fût-elle la plus détestable. Hollande, ça restera dans l'histoire de la République comme ce type qui, en cinq ans d'exercice de la fonction présidentielle, n'aura pas proféré une phrase, un mot (qu'on l'approuve ou le désapprouve, là n'est pas le problème) qui soit susceptible de faire (se) lever l'oreille, car propre à véhiculer quelque chose qui se serait apparenté à « une idée ». L'autre, son prédécesseur, parlait comme une gouape, massacrait la syntaxe à l'oral comme à l'écrit, jetait à la volée des mensonges et des contre-vérités gros comme le Palais de l'Elysée, jouait les Rodomont avec un aplomb révoltant – mais à défaut d'idées (ce qu'il n'avait pas davantage que son successeur), il avait, disons, ce ton canaille, presque une ébauche de style, qui faisait lever l'affect de ceux qui l'écoutaient et les conduisait à s'exclamer : « Ah, le sale type que voilà ! ».
L'inconsistante, l'évanescente lissitude (pour le dire en langue royalienne) « hollandaise » nous prive même de cette faculté (ce droit?) d'exécration : à l'entendre aligner les platitudes de ce ton de Snoopy mal doublé qui lui appartient en propre, on se sent envahi d'une immense fatigue et l'on se prend à murmurer : « Oh, le pauvre type, mais comment fait-il donc pour cultiver avec une telle constance le vide de la parole et l'absence de la pensée propre ?![2]
La créature imaginée par Henry Monnier, Joseph Prudhomme, « illustre type des bourgeois de Paris » selon Balzac, proférait d'un ton sentencieux de ces fortes paroles qui lui ont ouvert les portes de la postérité : « C'est mon avis et je le partage », « Le char de l'Etat navigue sur un volcan », etc. Sans se hisser à ce niveau de perfection, le discours « hollandais » s'inscrit distinctement dans la même veine – à défaut d'être socialiste, Hollande est « prudhommien », mais ce n'est même pas son choix : il a fait du M. Prudhomme à longueur d'exercice de la fonction présidentielle sans le savoir.
Quand il réunit pour la première fois ses conseillers à l'Elysée, c'est pour leur dire d'un air pénétré : « Le Président, c'est le seul qui soit sûr de rester en place pendant cinq ans ! ». Quand il veut les mettre en garde contre l'ivresse du pouvoir, il énonce gravement : « C'est pas facile de vivre dans un palais – on se croit à l'abri de tout ». Quand il apprend que le PS est assuré d'avoir la majorité absolue à la Chambre des députés, il ponctue la nouvelle d'un pénétrant : « Avoir une majorité, c'est important pour gouverner ».
Une hypothèse pourrait être que la part de la fonction présidentielle consistant, selon l'usage « hollandais », à serrer des mains, toutes sortes de mains, pas seulement celles de ses ministres, hôtes et conseillers, mais aussi bien gendarmes, gardes républicains, agents de sécurité et d'entretien (etc.) est à ce point accaparante et incompressible (car comment « faire peuple », sinon?) qu'elle est vouée à s'exercer drastiquement au détriment de la vie de l'esprit... Je ne la retiendrai pas. Nonobstant le fait qu'il n'est interdit d'avoir une idée tout en serrant une main, dans l'enchaînement des causes et des effets, il m'apparaît infiniment plus probable que c'est un certain état persistant de jachère de la pensée qui a orienté notre personnage (et comme à titre de compensation) sur les chemins de la compulsion du serrage de louches – la fonction présidentielle étant, par excellence, celle qui ouvre à qui parvient à y accéder, le plus riche champ des possibles en la matière.
Lorsqu'il s'essaie à énoncer une philosophie de son exercice du pouvoir, Hollande voit loin et « prend de la hauteur », comme il dit : « Il y a toujours un doute – est-ce qu'on ne va pas trop vite, est-ce qu'on ne va pas trop loin, est-ce qu'on ne va pas trop lentement (…) Si nous voulons être efficace, il faut agir vite et dans la durée » - Mais où va-t-il chercher tout ça ?
Parfois, l'originalité du propos vient s'habiller d'une langue plus, technique, disons – certains parleront de langue de bois, mais leur mauvaise foi saute aux yeux. Exemple : « Il y a dans la population une partie dynamique qu'il convient de stimuler, pas de décourager ». Ce qui, transcrit en langue profane, se dit : n'ayons garde de nous mettre à dos les patrons, petits et grands. Montrons patte blanche au MEDEF, au cas (improbable) où ils auraient pris au sérieux nos envolées contre la Finance – la campagne électorale est finie, passons aux choses sérieuses ». Pour être un histrion et un conformiste, Monsieur Prudhomme n'en est pas moins un homme d'ordre et d'intérêt : ce n'est pas avec lui que la chienlit ira s'installer sous les ors de l'Elysée.
Plus le quinquennat va vers son rythme de croisière, et plus le style prudhommesque s'affirme, rehaussé parfois de quelques couleurs flaubertiennes – M. Homais et les deux « cloportes » , Bouvard et Pécuchet . Ainsi, à l'occasion de la première conférence de presse du Président en fonction , cette superbe ouverture : « Une politique, c'est une réponse cohérente et forte à la situation du pays. Or, cette situation, quelle [sic] est-elle ? Elle est grave ! ».
Du premier au dernier souffle du quinquennat, le goût prononcé de Hollande pour la tautologie ronflante, en tant que degré zéro de la pensé, ne s'est jamais démenti. Dans son premier discours de victoire, prononcé à Tulle, il déclame : « Nous ne sommes pas n'importe quel pays de la planète, n'importe quelle nation du monde, nous sommes la France ! ». Et lorsqu'il reçoit le Président de la République italienne en visite officielle à l'Elysée, il ne peut se retenir de confier aux convives attablés dans la salle d'apparat son « grand bonheur » de les accueillir à cette occasion - « parce que c'est l'Italie » et « parce que c'est Giorgio Napolitano » - tant de belles et grandes choses dites en si peu de mots...
A ceux qui, dans quelques décennies n'auront pas encore tout à fait oublié son nom, viendra peut-être un jour cette pensée pleine de bonté : il fut si futile, incolore et passe-partout qu'il ne trouva pas même la force de se faire haïr des gouvernés – à la différence notoire de son prédécesseur. Son ciel était peuplé de phrases toutes faites, de formules ramassées dans les journaux et de bons mots glanés dans les couloirs de la rue de Solférino. Quelle vie – pas même de chien : tout juste de zombie de la démocratie d' « éléments de langage », en pilotage automatique.
Alain Brossat (sur Médiapart)
"Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent". Jean Yanne.
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Franz porte assistance pour faire le ménage.
Milite pour le retour de D.Penaud
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En deux mots ou à peine plus, FH alias le président ne sait pas parler...mais y en a qui en font des tonnes
Ben v'là que j'ai plus ma tête. ...
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style prudhommesque couleurs flaubertiennes Rodomont M. Homais et les deux « cloportes » , Bouvard et Pécuchet
un philosophe bien rouge !! imbuvable !
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je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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Je précise que je n'ai pas voté lors des primaires de gauche nicde droite. Mais quand je lis que des ministres socialo soutiennent macron. Ils en ont pas marre de chier sur les électeurs. Si tu décide de faire des primaires, tu te dois de respecter le choix des élections. Ou alors tu dégages du parti.
Qu'ils aillent tous se faire mettre.
"Enfin ce soir on a vu les 2 equipes qui joueront en prod2 la saison prochaine"
Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
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MDR ils se nikent entre eux et nikent leurs électeurs en prime au moins au FN c'est clair tous pour Marine pas de primaire
"Si je n'avais pas eu mon nez, je l'aurais pris en pleine gueule" Walter Spanghero .
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On va droit vers une France ingouvernable ......
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On va droit vers une France ingouvernable ......
faut dire que depuis près de cinq ans la grosse françoise s'est bien appliquée pour foutre le boxon
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On va droit vers une France ingouvernable ......
Pas forcément, on va vers un grand coup de balai, avec de nouvelles têtes mais vu que les actuelles y en a ras le casque, no problèmo.
La Vième a du bon pour ça. ça peut pas être comme la IV ième.T'es élu, pof t'as une majorité.
ET ça fait un peu trop longtemps que le pouvoir est confisqué par les deux vieux appareils dits de droite (RPR, UMP, LR...)et de gauche (PS, rePS et encore PS) qui se partagent tout.
Putain, les mêmes tronches de cake depuis les années 80, y en a qui meurent mais pas assez.
D' ailleurs faudra pas y mettre trop de proportionnelle, pour ne pas être esclave des ultra-minorités chieuses genre écolos...demandez à Hamon
Dernière modification par letarmo (2017-03-25 00:41:06)
Ben v'là que j'ai plus ma tête. ...
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Je précise que je n'ai pas voté lors des primaires de gauche nicde droite. Mais quand je lis que des ministres socialo soutiennent maqueron. Ils en ont pas marre de chier sur les électeurs. Si tu décide de faire des primaires, tu te dois de respecter le choix des élections. Ou alors tu dégages du parti.
Qu'ils aillent tous se faire mettre.
tu débarques garçon, il serait temps d'ouvrir les yeux et d'arrêter de rêver!
Les socialos c'est ca; aucune parole, aucun honneur (à part les médailles distribuées parton pote le grotesque), ils suivent le troupeau même si c'est pour aller se jeter dans la gueule du loup. Valls qui s'est fait mettre par le grotesque, encule Hamon etc. Ce parti est la famille tuyau de poêle... Je dis pas qu'à droite il n'y en ait pas quelques uns du même acabit! Mais enfin, quant on voit la famille maqueron/Tarmishe... de Madelin en passant par les défroqués de droite, les nulles part de Bayrou à Cohn-Bendit, Robert Hue, et autres Delanoë et le troupeau PS, on n'a pas fini de rire s'ils sont élus. Comment gouverner avec ca? Restera plus qu'à Hamon le vainqueur des primaires de gauche, cocu jusqu'à la moelle, à rejoindre la famille avec les insoumis pour se partager les miettes du festin. Ca promet de bon moments de rigolade tout ça! En réalité la renaissance d'une pseudo IVe république à défaut d'une VIe... le bordel comme en 40, auraient dit nos aïeux
Dernière modification par Big (2017-03-25 01:23:18)
"Il n'est de vent favorable qu'à celui qui sait où il va."
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Tu sais big, je ne rêve pas. Je demande juste un peu d'honneur. Si valls avait gagné les primaires et si hamon avait soutenu melanchon, qu'est ce qu'on aurait pas entendu. Mais hamon a été élu sans doute par les bouseux, le petit peuple, donc on s'en fout de lui cracher à la gueule.
J'ai entendu macron sur des thèmes précis. Notamment sur les quartier difficiles, avec retour de la police de quartier, des classes moins chargées, des propositions intéressantes. Mais à côté de ça il veut que 80% des français ne payent pas la taxe d'habitation. Et les cons de 20% encore à eux de payer.
Donc ness sera contrent. Jamais je ne voterai pour le pen. Mais c'est clair que je ne voterai pas contre. Quand tout ces privilégiés qui nous font en plus la leçon de morale comme quoi il faut faire des efforts alors qu'eux se gavent sur notre dos, se seront tous pris une branle, peut être qu'ils se sortiront les doigts.
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Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
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C'est pas bien cece de traiter les électeurs de Hamon de bouseux. Ils en valent pas mal d'autres. Par contre comment peut on promettre un revenu sans contre partie entre autre? Je ne suis pas pour ces promesses démagogiques, mais trouve que ce type se bat bien pour ce qu'il propose, et qu'il a l'honnêteté de dire en face aux autres ce qu'il pensent d'eux, de façon assez argumenté. Il représente les idées idéologiques de gauche auxquelles je ne souscris pas, mais qui ont le mérite d'être de gauche. Pas comme Hollande qui a été élu sur un programme de gauche comme lui, et qui après avoir passé deux ans à détricoter le Sarkosisme, à conduit la même politique que lui. Et à passer les deux années suivantes à retricoter (mal) la même politique à la mode de "tout le monde il est gentil".
Ce que propose Macron est dans la même ligne. Des propositions écrites sur un bord de table, avec quelques copains surchauffés par des fins de repas bien arrosés entre fromage et dessert. En piquant sur le programme des autres des mesures les plus marketing, et surtout plus ou moins (et plutôt plus) demago (les électeurs sont tellement cons); en ralliant les tocards de tous les partis en mal d'avenir politique. Et bien aidé par les médias "contre-pouvoirs" qui eux voient bien leur avenir, dans la misère politique, qui leur donnera de la matière fécale à te vendre pendant 5 ans de plus. Tous ces mecs qui s'accrochent à Macron comme à un Jesus, me font bien rire. Tous ceux qui tomberont dans le filet râleront comme ils l'ont fait avec "moi-je-President-je-ferai...". C'est comme ça que ça se passe chez les socialos. Enfin socialos, pas de base, pas adepte, pas les ouailles, ceux qui sont là pour les postes, les honneurs, la gloire et qui n'en sont pas moins aisés et millionnaires (milliardaires) que ceux d'en face.
Alors c'est bon, continue à avaler tout ce qu'on te dit à la télé et continue à investir dans la vaseline tu en auras encore besoin si Macron devait être élu!
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Désolé Big tu n'as pas compris le sens de mon message. Je ne traite pas ceux qui ont voté Hamon de bouseux. Je pense que c'est comme ça que les pontes du PS les voient par contre. Comme les sans dents, les miséreux. Et que c'est pour ça que le drian et compagnie peuvent se permettre de leur cracher à la gueule.
Plus ça va et plus je me dis malheureusement que c'est la première fois que je n'irai pas voter. Même au premier tour.
Bordel mais quand on voit les déclarations de patrimoine, ça ne choque personne que la majorité a plus d'un million de patrimoine. Mais quelle est la représentativité de ces mecs? Le seul qui au finale se rapproche de la population moyenne c'est quasiment Poutou mais malheureusement, parti d'extrème où tout est blanc ou noir sans mesure. Les méchants patrons et les gentils ouvriers.
Mais la majorité ne savent pas ce que c'est que de se lever tous les matins pour trimer, ramener juste de quoi nourrir sa famille (et la je parle des ouvriers, des agriculteurs, des petits patrons de TPE qui gagnent moins que leurs salariés, les profs éloignés de leur famille). Même ceux qui parlent en leur nom comme Le pen, Mélanchon, Hamon. Ils connaissent quoi de la vie des français planqués dans leur palais.
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Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
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C'est pas bien cece de traiter les électeurs de Hamon de bouseux. Ils en valent pas mal d'autres. Par contre comment peut on promettre un revenu sans contre partie entre autre? Je ne suis pas pour ces promesses démagogiques, mais trouve que ce type se bat bien pour ce qu'il propose, et qu'il a l'honnêteté de dire en face aux autres ce qu'il pensent d'eux, de façon assez argumenté. Il représente les idées idéologiques de gauche auxquelles je ne souscris pas, mais qui ont le mérite d'être de gauche. Pas comme le grotesque qui a été élu sur un programme de gauche comme lui, et qui après avoir passé deux ans à détricoter le Sarkosisme, à conduit la même politique que lui. Et à passer les deux années suivantes à retricoter (mal) la même politique à la mode de "tout le monde il est gentil".
Ce que propose maqueron est dans la même ligne. Des propositions écrites sur un bord de table, avec quelques copains surchauffés par des fins de repas bien arrosés entre fromage et dessert. En piquant sur le programme des autres des mesures les plus marketing, et surtout plus ou moins (et plutôt plus) demago (les électeurs sont tellement cons); en ralliant les tocards de tous les partis en mal d'avenir politique. Et bien aidé par les médias "contre-pouvoirs" qui eux voient bien leur avenir, dans la misère politique, qui leur donnera de la matière fécale à te vendre pendant 5 ans de plus. Tous ces mecs qui s'accrochent à maqueron comme à un Jesus, me font bien rire. Tous ceux qui tomberont dans le filet râleront comme ils l'ont fait avec "moi-je-President-je-ferai...". C'est comme ça que ça se passe chez les socialos. Enfin socialos, pas de base, pas adepte, pas les ouailles, ceux qui sont là pour les postes, les honneurs, la gloire et qui n'en sont pas moins aisés et millionnaires (milliardaires) que ceux d'en face.
Alors c'est bon, continue à avaler tout ce qu'on te dit à la télé et continue à investir dans la vaseline tu en auras encore besoin si maqueron devait être élu!
Moi, le bigounet qui continue à prendre de haut tous ceux qui ne sont pas de son avis me fait doucement marrer.
Et d' une je ne vois rien qui autorise qui que ce soit à associer mon nom à celui de Macron
Et de deux la vielle droite réac est tellement en train d' étaler sa médiocrité et son envie de protéger ses privilèges que je me marre tous les jours à lire ces diatribes pathétiques
Mais regardez-vous les couillons de Fillon !
Bêtes au point de perdre une élection imperdable, réduits aux abois, à défendre un type indéfendable, c' était bien la peine de vilipender la gauche et culbuto pour arriver à cet échec lamentable.
Je me rappelle des envolées féroces du bigounet contre ce qui ne lui ressemblait pas et je jubile, c'est jouissif, fort en gueule oui mais au tapis pour le compte avec son malfrat de favori.
Trop bon
Cette culture de la suffisance associée à une insondable médiocrité ? Les autres n'ont pas besoin d' être bons, il leur suffit d' exister pour gagner. la loose à droite une riche idée...
Hé oui Big, il y a un moment ou mieux vaut ne rien dire que d' afficher ce niveau d' insuffisance, en fait de suffisance...
La vielle cohorte des bouffons de la république, les Ciotti alias la fiotte et ses acolytes vont finir à leur place, au cimetière des gavés en la très bonne compagnie des archaïques socialos, bon débarras et les diatribes grandiloquentes des tenants du complotismes n'y changeront rien.
Comme quoi l' argent public est aussi à consommer avec modération
Le cimetière des éléphants aurait dit Schmol
J' ignore ce que nous réserve la suite mais je sais au moins que là, on s' apprête à faire le ménage et ça me plait bien.
Finalement une seule chose nous sépare bigounet et moi: Il n'a aucun respect pour les différences d'opinion, je respecte les avis que je ne partage pas dans la mesure ou ils ne sont pas systématiquement emprunts de cette détestable suffisance.
Ce qui peut parfois permettre de discuter.
En clair je voterai au premier tour pour NDA, je l'ai parfois écrit, comme en 2012 et évidemment il ne passera pas. Mais je me fous du vote dit utile qui fait le jeu de ces politiciens du milieu, tout comme ces primaires..;qui vont faire perdre la droite.
Dire qu'il y en a qui ont mis un sesterce dans le nourrain pour ça et se croient aptes à juger les autres.
Pour le reste justeement je m'en remettrai au vote des autres mais je me serai bien marré quand même à voir la vielle droite catho-réac grande donneuse de leçons de probité engluée dans sa propre merde avec l' ami Big qui veut voter pour "ça"
J'y peux rien, j'ai le nez fin, d' autres préfèrent se le boucher...dans ce cas ils devraient savoir qu'il vaut mieux se taire !
Ben v'là que j'ai plus ma tête. ...
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fillon ,hamon et macron se battent pour etre le second aux alentours de 18% et etre élu au second tour par le front républicain !
aprés il y a les législatives et c'est le merdier qui commence !!!
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Qui que ce soit exrcb, la constitution est bien foutue sur ce point.
Mais c'est sûr, elle n' empêchera peut-être pas une absence de majorité si par exemple le FN battu pour la présidence se place partout.
Rien ne peut l' empêcher en fait sauf si avant les législatives il y avait une révision constitutionnelle.
Je sais même pas si c'est possible.
Et tout ce merdier est parti de l'entêtement scandaleux du félon, pardon du fillon qui a persisté à se maintenir et empêche une alternance normale. Au nom d' une primaire qui n'a rien de légitime et s'est substituée aux institutions, exploitée par l' ambition sans bornes d'un notable archaïque et vorace.
J' espère que cette crapule finira au gnouf, dans un cul de basse fosse de son château.
Le gagnant est sûr d' avoir pas mal de députés mais surtout ce que je vois bien c'est un sacré coup de balai: La baston actuelle au sein de la droite comme de la gauche dites de gouvernement qui trustent le pouvoir et ses avantages depuis les années 80 vont avoir du mal à défendre leurs places fortes.
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