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"Ni armes, ni violence, et sans haine" écrivit Albert Spaggiari un jour de juillet 1976 dans la salle des coffres de la Société Générale de Nice. "Certes, mais avec les rebonds" aurait pu répliquer notre artificier briviste attitré 44 ans plus tard.
L'inexplicable se revêt parfois d'une esthétique exacerbée et d'un goût du dramatique qui déchaînent les passions et font chavirer les foules. De défaite médiocre qui aurait pu compromettre le reste de la saison, ce match s'est mué en une victoire épique dont les conversations de comptoir se feront probablement l'echo pendant de longues années sur les bords de la Corrèze.
Peut-être Thomas Larenjera avait-il en tête des souvenirs lointains d'une illustre victoire ; peut-être s'est-il dit qu'en ce jour anniversaire rendre les armes devant un public invariablement fidèle était inconcevable ; et peut-être s'est-il dit lors de cette fatidique 76ème minute que le devoir lui revenait d'imiter son glorieux ainé qui, 23 ans plus tôt, s'offrit un doublé face à une équipe vêtue de vert pour porter une ville au firmament et un club sur le toit du vieux continent. Un 25 janvier, nous ne pouvions pas perdre, et c'est la seule explication que j'ai trouvée à cette victoire.
Allez Brive
Vahaamahina, un essai pour envoyer son équipe vers une victoire qui allait se dessiner comme promise, pour ensuite répondre aux sirènes d'un attentat suicide teinté d'un masochisme abscons.
La "jaunardise" en lettres d'or.
Baptiste gay est l auteur de l article du petit bleu et de la dépêches c est un copié collé
Etant donné son patronyme, il eût été étonnant qu'il ne soit pas critique envers la pelouse :-D
Beria a écrit :Difficile d'être catégorique, il semblerait que le ballon soit aplatit avant la ligne?
Et Heymans qui lui n'a aucune hésitation et en remet une couche....pffff!!!!Ha si; pour moi je n'ai pas le moindre doute en regardant rétrospectivement et attentivement l' arrêt sur image car on voit un bout de ligne blanche bien devant le bras du gars. Sur le moment précis où le ballon est aplati une première fois, après ça cafouille donc il est perdu.
Les certitudes de Heymans sont pathétiques, il a besoin de lunettes autant que le cherge d'un cerveau et en tant que commentateur il devrait faire preuve de plus de réserve.
Un mot après avoir revu le match à la télévision et avoir eu à supporter ces inénarrables commentaires aux relents d'égoûts d'une favela carioca décimée par le choléra.
Atteint d'une tumeur au cerveau en pleine croissance résultant du dopage institutionnalisé au sein du XV du cassoulet, ou entretenant une sempiternelle et incurable aigreur due à la non prolongation de son contrat lors de son début de carrière dans le club qui nous est si cher, l'ex-ailier aux mâchoires saillantes a perdu la raison ou s'est une fois de plus laissé aller à des commentaires d'une malhonnêteté intellectuelle, d'une partialité, et d'une couardise qui font de lui un enfant de péripatéticienne des temps modernes qui s'est bien gardé d'insister sur le fait que la pénalité réussie par le RCT à la 40ème minute est précédée d'un en-avant toulonnais et que la dernière, réussie elle aussi, aurait dû nous être accordée pour un départ hors jeu d'un joueur rouge et noir, avant le placage en l'air.
Il semblerait que ce pachyderme gavé à la compote de pommes et engagé sur la voie royale d'une impotence blancorleonesque combine un manque de maîtrise de la langue de Molière (évoquant un contrôle total du ballon sur le fameux essai toulonnais), une conception personnalisée de l'arithmétique qui peinerait à convaincre Pythagore, et de sérieux problèmes de cécité. Et dire que son mentor, référence en matière d'abjection lui aussi, s'est récemment fait licencier pour faute grave... Le diffuseur du Top 14 est d'une tolérance débonnaire.
Rater la plus belle occasion, pour ne pas dire l'unique, et de surcroît en or massif, d'accéder aux phases finales depuis près de vingt ans relève de la faute professionnelle grave.
Nul besoin de se perdre en conjectures ce soir, nous sommes des m#rdes se complaisant dans une ambition molle par peur de viser trop haut et de se brûler les ailes. Un mal tellement français...
un grand absent à Michelin ce soir ...le petit bonhomme en mousse !
T'as pensé à regarder dans le fion des jaunards ???
ET ILS SONT OUUUUU ?
ET ILS SONT OUUUUU ?
ET ILS SONT OUUUUU LES AUVERGNAAAAATS ???
http://www.lefigaro.fr/elections/presid … etagne.php
Recevoir une gifle en présence du ministre de la Défense en exercice, voilà l'illustration parfaite de ce que constitue l'hérésie socialo-communiste dans son ensemble, et plus particulièrement de la gabegie que fut ce quinquennat qui discrédita tant notre pays aux yeux du monde.
Manu, la sens-tu qui se glisse dans ton Q, la quenelle ?
Cette défaite est l'oeuvre des fins stratèges du bord de touche et en rien celle de l'arbitre, qui a sanctionné les fautes de part et d'autre avec la même appréciation durant toute la rencontre.
Palme d'or de l'incompétence notoire - pour ne pas dire chronique - au staff qui a une fois de plus fait fi du scénario du match pour appliquer aussi bêtement que mécaniquement son précepte de rotation systématique des premières lignes à la 50ème minute. La défaite trouve ses racines dans cette décision aussi incompréhensible qu'injustifiée.
Ce soir, j'en compte deux dont l'intelligence me conduit à me demander s'ils ne mériteraient pas de manger du foin pour le réveillon.
La dignité, c'est à n'en pas douter le terme qui qualifie le mieux ce pachyderme sudoripare arrivé premier il y a cinq ans à un concours de circonstances : https://www.youtube.com/watch?v=yR3yxrm8Vdw
Putain, quelle semaine ! Mon foie s'est noyé dans le Ruinart.
Il met en cause l'arbitre de touche et l'arbitre vidéo, il ferait mieux de mettre en cause la réalisation de Canal.
Les images en direct sont explicites, il n'y a pas passage en touche Dourthe confirme, les ralentis aussi. Ensuite hors déroulement du match une camera opposée insinue qu'il y a passage en touche, cette camera est lal placée et un trompe l'oeil est fort possible.
Il y a 2 ans je crois nous avions profité d'un arbitrage pour un essai décisif pour nous de Bézy.
La vidéo se trompe aussi.
Le dernier mec qu'on a vu se complaire autant dans le déni fut le chef comptable d'Enron :-)
Rado se rapproche ?
A la lecture de ce post, j'ai ri comme une baleine, mais je suis médusé...
En bref, et dans un style que je qualifierais d'inhabituel me concernant, bravo à la femme de ménage pour avoir été promue speakerine d'un jour, et mes salutations à cet enfant de catin de Marchat à qui je promets une séance de chirurgie plastique gratuite si je me retrouve un jour face à lui et sans témoin. Il n'a pas été nul ce soir comme certains l'ont supposé, mais acteur impliqué dans un putsch manqué qui a vu dans le dénouement de ce match tout sauf plaisant la morale triompher. Pour le reste, Marchat, je t'encule.
Bonjour,
Ce weekend de rugby, s’il a pu susciter l’enthousiasme au travers de quelques matches aboutis et d’actions de classe – quel bonheur de voir un pilier s’échapper balle en main sur près de 35 mètres – a dans le même temps mis en avant les progrès qui restent à accomplir dans ce jeu auquel, si nous sommes tous parfaitement honnêtes, personne ne comprend rien.
Tout d’abord, après avoir regardé UBB – CAB, Aurillac – Mont-de-Marsan, USO – CO, ST – ASMCA et MHRC – RCT, j’ai trouvé que les matches les plus alléchants furent la demi-finale de Pro D2, disputée par deux équipes dont les budgets respectifs prêteraient à sourire au regard de leur performance cette saison ; et MHRC – RCT, qui avait pour particularité, si je ne me trompe, de compter sur le terrain au moment du coup d’envoi moins de Français qu’une main ne compte de doigts. A l’heure où les candidats à la présidence de la FFR battent la campagne pour glaner un maximum de suffrages dans un but – serait-on capable d’en douter – purement altruiste et aucunement personnel qui consiste à vouloir faire évoluer aussi bien le rugby professionnel que celui de nos petites têtes blondes dans le bon sens, la question devrait peut-être se poser de savoir comment une division par définition inférieure peut régulièrement offrir un plus beau spectacle que l’élite du rugby hexagonal, et pourquoi si peu de Français semblent à même de se faire une place parmi les écuries les plus performantes, et ce particulièrement aux postes clés.
Par ailleurs, la professionnalisation du rugby, initiée voilà plus de vingt ans, reflète dans une certaine mesure un mal bien français, à savoir qu’elle semble refuser l’idée de s’achever. Ne prétendant en aucun cas être un spécialiste de la discipline, je ne saurais juger avec sagacité la performance d’un arbitre dans le détail, mais la décision de l’homme en rose d’UBB – CAB d’accorder cyniquement le premier essai après avoir réclamé le visionnage du départ de l’action où le joueur briviste est clairement ceinturé alors qu’aucun de ses pieds ne touche le sol fut à la limite de l’ubuesque. Un peu plus tard, l’arbitre de champ et son compère préposé à la touche, trop lents pour être proches de l’action, s’en sont remis aux protestations du public pour signaler un en-avant qui était tout sauf évident. Laurent Cardona, quant à lui, à trois reprises durant le match USO – CO se retrouva percuté par un joueur. Si une telle situation, par définition accidentelle, peut se produire occasionnellement, lorsqu’elle se répète au cours d’un même match permet un questionnement quant aux capacités de l’arbitre à lire le jeu, et à ses aptitudes physiques à se déplacer dans le bon tempo : dans le soi-disant meilleur championnat du monde, n’est-on pas en droit d’attendre d’un arbitre, tel un joueur, qu’il soit attaquant ou défenseur, qu’il maîtrise l’art du placement, et ce afin de ne pas perturber le bon déroulement du jeu ? En bref, la professionnalisation des arbitres, à une heure où les enjeux économiques se conjuguent aux enjeux sportifs me paraîtrait de bon ton.
Enfin, alors que nous apprîmes récemment que Canal+ avait « fait honneur au Top 14 » en acceptant de débourser 97 millions d’euro par an pour le diffuser, la chaîne cryptée devrait jouer de cohérence et relever la barre aussi haut quant à ceux auxquels elle accorde l’honneur de s’exprimer au micro. De Pierre Berbizier, soporifique à faire s’endormir tout Rio en plein carnaval, à Thomas Lombard, qui ne rate jamais une occasion de digresser vers un prosélytisme en faveur d’un rugby métropolitain, et qui abuse de néologismes techniques pour mieux justifier son statut ont mis à l’épreuve mes conduits auditifs durant de bien trop longues minutes. Mais ceux-là n’ont pas développé autant de mauvaise foi que le phénomène à qui revint la tâche de commenter UBB – CAB : non content d’être accoutré tel un paysan albanais revêtant un costume pour la première fois de sa vie en vue de se rendre au mariage de sa fille, il prit un malin plaisir à amplifier les carences du CAB et à minimiser les fautes de l’UBB au point d'en devenir irritant. Les commentateurs ayant, dans une logique d’ouverture du rugby à de nouveaux publics, un rôle pédagogique à jouer au profit des néophytes, l’expression de vieilles rancoeurs par micros interposés est d’un mauvais goût absolu – d'autant plus qu'elle ne laisse guère de place à la riposte – et Canal + serait bien inspirée de cesser d’accorder du temps de parole à ces mâchoires anguleuses, qui ne sont pas sans rappeler le culturisme sauvage et stéroïdé des années 80.
cherge n'a pas de limites donc.... DTC !
DTC = Dans Ton Cherge ?
Voilà des pratiques qui semblent bien cavalières entre les membres - virils mais corrects - d'un vrai rhum qui ne m'avaient jusqu'alors jamais conduit à penser que l'amitié qui les unit eût pu aller si loin
Bonjour,
Il te suffit de te connecter sur le site le jour du match avec tes identifiants et de cliquer sur "Programme du Weekend" sur la page d'accueil dudit site. Tu auras ensuite accès à la retransmission du match de ton choix en trois ou quatre clics.
Ni armes, ni violence et sans haine. Albert Spaggiari a bel et bien trouvé son maître : http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/20 … tory.shtml
Au regard de la constance de ses prestations à Brive, je ne peux que m'incliner avec déférence devant cette usurpation digne des scénarii hollywoodiens les plus fantaisistes.
Ils sont fous sur ce forum.
Mais n'est-ce pas ce qui en fait l'indicible saveur ?
La ligue nous garnir le cul au profit d'un club basque? Allons, que vas tu chercher là...
Le CAB serait-il un dindon à la basquaise rendu plus savoureux agrémenté d'un peu de farce ?
Quelle blague...
Après le RCT, c'est Toulouse qui pensé à Mola !!
http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/20 … tory.shtml
Je n'ai jamais éprouvé d'admiration particulière pour ce club, mais si cela devait arriver, notre ex-entraîneur favori ferait passer feu Albert Spaggiari pour un chapardeur de pacotille.
On en sait désormais un peu plus sur les fondements de sa réputation en tant qu'entraîneur des arrières, si je puis dire.
Sergio24 a écrit :Nier viré de Massy au profit de Fourberon.....
J'adore l'article de Rugbyrama à ce sujet : Ils disent que Massy veut créer un électrochoc et juste après ils font la liste des clubs que Faugeron a fait chuter avec lui, le tout avec une faute de frappe énorme.
http://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/20 … tory.shtml
On sait ce qu'il est advenu d'Agen et de Biarritz, mais l'ouverture d'esprit du fameux Brice lui a peut-être valu une promotion quant à lui :-D
".....mais comme chacun sait que lane vaut pas un penny !!!"
Superbe!
Je suis jaloux là!!!!
Mes plus révérencieuses félicitations également en provenance de leur mère patrie.
Ça manque pas les spécialistes sur le vrairhum. Heureusement qu'on n'est pas sponsorisés par Durex
Cela dit, un tel sponsor pourrait faire vibrer tout le Stadium, et accessoirement renflouer nos bourses.
Bonjour,
La nuit du rugby a décerné à Julien Arias le trophée du plus bel essai du Top 14 pour la saison 2013-2014 (à partir de 1:04 sur cette video : http://www.youtube.com/watch?v=9W9vQgvrSm4). L'essai de Gaëtan Germain, nominé, s'est donc vu surclassé.
Incurablement chauvin mais résolument esthète, je demeure convaincu que ce dernier aurait dû remporter la palme, qui plus est au regard du contexte relatif à chacun de ces deux matches : l'essai d'Arias fut inscrit contre l'équipe la plus faible de la saison, et ce alors que trois matches furent joués en dix jours, obligeant ainsi les équipes limitées en effectif à gérer leur calendrier, tandis que la réalisation de Germain fut celle qui contribua à la victoire de David contre un Goliath acharné - en témoignent les nombreuses blessures survenues durant ce match - dans un derby où les grandes envolées ne sont historiquement pas légion, exception faite des quelques déculottées subies au Michelin ces dernières années.
Si l'essai d'Arias est un très bel exemple de rugby de mouvement, avec deux prises d'intervalle et passages de bras, puis la fixation du dernier défenseur par un cadrage d'école et une passe à hauteur, je le trouve moins empreint de culot et de folie que celui qui fit se lever Amédée Domenech un soir de mars. Je n'avancerai pas que le fait que cet essai fût marqué dans un écrin flambant neuf par une grosse écurie fut l'élément déterminant dans le vote du jury, mais étant donné que les plus hautes instances de notre sport favori évoquent désormais le "produit Top 14", le doute est permis.
La beauté d'un essai relevant en grande partie d'une forme de subjectivité, je me réjouis à l'idée de lire vos avis.
Excellente journée.